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i ■ J»» j m
TRENTE-DEUXIÈME ANNÉE — N* 9531
ifXfâSWJ.
28 PAGES
Le plan de sontien
est approuvé, an Sénat
par 176 voix contre 85
USE PAGE 5
— . SAMEDI 13 SEPTEMBRE 1975
1,30 F T
Algérie.- 1 DA; Maroc, 1,38 dlr. ; TmüriB,lQQg.:
AnunasBC, 1 DH; HmtdM, 8 setui BaJgtqne,
10 ir. : couda, eo c. et» ; OMemv, *.# s kt. »
Euapt, 22 pss. î Ersant Bretagne, IB P- ; Crtee,
Ifl Iran, 43 rts* Italie, 280 L; Ifeaa, 1Z5_P*
Lnxeotbouz, 10 fr, j ZarvftgtL 2,75 rar»-Bî;.
04BI fl.; Portugal, 11 «b; S rtfle. 2 te.i Saisie,
1 fr.l DSA,.G3 CISI Yonpstote, 10 n. dln.
- tarif des- abonnements oses 17
s, bus dbs rrALimrs
Ÿ5427 FAXUB - CEDSX SS
CJCJP. 4207-23 Bttb
ïâfiX Paris. n® ■ 65572?
TeL s- 770-91-29
’.j ÏK- :~;
p,v
4, A ^
K; -A
BULLETIN PE L'ÉTRANGER
L'isolement
du ma
Célébrant, le 11 septembre, le
douzième anniversaire du ren-
versement do président Salvador
Attende pw ta junte militaire
qu’il préside, le général Pinochet
a annoncé quelques mesures de
libéralisât loru En particulier, te
cher de l'Etat chilien a proposé
au démocrate chrétien Eduordo
Frei, ancien président de la
République, de siéger dans un
Conseil d’Etat que le gouverne-
ment consulterait sur tes grands
problèmes.
Les considérations de politique
étrangère auront sans doute
tenu un rôle capital dans ces
démarches. Ce n’est un secret
pour personne qne les Etats-
Unis. malgré le rôle qu'ils ont
joue dans le renversement de
l’Unité populaire, estiment que te
général Pinochet donne désor-
mais une image par trop cari-
caturale de ce qu’3 est convenu
d’appeler « un protégé de Wash-
ington ». Des voix de plus en plus
nombreuses se sont élevées au
Congrès pour que te département
d'Etat cesse de soutenir nn
régime qui n'honore pas. c’est
le moins qne Ton puise dire, la
cause des démocraties. Les par-
lementaires ont fait ce qui était
en leur pouvoir en suspendant
l'aide militaire à la junte de
Santiago. Les capitalistes améri-
cains ont eux-mèmes marqué
leur réserve en n Investissant
dans ce pajB, pourtant libéré de
l'« oppression marxiste», que des
sommes dérisoires.
La Maison Blanche et 1e
département d'Etat août plus
hésitants ; ils sont conscients
que, à manifester trop ouverte-
ment leur défiance envers te
ëgïme militaire, ils risquent de
•révoquer - le ■ retour des forces
olitlques qn*0s ont contribué à -
carter en 1973. Aussi assecient-
5 certaines pressions discrètes
a faveur d’une libéralisation au
lanxtien d'un minim um d’amis-
ince à la junte : Washington
.arait facilité la renégociation
e ses énormes créances envers
e Chili.
La solution qui a sans doute
les rave ors du département d'Etat
— un retour au premier plan,
sous tes auspices de la junte, de
M. Eduardo Frel — devient de
moins en moins plausible. La
pression de l’opinion publique
non diale et celle de son propre
■arli Interdisent de plus en plus
i l’ancien président de se prêter
cette combinaison.
Le coup 1e plus grave porté à
■ junte a Bans doute été la
cision du Mexique de rompre
relations diplomatiques avec
Chili, en novembre -dernier,
mîficatlve également a été la
dsion de la Grande-Bretagne
ne pas participer à la réunion
club de Paris où devait se
égocter la dette extérieure
tienne.
afin, les condamnations des
tances internationales se sont
Itipllécs — de roxganteatlon
i Etats américains à celle des
ions unies elle - même, tes
léroux de Santiago ayant refa-
de recevoir une commission
enquête des Nations unies sur la
nation des droits de l’homme
ns leur pays.
jes derniers soutiens interna-
'aux avoués au régime du
'rai Pinochet sont désormais
dictateurs sud-américains —
nëral Stroessner. du Paro-
le président uruguayen,
rdaberry, et le chef de l'Etat
n. le général R amer. Les
.'ns eux-mèmes paraissent
iris «*»«**«■ »«<■« AMmiim.
u eut alors ne pas s’éton-
- des pays socialistes — ■ la
Je et surtout la Chine
î — continuent d’entrete-
xe lotions diplomatiques
utïago? Le souci de se
er à l'égard de l'Union
ie, qui. elle, avait rompu
avec ht junte, suffit-il à
cette attitude, alors que
'.communistes et manu-
’-stea continuent d’être
tés ou torturés à Sau-
t
•I la France — qui
dtuitretenlr de bonnes
sonjçmiques avec San-
bern’a même pas cessé
&es armes au général
■ pourrait-elle jeter la
informations page 3.)
LES CONFLITS DU PROCHE-ORIENT
[UNE AIDE D'UNE AMPLEUR I DANS LES ECOLES MATERNELLES
fr- V •
EXCEPTIONNELLE
EGYPTE : la tension s'aggrave
avec les Palestiniens La Chine aurait accordé
LIBAN : des massacres «Cambodge
auraient eu lieu dans le Nord un prêt m 1 milliari
La tension entre rEavote et les Palestiniens s'est brusauament “b tUlIlfHd
La le/u/O/? entre r Egypte et ies Palestiniens s'est brusquement
aggravée jeudi il septembre, à la suite de la décision du Caire
de prendre le contrôle de la radio de rO.LJ*. émettant sur son aol.
« la Voix de la Palestine », devenue - la Radio de la Palestine »,
dîtluse depuis jeudi soir les communiqués officiels du gouvernement
■égyptien lus par des speakers égyptiens.
C A BEYROUTH, les forces et partis progressistes appellent
à la grève générale pour lundi, en signe de protestation contre
r Intervention de l'armée dans le Nord. Les militaires ont pris position
jeudi dans la zone tampon entre Tripoli et Zghorta, et un calme
précaire règne dans ce secteur. Mais des massacres auraient eu
lieu, notamment dans le village chrétien de Belt Mellat, dans / oxtrême
nord du Liban.
L'< armée de libération » de Zghorta.»
De notre envoyé spécial
Zghorta. — « Vous les voyez.
Ils sont là, en face, dissimulés
dans les oliveraies ? Us sont
deux mille et peut-être da-
vantage : des Tripoli tains, des
gens de Dennieh. des Palesti-
niens, tous engagés dons le
Jîliad fl). Nous en tuons tous
les jouis quelques-uns. et. de-
puis mercredi, ils semblent
avoir renoncé à leur marche
suicidaire sur Zghorta. »
Deux femmes-combattantes,
trente-sept et quarante-deux
ans. trapues, joues roses et
veux cernés, nous expliquent,
assises derrière une mitrail-
leuse lourde, la situation sur
' le terrain. Un homme insère
dans l’arme un bande de car-
touches géantes ■ Nous som-
mes à Bàt-Kliawaja. à 3 ki-
lomètres à vol d'oiseau de
Merinîa, où les « /ornes mu-
sulmanes » auraient installé
tour quartier généraLOn en-
tend te tir nourri d'armes
automatiques. « Etendez-vous
.par terre et ne bougez plus,
on nous a repérés », ordonne:
notre guide qui. kalatclmikof
en bandoulière, a pris sur lui
de nous faire visiter la région
et les villages qui, ■ selon la
presse de Beyrouth, ont été
déjà envahis par les assail-
lants. Ingénieur des ponts
et chaussées, diplômé de Paris,
marié à une Belge, ü a aban-
donné son entreprise à Bey-
routh pour venir défendre son
vOlage. Ils sont plus de deux
cents, médecins, dentistes,
avocats, ingénieurs, commer-
çants, instituteurs, à s'être
enrôlés dans cette pittoresque
« armée de libération zghor-
tiote » oit ne sont admis que
les partisans des quatre fa-
milles qui se disputent à lon-
gueur de siècle la région,
mais qui s’unissent chaque
fois qu’elles se sentent mena-
cées par Ps intrus étranger »,
en r occurrence, les musulmans
de TripolL Au dixième jour de
la bataüle, Zghorta enterre
ses cinq martyrs ‘tombés au
champ d’honneur, qui repose-
(1) La guerre sainte de l'Islam.
Grasset information
ront aux côtés de Youssef
K or cm. le héros national delà
région.
Dans cette vüle-gamison,
on peut r air toute la panoplie
des armes modernes : mitrail-
leuses 5 00 et 800. canons de
120, mortiers de 82, mitrail-
leuses Douchka, F. M. 49.
AT. 60, etc. Quelque trois cents
miliciens en uniforme, décon-
tractés, attendent leur tour
pour aller prendre la relève
de leurs camarades sur les
lignes avancées du c front ».
En fait, la bataüle se déroule
hors du caza tarrtmdisse-
ment > de Zghorta. sur les
hauteurs qui surplombent la
ville de TripolL Mais à anté-
rieur du volage, à moitié
déserté, enfants et vieülard^
mènent leur vie de tous le.'l
fours, comme s'ils étaient,
étranger aux événements
• EDOUARD SAAif.
(Lire la suite page 4i)-^ '
Selon tue sauce diploma-
tique citée par le correspon-
dant de T AJ JP. & Pékin, la
■ Chine a accordé an Cambodge
us prêt d'environ 1 milliard
de dollars sur cinq à six ans,
sans intérêts.
H comporte une aide écono-
mique, une aide militaire, airtaî
qu’une somme de 20 millions de
dollars, payable immédiatement
et non remboursable, destinée à
couvrir le déficit du commerce
extérieur Mimer. Cinq patrouil-
leurs ont. de plus, été fournis
par la Chine au Cambodge.
la montant des prêts fréquem-
ment accordés par Pékin aux
pays du tiers-monde est rarement
connu. On sait toutefois qu’un
crédit de 450 millions de dollars
a été ainsi affecté à la construc-
La « bataille du 36 e élève »
oppose le ministre
au Syndicat des instituteurs
V'
■ * m 11 V.
2'
Des sanctions sont prévues contre les enseignants
qui limiteraient les effectifs
A deux jours de la rentrée scolaire, la polémique traditionnelle
entre le ministère de l’éducation et les syndicats prend un tour parti-
culier en raison de 2a décision prise par te Syndicat national des
instituteurs (SNI) de limiter les effectifs des dusses maternelles à
trente-cinq élèves.
M. René Haby a annoncé des sanctions . contre les institutrices
qui suturaient ce mot d'ordre. La Fédération des parents d’élèves de
l’enseignement public — que préside M. Antoine hagarde — estime
la revendication du SNI justifiée, mats dédore que « les parents ne
sauraient supporter de discrimination dans l'accueil ».
M. André Henry , secrétaire général de la Fédération de l’éducation
nationale (à laquelle est affûté' le SNI), a critiqué, au cours d’une
conférence de presse, l’ Insuffisance des créations -de postes ■ d'ensei-
ghants et réclamé le réemploi de tous les maStres auxiliaires ayant
occupé Van dernier un poste, n suggère un effort d’imagination pour
rénover la formation initiale de tous les jeunes, qui devrait, selon lui,
être prolongée jusqu'à dix-huit ans.
Vive
de l’aide au Vietnam pendant la
guerre. IL semble que le prêt
maintenant consenti au Cambodge
soit le pins Important jamais
accordé par Pékin. - •
Ce prêt- coïncide avec le retrait
par Washington de sa participa-
tion de- 5 minions de dollars Tau
par ALFRED GROSSER
financement de r agrandissement, j ne faudrait pas qu'eux -mêmes ni
du barrage de la Nam-Ngun, au
Laos, conséquence de l'expulsion.
en juin, de 'la mission d'assis- 1 - 1 , positifs de leur métier.
Finies les vacances.. Ecoles, col- Si on est sensible à l'injustice
lèges et lycées vont rouvrir, en même quand elle vous favorise,
attendant tes facultés. Une fois on pensera une fois de plus à
de plus, on pariera de morosité l'écart -supplémentaire que les
et d'irritation chez les ensei- vacances trop longues auront
gnants ; non sans raison. Mais il croisé entre les possédants et les
ne faudrait pas qu’eux -mêmes ni dépossédés, entre les mtantR anx-
ceux qui écoutent Ions représen- quels leur famille aura pu- offrir
vtants oublient tes côtés les plus des déplacements enrichissants
ceux qui écoutent leurs représen-
tants oublient tes côtés les plus
tance américaine à . Vlentiane.
Cette décision fait suit? à d’au-
tres qhi rendent la .péninsule un
lieu plus- - .dépendante, des pays
' sdcbftisaa et ■ çotttaibtter mihxccte-
ment à attiser dons cette région
la -rivalité entre Pékin et Moscou,
sur laquelle Alain Jacob fait le
point en page 2.
Toutes les difficultés habituel -
ou des enseignements de soutien
et ceux qui passeront au Twninw
les sont au rendez-vous. Les le premier mois après la rentrée
Les programmes iMlêktbleS dont. . La difficulté
Inexécution rigide est! surveillée foH I e . Le dÉom
dàvantage e n co r e par.ltfe parents. . c®. .Qdi n’était
que par les inspecteurs. savoir le d«
AVEC LE REPLI DU CENTRE D’ESSAIS NUCLÉAIRES
La récession menace la Polynésie
Papeete (Tahiti). — Le docteur
Manquene a . fait plus de cin-
quante mille 1 prélèvements, en
dix ans. daris l'océan Pacifique
ou sur les* marchés pol yn és i e n s
pour les contrôles radloblologlques
après les tirs nucléaires aeriens
De notre envoyé spécial
JACQUES ISNARD
surchargées. Les rigidités à- retrouver leur niveau dé
tves et lesi contraintes connaissances- de l&sortie. ■
tBit tuent'* Itnltntivê. - " -
mpes toflàdblfâ dont. La difficulté : nouvelle ^est- de
rigide est! surveillée fo^ I e . Le chômage rend tragique
meme par. lés parents c®. d“i n’était .qne dérisoire, à
inspecteurs. savoir le d é cal a g e entre le
contenu de - l'enseignement et
— l’Insertion professionnelle, que ce
. ' . ■ soit au niveau d’un CJS.G. ou
JCLÉAIRES «Tun troisième cycle en sciences
humaines. Que conseiller aux
. moins de seize ans obligés d'être
I y “ à l'école ? Que' ' conseiller aux
1 1 Y/ npÇ|P seize à vingt-quatre ans dont tes
I T I 1 v* «J I w uns cherchent à fuir et d’autres
à s’abriter le jplus longtemps pos-
£éf SfrontCT *
pour les contrôles radloblologlques cours dans le Pacifique-Sud. Au- devrait être
après les tirs nucléaires aeriens d lngKys qui montrent que doute. le de
de la France. Devant les bocaux ,.5^° ^ d expérimen tation s nu- Fanga tarifa,
d’analyses alignés sur des êta- * d *f pacifique (CEP), 1ns- devra être al
gères, dans son bureau, le doc- d ®PîH? lfl . 6 ® a Tahiti et sur à partir de
leur dit : « Je suis devenu un ataus voisins, va connaître techniciens :
conservateur de musée. Nous “S, raiaitasement de ses actl- de Mururaa
très de profondeur. Us attendent
la visite du ministre de la défense,
puis celle du secrétaire d’Etat à
la défense, probablement en
octobre et en novembre. Hector
devrait être le deuxième et, sons
doute. le dernier tir souterrain à
affronter le problème-
à partir de l'an prochain et -les
techniciens se replieront sur celui
conservateur de musée. Nous ralentissement de ses actl- de Mururoa, distant d’une qua-
serons bientôt réduits au chô- vlt ^* 00 PjatM un étalement, de- rantaine de kil omètr e s , pour les
mage. » Et il ajoute, non sans 1 ® 5 Juin dernier, sur essais souterrains suivants. Déjà,
quelque nostalgie : « Mais c’est • ^W1 de au fond le puits commence d’être foré.
heureux ! » a u n pui ts creuse dans le corail, pour le troisième essai dénommé i
quelque nostalgie : « Mais c’est
heureux ! »
Des services réduits plus ou
moins à l’Inactivité. Un. repli de
certaines Installations ou l’aban-
don d’autres. Des effectifs en
nette diminution. Une réorgani-
sation du commandement en
, -• „L. , . T— r — — ■ ■ — — r r--— mu umm oaai uciiuuuue I
les grès et les brèches volcam- Patrocle. au nord de l'atoll, à
que», a explosé la première une douzaine de kilomètres de la
pute - base, où vivent et travaillent
sance, a -—623 mètres de pro- 2400 personnes. I
Michel Bassi
“La République
des petits papiers”
en bref...
rantcnriMfchel Basa, rédacteur en ch efderAgence Centrale
de Presse, après m Valéry Giscard dPEstaing, publie en
collaboration, avec André Campana le "Chaud Toumor.
Un observateur lucide et rigoureux de la politique inté-
rieure française.
le sujet: Les coulisses, toutes les coulisses des cab ine ts min is -
t&ïfils avec leurs totîes d'influence
erienis affrontements. C’est en afTeî IH3BUHS9
lo Œ pasoiineF des cabinets minis- j — """“X II
térids qui plus souvent que Jes > \ , J II
ministres, détient le pouvoir reeL yj
nu extrait- “C'esr une race qui s’est
installée comme font les parasites,
mais dont nul n’oserait plus nier
fa nécessité, tant le mai est profond,
et profonde la sclérose ~
IfEiat français tend progres-
sivement a devenir une société à
irresponsabilité Illimitées
BES PETITS
EftPXEBS
SUSSE
sance, a — 623 mètres de pro-
fondeur.
Achille (c’est le nom de ce pre-
mier tir souterrain de la France
ra Polynésie) était visiblement
destiné à étalonner les systèmes
de mesures du site d’expérimen-
tations- Sur ce même atoll, à
1200 kilomètres au sud-est de
Tahiti, les techniciens mettent la
dernière ma i n au prochain essai,
déjà baptisé Hector, à — 585 mè-
AU JOUR LE JOUR
Tunnel
En juin 1974, la France
était coupée en deux, selon la
prévision de M. Chaban-Del-
mas. D'un côté, la gauche
unie; de Vautre, la majorité.
Aujourd’hui, la France est
toujours coupée en deux :
les tentatives de dècrispation
du président, bizarrement
secondé par M. Poniatowski,
n’ont pas réussi à couper la
gauche en deux et la France
en trois. Les coups de poing
sur les prix n’ont pas
convaincu les salariés, et 2a
polémique de Za gauche n’a
pas convaincu ses électeurs.
tant de là.
Le page traverse en quelque
sorte deux tunnels : Van. éco-
nomique ; Vautre, politique.
Mais on n’a jamais vu aussi
clair dans un tunneL
BERNARD CHAPUIS.
\ore.Bector Ce -problème continuera & être
m e et. sans compliqué par la ■ discrimina-
lou ^ r ™n a tîon entrer les « bons » et les
luoi, 1 atoll « mauvais », non 4 partir de l'apti-
en principe. tnde ou du goût pour tel métier,
ham et les mate à partir du. critère préalable
int sur celui généralisé des mathématiques,
d’une qua- dont le langage a remplacé le
latin comme rituel initiatique. .
rancs. Déjà,
d'être foré. Le monde environnant accen-
■ï dénommé tuera encore son énorme pression
î l'atoll, à contradictoire sur l’école. Trop
tétras de la absent du contenu de l'enseïgne-
tra vaillent ment, il sera, par cette ahtwnçg
•même, générateur d’ennui
(Lire ta suite vaqa S.)
(Lire la suite page 10.)
« ffief ! »
au Stetit Hcvwuô&g
Or ne prépare pas un - kir - avec
du « tendant - (mais de préférence
avec un bourgogne blanc)» SI ces
deux mots entrent au Petit Larousse
1976 ce n’est pas au titre de néolo-
gismes : Je 'chanoine-maire de Dijon
n "avait pas attendu cel automne pour
passer, à l’état liquide, à la postérité,
et la vertu émoustillante des crus
valatsana remonte à plus loin encore.
Ce3t parce que leur emploi. Jadis
local, s’ast suffisamment élargi pour
enrichir un dictionnaire d’usage cou-
rant qui fait pratiquement autorité.
Certes il n’officialisa rien, le Petit
Larousse (les autres non plus), n se
contents de confirmer révolution de
la langue. Une fols de plus, l’Irruption
d’une foule de mots (108), d’accep-
licns (24), d’expressions (25), de
noms propres (72), nous renseigna
Inversement et renseignera le socio-
logue ou t* historien futur, compul-
sant csa . invasions d’année en
année,, sur l’état des mœurs, le pro-
grès des techniques, l’accès de cer-
tains Individus â la notoriété, les
événements politiques. N’est-cs pas
aussi important que le tiercé ? Bof 1
Hé oui,- -bof» par ce qua cens
Interjection, exprimant » un doute
moqueur ou une ironie sceptique »,
obtient à son tour droit de cï(viIQt&
Efle jaillit de . toutes les bouches, a
tout bout de champ. De celles de
pha/foc raies accusés de ses dama,
comme des autres,, parce que ‘le
phallocratie, oppression abusive
de la femme par l’homme », est tant
cesse mise en cause. Peu à peu, le
dictionnaire, refléta la levée des
tabous qu’il respectait no fana votons
(voir les pages rossa, 'inchangées)
comme Août im -chacun. Le voie]
qu’il imprime masturber, voyeurisme
(on ne cache plus aux écoliers des
réalités au demeurent -fort simples),
qu’il doit bien tenir compte de
l’argot du milieu : cavale, flingue et
fifnguer {eux-mêmes issus de fllngot),
loulou « Jeune oisif des faubourgs,
voyou (on-dit aussi /pubard)». Comme
du langage, familier r chapeauter,
cailler, par exemple dans la sens
d’avoir autorité sur un groupe de
personnes, un service, un organisme,
ce qui révèle une superstructure
dans les rapports sociaux ; de même
que copinage » «change Intéressé
de petits services », dénonce des
procédés de plus en plus répandus.
JEAN-MARIE DUNOYER.
(Lire Za suite page 20.)
1.
*• îiàiS'ui-.-
r; ,-tfT
” ■. "• v_-
I
Page 2 — LE MONDE • — 13 septembre 1975
ASIE
EUROPE
Vietnam du Sud
Portugal
LA RELANCE DE L’ECONOMIE
L'Etat va aider les « capitalistes » locaux
et prend des mesures contre les < trafiquants >
Le nouveau Conseil de la révolution
sera dominé par les < modérés »
:lA.
àci * N
La gouvernement a publié, mer-
credi 10 septembre, une déclaration
annonçant la misa en œuvra d’une
série de mesuras destinées & déve-
lopper l’industrie et le commerce et
S assainir l’économie. L’Etat a résolu
de renforcer les Industries natio-
nales et d’en construire de nouvelles
dans les branches qui doivent .servir
de base à la relance de la produc-
tion, à l'élargissement de la circu-
lation et de la diatribution des mar-
chandises et à la stabilisation du
marché.
tionnalres et sont entrés en contact
avec des agents de pays étrangers
et avec la C.IA. pour saboter clan-
destinement rouvre de le révo- >
luUon ».
Lisbonne. — Le Chili à la .
«unes. En ce vendredi 12 sep-
tembre 1975 la presque totalité
journaux de t ighnrïrie ont pré-
féré rappeler les leçons de rex-
De nos envoyés spéciaux
président de la !
premier ministre
L’Etat encourage les « capitalistes
vietnamiens» d Investir dans les
entreprises, conformément à la poli-
tique définie par le gouvernement, et
il leur garantit que • /surs biens et
les bénéfices légitimes qu'ils auront *
réalisés seront respectés ». Il est
disposé & fournir des capitaux aux
chefs d’entreprise désireux de contri-
buer à la relance des firmes «da-
tantes ou & l’établissement de nou-
velles entreprises.
La déclaration ajoute que ces trafi- .
quanta ont accumulé des fonds de
manière malhonnête avant la libéra-
tion, qu’ils ont constitué des stocks
Mettes de denrées de première
nécessité, se sont livrés a un trafic
de devises, d’or, de pierres- précieu-
ses et de stupéfiants, et qu’fis ont
cherché â corrompre des cadres et
des militaires.
périence chilienne plutôt que de
suivre à la loupe les in termina- à&f
Kl PC i»mciilfaiWrw« POUT la COZlStl- Jp
tutkxn du «lyiamp gouvernement percti
provisoire- I* Qn. dramatique de. ttm.
rOMté populaire cMBenas; 11 y: V b
a dPiiT arw . ne apBm de hanter cré.
la gauche et raxtréme gauche, étuti
portugaises. Des socialistes aux tien
, qui, il y a quelques Jours, l’armée de terre, la marine et
dt que l’ancfen président l’air se partageant le reste.
République pourrait rentrer Comme on le prévoyait, le nou-
ctugal « s’il respectait le veau c découpage » favorisera la
i ocratiqae ». On notera, ten dan ce . c modérée » qui se
wMina, une différence de recrute- l’armée de terre.
premier ministre désigne, c» ».
venir à un accord. Parta nt ÿ.
aux ouvriers d’une usine mé
lurglque d 'Am adora, fit Al'
Cunhal a réaffirmé les poslt
de son parti:. « Des forças,
droite cherchent à imposer,
virage c ISO degrés de la poZ#
portugaise. Nous ne caxthmm ,
pas un tel range ». a. asm
secrétaire général du PC,
. refuse donc toute Idée de o
Lion avec le VJ? J).
11 semble, en fait, que les i
munlstes se battent reuie
sur le côté « formel » des ch
C’est ce qui ressort des déci
tiens de M. Cunhal :
admettons, a-t-U dit, que
membres du parti commis
comme certains du parti m
liste et « dautres partis », g
nent des responsabil.kés Jm
futur gouvernement, mais
être, par là même, re p r iser a
officiels de notre parti a' -
coalition qui n'avoue pas
nom? ., '.
Mais l’attitude des commur
traduit bien leur hésitai .
s'engager trop avant aux
des socialistes et des rente
quand « le recul de oa révolu 1
provoque déjà le développe
d’une opposition polloqua et
taire sur leur gauche. Fart •
au pouvoir ou ne pas se e
d'une opposition ? J ; cos
niâtes veulent sortir du dll
en Cherchant un moyen 1
u mra difficile de r
deux fers au leu.
DOMINIQUE POUCK
et JOSE REBEU).
> de. ttsL^èt de traitement. Cette c- remise en ordre »
il y: V Lé Conseil a cependant consa- ‘devrait sa faire .sans difficulté.
7 essentiel de la réunion à les amis ‘du major Mdo An tunes
est sa. propre « restructura- ayant désormais solidement ins-
S " La « i in wto !inn l présidée taHé tores positions. Elle sera
maoïstes, chacun y trouv e de so— par jb capitaine Vasco Lourenço, même peut-être plus rondement
lides arguments pour Justifier f 'et chargée dé « débroussailler le menée que la constitution dn
sa politique et stigmatiser quK sujet », a présenté ses conclu- sixième gouvernement provisoire,
1* « aventurisme », qui la «Ixam^r stomyjflzistanoe suprême de la donnée chaque Jour pour « pro-
Dans les entreprises « mixtes »,
les chefs d’entreprise devront accep-
ter le contrOla de l’Etat et garantir
aux ouvriers un droit de participa-
tion & la gestion et au partage des
bénéfices
Le G.R.P. affirme que les «actes
réactionnaires - de cas trafiquants
• ont nul au développement de le
production, & la vie du peuple, aux
inférées de la révolution et au pro-
grès social, ce qui est un crime
Impordennable », et annonce que
des châtiments sévères seront admi-
nistrés aux trafiquants et à leurs
complices. Plusieurs de ces trafi-
quants viennent d'être arrêtés. Les
organisations révolutionnaires sont,
depuis mercredi, mobilisés afin d'éli-
miner les « accapareurs de l’éco-
nomie ».
«m soclal-démocraie ». r érofiffta? sera, réduite à dix- tiquement terminée ». Là. les
Si A Lut a, proche dn P JS- : neuf feembres, le' président de la obstacles restent les mêmes: le
condamne T « in discipline » qtfe: République et dix-huit autres parti MmwwiiM» refuse de s’as-
risque de déchaîner les forces dé? f casses lers choisis par les trois seoir & la wAn» table que les
La réaction. Republie a, a£ Vannes. H est certain que les' dirigeants du Parti populaire
c ontrair e, dénonce les * stratégies trois eh»*» d’état-major et les ■ démocratique. Tout an ««tna pour
réformistes gui empêchent les trois des régions négocier. Les socialistes conti-
masses de se lancer dans la des- militaires en. seront mgmhn » » nuenfc <imR de jouer les a mes-
trucüon de l’appareü cPEtat». d'office. Resteraient donc douze sieurs bons' offices », pa-wanfc de
« La pause où r avancée * : Us- sièges à pour vo ir : six Iraient A l’un à l’antre pour tenter, avec le
Tinnna ~n * ■ tfi 1 rree e4 IaM lia Üle m _
Les «petits commerçants», trop
nombreux dans les villes, seront
enoouragâs & s’orienter graduelle-
ment vers le secteur productif, à
regagner leurs réglons d’origine ou
à participer à la mise en valeur de
«nouvelles zones économiques».
• A HANOI, 1s gouvernement
dément avoir projeté de vendre &
l’étranger - des armes américaines
autrefois utilisées par les forças de
Saigon i/o Monde du 11 septembre).
hnnn» u’est pas si lo ti* de 'San-
tiago^ et si les analyses s'affron-
tent nuances, tons conclu-
sions s’accordent : «Que la ré-
votation s’enlise, et demain t ai
antre Pinochet viendra la prendre
par surprise.»
Cer tains le volent déjà affublé
d’un monocle, attendant son heure
dam les suites luxueuses d’un
hiitoi parisien. Mercredi, A Lata
s'excusait pres que de se faire
Bans turc Interview & IT 1
L’EX-GÉNÉRAL SPINOLA : il faut
qv&Jes forces armées retournent dans les casernes
L’ex-génèral
l’écho (Tune rumeur alarmiste : I ancien président de la
« Sptnola tenteratt-ü cette se-
maine de soulever le nord du
ri «ms un» In t
•tugal ne dépendra que de la vo-
lonté du peuple portugais dans
son ensemble et ne dépend pas de
La déclaration appelle la popula-
tion A déceler « tout complot dos
Impérialistes et de leurs valets qui
visent à saboter la vie pacifique de
notre peuple ». Des mesures sévères
seront prises à l'encontre des « tra-
fiquants » et des « accapareurs •
qui désorganisent le marché et qui.
« après avoir servi <f outils & la. poli-
tique d * économie néo-colonialiste des
Américains, as sont alliés eux réac-
• A WASHINGTON, le gouverne-
ment s rais en garde. Jeudi, le VIet- |
nam du Sud contre toute tentative
qui viserait à utiliser les ressortis-
sants américains résidant au Sud
comme «otages». en vue d’obtenir
des Etats-Unis des avantages, finan-
ciers ou autres. L’avertissement S
été provoqué par les difficultés
qu’ont, ' samble-Hl. éprouvées la
semaine dernière plusieurs Améri-
cains — sur la cinquantaine vivant
encore au Sud — qui voulaient
quitter Saigon. — (AFJP .)
jeudi 11 septembre à tels. ou têts dirigeants gui anjaur-
pays ? » Le lendemain, le même IT L a déclaré : c H faut que , les d’hui se trouvent au pouvoir. »
journal publiait un démenti for- forces années retournent tmmé- . ■ ... - . „ ■ I
mel dn'généx&L Qu’Importe I Sa d ia te m en t dans leurs .casernes en ’ * La premiers condition, démon
présence en Europe alimente les livrant le pouvoir aux légitimes retour, au pops est que sait res-
cxalntes. Le Conseil de la révo- représentants du peuple porta- pectie la' volonté; du peuple por-
lution en a lui-même débattu pars. » Ha qualifié de c version - tapais à travers des institutions
Jeudi ; 11 estime nécessaire de fantaisiste et tendancieuse » lin- vrai ment démocratiqu es^ et - re-
rappeler que l' ex -général est tou- formation, sejon laquelle ü serait prisentattoas». a-t-il affirmé.
^ tonrp ^ * T1 Portugal à «-/J faut que ^information soit
tion à lA-teut^ive coOtre-rtvo- la tête «Tune année. • • objective et démocratique et que
lutfonnaare du 11 mars. Poux l' ex-général, le départ du soient libérés z«*©ri*onnters «o-
Ju F
< S?ü( revenait, affirme le cnn- général Vasco
munlqué dn Consul, fi serait tm- vemament ne c change pas le nemnmeni mrrznn
médiajement arrêté en attendant fond du problème». «Ce n’est me* tumnê^amd.
d’être [jugé par un tribunal mSi - qu'un, épisode dans le cadre des a, Partsuml
a . c/Z fout que rinformotton ntt
•. ' . objective. et démocratique et que
e soient i itérés les prisoanien po-
«ttpj- iniques, n faut installer un gau-
nge -J >a i,JjS vernement composé par des hom-
- •JSL *5 mfis honnêtes qui placent la salut
** Portugal au-dessus de leurs
tatre J révolutionnaire. » Faut-Il contradictions de Jlaataél régime, intérêts » «Tt'o
voir là une réponse à M. Mario Urt-O. ajouté. Mon retour au Par- £££££ .
m Le Comité de soutte
’ peuple portugais, qui afflrn
srouoer des militants d’ex
gaueme^ dénonce dans un co
niqué la Présence à Part
r ex-général Spinola. Le C
créé en juin dernier en mar
centre ^études et de docum
tlon sur le tiers-monde s
conte le fait que « la Aime
c on tie nn e aceneflla avec vn
dateur tapage Vévtigri de
AUtonio de
accorde «une
Spinola » e
pinllnl rt jiunnh
SOUS TOUS UES PRÉTEXTES
Italie
...
et, Chinois se combattent Sans merci
La qnexelle dno-soviètiqtis
connaît scfaxéQémest un regain
d'âpxelà S au ci m inddant
n'est signalé dans les sônes
fronlalièras. tous les pré t extes
«ont bons en revendu, de part
et d'antre, poux se lancer les
pires accusations.
rUJELELS. On peut se demander
si Moscou ne s'irrite pas en réa-
lité de l’attitude des dirigeants
UOTü-vietnamiens, qui ont toléré
qu’un tel discours fût prononcé
chez eux. TJne tdle interprétation
correspondrait aux récentes cri-
tiques de la revue Kommounist
contre les P.C. qui adoptent une
attitude « neutraliste » au « conci-
liatrice » envers la politique
maoïste (le Monde du 30 août).
Ces mêmes critiques étalent
d’ailleurs reprises le 10 septem-
bre par les Izoesüa contre « ceux
qui tentent dé jouer le jeu des
Chinois ». s La Chine maoïste,
écrivait le quotidien, soviétique,
est (~J pottr tous les. peuples et
Etats pacifiques un adversaire
dangereux (—). Dans ces condi-
tions, la tâche consiste à garder
une vigilance constante à Tégard
des actions subversives des leaders
actuels de Pékin, à neutraliser
résolument leurs atteintes à la
cause du socialisme et de la
paix.»
Pékin de son cflté n’est guère
pins tolérant à Tégard des partis
communistes quif estime trop
proches de Mosoou. Ainsi, rap-
porte-t-on, la délégation du P.C.
français qui s’est rendue à Hanoi
Un signe Inédit de cette viru-
lence a été donné par l’agence
Chine nouvelle, qui a publié, le
7 septembre, le texte d’une
«déclaration orale» dn ministère
chinois des affaires étrangères
expliquant les raisons pour les-
quelles Pékin a refusé à une délé-
gation soviétique Tantorisaüon de
se rendre en Chine, à l’occasion du
trentième anniversaire de la vic-
toire sur le Japon, pour y fleurir
les monuments à la mémoire des
martyrs de l’armée soviétique. Ce
texte accusait Moscou de use
livrer avec frénésie aux acti-
vités antichinoises, -d * envoyer sans
cesse, par diverses voies, nombre
<T espions en Chine à des fins
d’activités de subversion et de
sabotage»: enfin, «pour parler
cru », ae n’avoir « dfaütre but que
«de forger des prétextes antichi-
nois et d’inciter le peuple soviéti-
que à se montrer hostile à la
•Chine ». ...
' Le plus nouveau, dans cette
Affaire, n’est pas tant le refus
opposé par le gouvemesneiit chi-
znois à la délégation soviétique
— une mission de l’ambassade
dUJLSjS. à Pékin s'est d’ailleurs
rendue, le 3 septembre dernier,
comme les années précédentes, - à
Wuhan pour y fleurir le monu-
ment aux morts de l’armée sovié-
tique — que la publication de la
« déclaration orale » du ministère
chinais des affaires étrangères. ZI
est vrai qu'antérieurement Mos-
cou avait apposé les Chinois de
<* manquer de respect» pour les
martyrs soviétiaues_
Au moins aussi significative est
une attaque lancée le 7 septembre
par la Praoda contre le chef de
la dâégatioa chinoise aux céré-
monies du trentième anniversaire
de la République démocratique du
Vietnam. le général Tchen Si-
lien, vice-premier ministre. H lui
était reproché d’avoir, dans un
discours, prononcé le 3 septembre
aux aciéries de Thaï - Nguyen,
déclaré que « Zes deux superpuis-
sances font tous les efforts pos-
sibles pour attirer dfaatres pays
dans leur sphère d’influence et
aggravent ainsi le danger dune
troisième guerre mondiale ». La
Pnzztfa accusait les dirigeants
Aux Nations unies, enfin. l'As-
semblée générale extraordinaire
sur le développement et la coopé-
ration économique a été l’occasion
d’un -nouveau duel aratoire entre
. le délégué soviétique et le délégué
chinois (le Monde du 5 septem-
bre).
. L’âpreté renouvelée avec la-
quelle la Chine et TU3L&8. s’ac-
cusent mutneUemen t tient à des
circonstances Internationales nou-
velles jugées préoccupantes par
chacun îles deux adversaires. En
Europe, la Chine s’inquiète de
longue date de la tendance des
r ys occidentaux à trop se fier
la politique de détente préco-
nisée par TUJLSJS. et consacrée
par la conférence d'Helsinki. Plus
les Soviétiques auront les mains
libres & l’ouest, estime^t-on à
Pékin, et plus ils se feront me-
naçants à l'est, où ils auront tout
l oi s i r de. concentrer leurs forces.
RIati que les Chinois affirment
depuis quelque temps que la prin-
cipale menace est à l'ouest, il est
vraisemblable qu’à long terme Ils
n'écartent pas- Je risque d'un con-
flit à l'Est.
par une analyse selon laquelle la
politique .relativement indépen-
dante, .de .Bucarest affaiblit la
valeur militaire, dn pacte de Var-
sovie..
Les* problèmes les phu brûlants
ae posent néanmoins eh Asie, en
raison des réalignements encours
après las bouleversements du prin-
temps .dernier en Indochine. Dans
toute l’Asie du Sud-Est, la riva-
lité sino-Boviétique sa traduit par
une lutte d*m finança plus ou
moins sourde^ 'mais sans pitié
auprès (des régîmes les plus divers.
C’est ainsi que, selon le corres-
pondant de l’A-ffP. à Pékin, de
hauts dirigeants chinois auraient
récemment exprimé à des visiteurs
nard-vietnamiens l'opinion que si
, L'amtaoadeuejfes États-Ün» affirme
lue Washington ne tolérerait pas la participa
des communistes au gouvernement
De notre correspondant
Rmtie. — m. John Vaine, sm-
assadeur des Etats-Unis à Rome
Hanoi laissait trop de «harw» à
rO JLa fi L la c guerre de Ubèrar
1TL R .SB., la c guerre dé £
tion » serait « a refaire a.
- Pékin, riajqT l'ensemble, à Jus-
qu’à présent para en meilleure
position, que Moscou auprès des
pays récemment décolonisés, neu-
tralistes ou non alig n é s asiati-
ques ! la oa la chine
les incite à s’entendre d’abord
avec elle. Bien que déme nti es à
Vlentlane. tes informations sur la
présence an Laos de nombreux
conseillers soviétiques laissent
cependant penser que TUBAS,
n’entend nulleme n t laisser le
champ libre à la. Chine. Et la
Thaïlande, dont le premier minis-
tre est allé cet été à Pékin, ne
vient-eXle pas d’adresser tene invi-
tation à M. Gromyko ? D’un,
autre côté, Pékin n’a guère tardé
à nouer des relations avec Dacca.
pour le trentième anniversaire de
la RJ).V. n’a-t-elle pu passer par
la RJ).V. n’a-t-elle pu passer par
Pékin, sans parler de la dénon-
ciation répétée par Chine nou-
velle des ingérences soviétiques
au Portugal et la mise en cause
implicite par cette agence du
PX:. portugais-.
Les dirigeants de Pékin s’in-
quiètent en tout cas lorsqu’ils
estiment qu’au oFrtugal, selon les
termes de Chine nouvelle, l'Union
soviétique s'efforce « d’ouvrir une
brèche dans le flanc sud-ouest de
la zone de défense européenne de
l’OTAN ». Inversement, l’accueil
chaleureux qu’ils viennent de faire
à une délégation du g o uv ern ement
et du parti roumains s’explique
dés lors que 'le Bangladesh s*est
trouvé en d’autres maths que celles-
Au centre de Montpellier
un nouveau Frantel
Hôtel Frantel
Montpellier
maoïstes de chercher « à porter
sur le territoire vietnamien la
-« guerre froide » qidüs mènent
contre VUJLSjS. ». liais l'organe
_du comité central du P.C. sovié-
tique entre lui-même dans ce jeu,
puisqu’il choisit de relever un
discours dann lequel- j© général
‘ Tchen Si-lien, tout en partent de
à à. A *'
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"« superpuissances », & « impé-
rialisme » et d’ c hégémonisme »,
s'était- abstenu — par égard sans
doute pour ses hôtes — de citer
, frantel
JK au cœur des villes
trouvé en. d’autres maths que celles-
de MtxJIbur Rafaman, fidèle. ar»U
des Soviétiques — tandis -que la
Pravda s'inquiète ou vertement des
orientations du nouveau régime.
Au Japon, la partie reste
d’autant plus incertaine que la
rivalité slno- soviétique se greffe
sur des lnttes Internes entre fac-
tions au sein du parti gouver-
nemental. ce qtA lait dénoncer
par 1 la Pravda (10 s eptem bre) les
milieux qui à -Tokyo « cherchent
à justifier les ' agUoiis antisovié-
tiques de Pékin » en encourageant
la signature avec la Chine d’un
traité rie paix oü, conformément
aux exigences chinoises, figurerait
une' condamnation' de toute ten-
tative d’e hégémonie d’ttn pays
tiers » en abIp.
La clause « - anti-hégémonie »
sert d'ailleurs de' point de cris-
tallisation à la -qâerelle sfcno-
sovi étique dans bette partie du
monde, car elle nhnstitne la ré-
plique chinoise an -projet de sys-
tème de sécsRé • collective en
Asie dont Moscou 'parte à tout
propos et que Pékin dénonce pré-
cisément comme -«ne tentative
* hégémonique ae. rnjLSJB. '
De tels exemples, qui pour-
raient être mhtupHès, montrent
que la lutte des deux paissances 1
communistes va Plan au-delà de
la polânique verbale.
bassadeur des Etats-TTnte à Rome
— ■ auquel Une récente prise de
position dans les affaires politi-
ques italiennes avait valu le sur-
nom de e Monsieur Goipe ( 1 ) ».
— fait ,à nouveau la une des
Journaux: Interviewé par l’hebdo-
madaire Epoca, il vient d’affirmer
. que son pays ne tolérerait pas
une participation des communistes
au pouvoir en Italie. Cette décla-
ration a provoqué de vives réac-
tions dans, les milieux de gauche.
Plusieurs sénateurs du P.CX. en
particulier, ont demandé au gou-
vernement rie prendre des mesures
pour «empêcher des actes de ce
genre** tandis . que. l’organe du
parti socialiste dénonce « une
ingérence inadmissible » et que le
Manifesta, quotidien d’extrême
gauche, réclama carrément le rap-
pel.-du diplomate.
M. Vcftpe ne.pouvaft Ignorer que
sou i n t e rven t ion déclencherait une
levée de boucliers. ST l’a tout de
môme faite, c’est sans doute pour
démentir de récents bruits attri-
buant à Washington plus de com-
préhension à l’égard du P.CX
«Le président Ford, le secrétaire
d'Etat Kissinger et d'autres fonc-
tionnaires américains ont affirmé
e xpli c it ement à ■ de nombreuses
occasions, a déclaré M. Volpe à
Epoca. * que la participation des
communistes au gouvernement et
leur conquête du pouvoir dans un
Etat membre, de VOTAN seraient -
une contradiction de fc -
l’OTAN est en fait une al
défensive, librement cône-
pour protéger les pays me:..
dragressions potentielle
FUJLSK. et de ses aJUés du . ,
de Varsovie. »
a Cette finalité se verrait r
promise si des partis commua -
liés indissolublement à VU* ■ -
sur le plan idéologique, pc'
patent au pouueroemeitt (T '
qui conridèrenf FUJIKJS. a
leur principal adversaire p- - -
fiel ; D’autre part, compté .. .
des liens politiques, histor ~ ;
culturel et sociaux qui uni
solidement les Etats-Unis et
lie, nous ne pourrions faut
l’instauration cTun système,
•gouvernement étranger à l&tx*
dition démocratique occident^?
a-t-11 ajouté.
D’origine italienne, WL V. ,
est en poste à Home depuis*,.*
cambre 1972. H entretient-. '
rapports étroits avec .cerài *r
m il ie ux politiques italiens et -
nom a été associé à piuri-t «•. ,,,
reprises à dre événements »' C. W»
CO Xn espagnol. « goipe » airain»
« coup dXtst
Catün (qui s’ e mpressa d*
répéter), qu’il falialt 4 11
des élections anticipées. D«-.
plusieurs journaux ont fait
de divergences entre M. Voip'
le département d’Etat ace
cain, que l'ambassadeur dé» 7
aussi dajis son interview à Ep
ROBERT SOÜ
Pane mark
1E EOÜVEBMEMEMT PENSE POUVOÜI
FAIRE ADOPTER LE PLAN DE BEtM^
De notre correspondante
ALAIN JACOB.
Copenhague, r- Réuni cette se-
maine en session extraordinaire,
le Fadement danois- «miwiiwn qua-
rante et un projets de loi concer-
nant la- situation économique.
Contre toute attente, juste avant
le début de ces travaux, îi Anker
Jocrgenaen (qui préside depuis,
février un cabinet minoritaire
apcW-dtoocrate). a 'réussi à raE'
lier dhq de» partis de la Chambre
unique (radicaux, UbéreuTSrS
tiens populaires, centre démo-
®5“® fit* BBtureïlemenfc, sodaux-
démocratre) à un compromis sur
le plan visant à relancer d'ur-
Bence la vie économique:
^ Parmi les mesures prevu»
flgmeÿ notamment un
ment de la T.Vjl de 15
pour une période de cinq mois;*
presque tous les produits .« '
sur les' automobiles et
notamment), le remboursât .
de l’emprunt forcé sur les rft .
xms «levés et moyens perçoir,.
1B74 (soit 1 milliard de oourêggv
équivalent à 704 m©k»C
francs), une Injection de i jg
üaxd de couronnes dans le sec» ^
privé et une augmentation 'j. k
630 millions de couronnes a ,
dépenses publiques.
: Jf- réunion du Parlement «J
ôté . précédée par ltetetefiBl,.
annuelle du parti social- dé»- .
crate, qui s'était tenue le 6 «t;
7 septembre à Copenhague, t
cours de la réunion.
CAMILLE OLSEK. ,•
Doux»
(ta
H
H
• ■ • LE MONDE — 73 septembre 7975 — > Page 3
fî >îutj
ôré s
AMflofa
APRES LA PraSE DE
CAXITO
Le M.P.LA. développe sa contre-offensive
L» costoe-offusiTt du Mg nwm ot populaire
' ' p^fïir la libération de 1" Angola (MJP-I— AJ, engagée
~ quelques jcraxs A la foia an nord contrô les
■ ^5^5** du Front rnifionwl • de l&wn&a (FJTJbJk.)
> fv'su and contre les trempes de rOMon nationale
l^dspondance loiale-de F Angola (UNIT Al -
: . r .'ic^-jrour&oiL Lm Mo uvem ent qd ce réclame <3u co—
>.:,.- 4îsme et qm est notammant soutenir par l'Union
V^iétHrae, occ up erait désormais pntHquemant .
: ‘-r? 1 r ise des seize provinces du pays. Stimulées par
>:■ ;■ -prise, sans grandes difficultés, de Cntto. loça-
* qnî.se trouve A 53 kilomètre* an nord de 2a
>^iisle. las forces du M.P1A avancent maizrte-
•V j'^it en direction du port cTAmbrix. à~120 küo-
f'dxss au nord.de Caxilo. et de Cazmona, antre.
bastion du FJO^A-_à l'est de la capitale. Elles
font aussi mouvement vers Nova-L.isboa,
deuxi è m e ville du pays et principal d’appui
. • deTDKTXA. L* M . P . T , A . a ansuocé que le général
Antonio José de Andulo, l'mt des plus hauts res-
ponsables miKt a rix es de l'UN'ITA. s'était rallié en
co mpa gn i e de six officiers et de douze à
llssue d'affrontements dans. la région de Lasa.
9 A Hr»l i GBADK. le w»twh«] ^ le prè-
-, B i bal Ma ri en lTGonabi. du Congo, ont "fc mer-
credi 10 septembre, en accusation, 1‘ « intezyen-
üon impérialiste . an Angola », qui a int-w» m les
mouvements nationalistes rivaux A partir en
- guerre les uns contre les antres » et qui souhaita
T « infamationalïsation du conflit ».
Les troupe s du FM.L.A. désemparées
. r: ?--<03axito. — Le vent qui s’en-
‘V.-Liffre dune l’avenue centrale de
Correspqndance
_ j4.i4.j- ..... giipr-» - «nfai- « ■« «uui coowmer a jouer
m ^ f^ tt n ^îS cees S All8rta ' ;Résn "
ï avSfes autorités et l'arate “f- **$£1**
!oL’rc*.a!?aslafs'
, :■ “s'rito accentue l'Impression d*on _____ . .
Vm îot de cin éma abandonné. Les
: } Ouvrent sur des ïïK^^ïdS comm8
a ■ cochons noirs errent au em«i forces • armées du
- s. j restes du pillage répandnssur MLP X^ ne pavoise pas, ftoons-
trottoirs. ■
, „ v nltt a ir e évalué jaDorxw icuicnt - ».
• AS ^.rout «U fond del'avame cen- n reste, prudent «Attendant, de
..j.ae, n»™ la cour- a Aine, an— .
't vc : nne caserne de l’armée poztu-
^.Ise qui abritait le quartier . v .
- - r. .-'aérai des forces- du F JUkA, des
■ ■*•■ — - Hftfja iP im r^trrrfnn le •
de la dernière Hefa^nr» ;
DC<V'fK»kas. mortiers, fusils belges
[- is.'TStai; mitraillettes, israatennes • "•
'‘•i, s'amoncellent sous les arca-
• - .^ 5 . Calmement, un soldat va d’un
; ; à l'antre pour noter avec soin,
un grand cahier blanc, la
.'...r-iirque et le numéro de chaque
• -jne. Dans le coin d’une au-
baine chambrée, tapissée de
- totos pornographiques, des pri-
■ " -huniers tentent de xéchanffer
1 ie espèce de bouillie blanche.
; ' . -rdon eux. après la prise de
- - jabubas, A quelques kilomètres
•'j nord-est de Caxito, la décom-
vgrftinn dé l’année du FJtLA-
- est accélérée. Tirés en hâte de
'.-m centre de formation, ces
jldats sont montés au iront en
’-leine débâcle. Leurs’ officiers,
oîrois ou Portugais pour la plu-
vrt, ont fui les premiers. Désexn- • _ •
rés, isolés. Us se sont cachés 7.
Qdant quelques ‘Jours H«n« les
11 • un tâtions voisines, avant que la
■ UiVJ £“ J* «lif .ne les obligeât à zi.
rendre. Le MJP -TV.A- a lui-même 1 > '
‘ savoir si le$ pays et les puissan-
ces qui soutenaient riJNITA et
le FJSTJfcA. vont continuer A jouer
ment, un dirigeant du mpt,.a.
nous a confié : *Si les gouverne-
ments gui Odent nos adversaires
se rendent enfin compte çrifvne
victoire mtUtatre de vmflTA et du
F.NJ^A. est impossible; les armes
se tairons en Angola d’M quel-
ques mois, sinon- p
RENÉ LEFOKT.
surpris de ne-pas avoir à livrer
WBÛ. •
(Dessin de PLAN TU.)
AFRIQUE
Libye
DE SÉVÈRES MESURES
OKI ETE PRISES
CONTRE LA SPÉCULATION
(De notre envoyé spécial)
■ Tripoli- — La presse libyenne t
publia le semelne dernière trois
décrets édictés par 1 " le colonel Kad-
ti»n a l’occasion du ibUnc santoeF-
salre de le rtvolntion, et destiné* à
mettre un terme à la spéculation
qui se développe de manière inquié-
tante.
te premier stipule que tous les
contrats conclus par des particuliers
depuis le 23 evril 1971 pour Facliet
de terrains appartenant i l'Etat on
en secteur publie seront n-n-n-nia, g]
ces terrains ont servi 4 bâtir des
immeubles locatif*. D'autre part, les
maison* construites avec l’aide de
crédits publies et louées an lieu
d’être occupées par leurs proprié-
taires seront confisquées.
Le deuxième décret prévoit que les
entreprises de vente de. voitures
seront remplacées par des sociétés
d’Etat.
Enfin, aux termes du tr oisièm e
texte, las étrangers' ne seront pas
admis à ouvrir des agences commer-
ciales ayant pour objet d’importer
des marchandises pour le compte de
l'Etat. Seuls des organismes publics
pourront m livrer 4 ees activités. En
ce qui concerne les marchandises
destinées an secteur privé, des
sociétés anonymes privées pourront
encore représenter les firmes étran-
gères, mais leur activité sera son-
mise 4 autorisation spéciale du
gouvernement.
Ces mesures, si elles sont appli-
quées 4 la lettre, entraîneront la
raine de nombreux spéculateurs. Une
sorte de capitalisme sauvage s’est
an effet développé en Libye ees
dernières années, cherchant
4 tirer le maximum de profits de la
manne pétrolière et des Importations
massives qu’elle autorise. Le com-
merce, aux d’une petite bour-
geoisie affairiste, *a pris un essor
vertigineux, avec son cortège de
trafics, de e combines *, tandis que
la corruption ne cessait de s’étendre.
Les spéculateurs ont utilisés la
possibilité* que leur laissait le
maintien, d’un large secteur privé.
Car ai les grandes entreprises, les
assurances, les— banques ont été
nationalisées, le commerce restait
libre, et notamment la représentation
des firmes étrangères. L'Inflation,
qui est de 20 % à 25 % par an, a
pwmit aussi nombreux inter-
médiaires de prélever des bénéfices
supplémentaires.
ROLAND DELCOUR.
! vraie bataille
Caadto. Moins
pour s’emparer
le deux heures
• }s; ’T'V’ïflrw? suffi à la première attaque
,ï.,i ; i.t. v,w»»»uiiv! T ^ orin g e ^ l’infanterie -et des
idés pour chasser le tn t, a. de
., ville et accentuer la fuite de
forces vers le port iTAnibrix,
lé 120 kilomètres plus au nord,
y a bien quelques tas de
iDles abandonnées sur le bord
' la route, mais rien n'indique
effet que le RN-L-A. ait opposé
moindre résistance.
‘ 1 y a moins d’un mois, rétau
resserrait autour de Luanda.
.\'.ls le P-N.I^A. a perdu trois
LE SORT DES OTAGES DU TIBESTI
Douze organisations féminines
font une démarche à l'Élysée
en faveur des époux Claustre
ML Jonmlac," conseiller tech-
niqge auprès" du président de la
République, chargé de négpder
Avec les dirigeants tchadl e ns les
conditions de la libération de
.ailles décisives : Cabinda et ('Mme Claustre, détenue depuis
mda au mois de Juillet, Caxito
début de septembre. Dimanche
;, dans un discours prononcé A
lio-Huambo, ML J onas SavimbL
.géant de 1 UNIT A, a de non-
Éthiopie
CINQUANTE-CINQ
PERSONNALITES
DE L'ANCIEN REGIME
SONT AMNISTIÉS
jidis-Abeba M-RPJ. — Cm.-
mte-dnq personnalités déte-
æ depuis plus d’un an dans
cachots de l'ancien palais
‘ nfelik d’Addls-Abeba ont été
□Istlées Jeudi U septembre. -
Jette décision du go u v e r n era \t
ltaire provisoire coïncide avec
premier anniversaire de la des - 1
rtdon de l’empereur Hallé Se-
llé.
. ’anni les personnalité llbé-
5 , la plus connue est l’ancien
üstre des affaires étrangères.
Menasslé HaUé, qui avait
ement attaqué les thèses du
près de diz-sQ>t mois par les
rebelles Toubous au TfbestL a
regagné Paris jeudi 11 septembre.
Il s'est immédiatement rendu A
l'Elysée, afin de readre- compte A
M. Giscard dThtaing dès deux
entretiens quH a eus. mardi et
mercredi, avec le président Mal-
loum, chef de l’Etat tchadfen. B
devait être reçu une nouvelle fois
ce vendredi après - midi par
M. GHscard <fEâtalng.
La menace gui plané sqr la vie"
de rethnologue continue de susci-
ter une vive émotion en France.
Des déléguées de douze organisa-
tions féminines devaient remettre,
vendredi après-midi, à l’Elysée
un texte .demandant que stout
soit immédiatement mis en œuvre
jtour sauver Françoise Claustre
de la mort, ainsi que son mari ».
Elles s’étonnent du fait que
s Mme Claustre att pu subir
tant dé mois de détention dans
des conditions dramatiques, avant
que Tes pouvoirs pubEcs s’en
émeuvent» (1).
en mission , afin de tenter de
railler ies rebelles Toubous. Quel-
ques s ema in e s plus tard," celui-ci
entrait en dissidence. ‘ H devait
ensuite, autoriser M. Claustre A
rentrer rismip^tiTi^m Mit , au Tlbestl
A cinq reprises pour voir sa
femme- et < pour lui livrer,
semble-t-il pour 70 mflHon* d’an-
ciens francs formes*. Toujours
selon lé poste périphérique. la
mission, pour la reforme adminis-
trative camouflait une sorte de
police dés renseignements géné-
raux; «es qui üd donnait des
allures barbousitre ».
Togo
. TES NÉGOCIATION!
SE POURSUIVIT A PARIS
SUR U RÉVISION
DG ACCORDS DE COOPÉRATION
Un échange?
«avoir, peu après la chute de
•crtFC* japerenr. Au total six ministres
1 vice-ministres figurent sur la
R î :ï i • -te des personnes amnistiées,
s " _*« H-’ comprend aussi une .dou-
r »* Cl Mil ** M de Juristes et -plusieurs
» i ^ Ici ers supérieurs.
- te des personnes amnistiées,
|l>! comprend aussi une .dou-
»* oe de juristes et -plusieurs
Ici ers supérieurs.
> A BEYROUTH, l’agence
eetlnlenne Wafa a mf.usé
dl. un cDDUQiuxiffuâ annonçant
i les deux Fronts de Ubératian
l’Erythrée étaient tombés
mord sur le principe de leur
fication. Les représentants des
x Fronts se seraient réunis A
artoum du 2 au 8 septembre.
, ‘unification des deux organi -
tons » aurait été reconnue
omme une condition prbnor-
le à la victoire contre Vettnenti
iopien ».
'sa deux organisations soit le
îsefl révolutionnaire (FU C-
;.) et les Forces populaires
•x la libération (PJLF.-FLE).
principaux dirigeants du
3- C.R. se trouvent A Damas.
enfin, - une femme ■ de dn-
.quante-trois ans, Mme Lucienne
Bourgeois, habitant Le MAns, dans
la Sarthe. & offert cfétre échan-
gée avec Mme Françoise Claustre.
Dans ses bulletins d'informa-
tion de vendredi matin, R.TJL
a mis l'accent sur le fait que
M. Claustre et le chef des rebelles,
M. Hlssène Habré, se c ormals -
sBlent- depuis 1070 et avaient
mfenB eu l’occasion dé travailler
eosauble lorsque le premier diri-
geait AU Tchad la Tnferitm pour la
réform e fldmttri « t.rs. t R yiE (MR A T,
et que le second était sous-préfet
A Maussouro. Selon ILTJL- c’est
sur la recommandation de
ML Claustre que le président
Tombaltoye devait décider, en
IfiTL d’envoyer M. Hlssène Habré
LE PRÉSIDENT GABONAIS
PROPOSERA-T-H.
SA MÉDIATION ?
- Le 'président Bongo du Gabon
a quitté Paris jeudi 11 septembre
par avion spécial pour Libreville,
via fn) J amena, à l’inné d’une
visite de quatre Jours, en France
au eouxs de laquelle H s’est
entretenu avec ré président Gis-
card d’Kstalng-
La radio de Lfioarine. citant
son envoyé spécial 4' Paris, . a
indiqué que le' président Bongo
aurait an cous de c e tte escale
à XDJtneu un entretien avec
le général Malloum, le premier
entre les deux chef* -d'Etat
depuis la prise de pouvoir 4
N’DJamena en avril par les
militaires.
La question se pose de. savoir
si le président Bongo offrira sa
médiation pour tenter de sauver
Mme cunstre. '
An début de a jmnet, c’est
l’Intervention d’ôn chef d’Etat
africain — la général Mobnjn,
du Zaïre, — qui avait.’ ooudixft
le général ldi Amin Dada ■ 4
gracier un ritoyen britannique,
M. nnij éondasuré à mort en
Ouganda . poux avoir trait! lé
général Amin de « tyranneau de
village a
Le général Eyadema, chef de
PEtat togolais, arrivé mercredi
10 septembre en France, a été
l’hôte A déjeuner, jeudi, do pré-
sident Giscard (TEstahig. M. Chi-
rac assistait A ce déjeuner.
A sa sortie de l'Elysée, le gé-
néral Eyadema a rappelé que le
voyag e privé d’une dizaine de
jours qu’il fait en France entre
dans le cadre de la révision des
accords de coopération entre les
deux pays entreprise il y a un an.
Une séance de travail a réuni
jeudi, en fin d’après-midi, au mi-
nistérielle qui acoaznagne le chef
de l’Etat togolais et M. Pierre
Abelin, ministre français de la
coopération. Elle a permis d’étu-
dier plus particulièrement « les
problèmes de coopération en ma-
tière d’agriculture, de communi-
cations. de télécommunications,
d’information ( télévision) et
f éducation nationale m a déclaré
ML Johnson, minière togolais de
l’info rm ation et des P.T.T. D a
été également question. a-t-U pré-
cisé, «de 2a participation finoes-
tissements français à des projets
industriels . togolais, notamment
pour là construction d’une usine
d’engrais phosphatés et tTune raf-
finerie de sucre ».
Outre M. Johnson, le chef de
PBtat togolais est accompagné. de
plusieurs ministres 1 mm. Ayi
HOuenuou Hun le d e (affaires
étrangères), Ayite Gachin. Mlve-
dor (travaux publics et mines),
Edem Kodjo (finances et écono-
mie), Yao Kxtnale Eklo l inté-
rieur) et Koodjolon Dogo (Flan).
Le général Eyadema. qui visi-
tera -le 15 septembre l’école d'ap-
plication de l’infanterie A M ont-
pellier et F école de l’air de Saloo-
de-Provence, assistera le 18 sep-
tembre A un déjeuner offert en
son bnmwnry par ML Chirac. B
aura eu auparavant des entretiens
avec plusieurs ministres, parmi
lesquels MM. Yvon Bourges (dé-
fense) et Jean-Pierre Fourcade
(économie et finances).
AMÉRIQUES
U Giscard d’Esfaing a recu le président
de la Cour suprême des États-Unis
M. Warren Burgçx, président de
la Cour sup rême des Etats-Unis,
qui effectue un voyage officiel en
France, a été l’hôte à déjeuner de
M. Valéry Giscard d’Est&lng ven-
dredi 12 septembre à l’Elysée. A oe
déjeuner avaient . également été
conviés MML Roger Frey, président
du Conseil , Che-
not, vice-président du Conseil
d’Etat, Monguilan, premier pré-
sident de la Cour de cassation, et
trois professeurs de droit public,
MM. Georges VedeL Jean Bur-
deau et Jacques CadarL
Jeudi 11 septembre, ML Burger
a été reçu au Conseil constitu-
tlonnel réuni en séance solen-
nelle: M. Frey, après avoir rappelé
que la Cour suprême, onmme le
Conseil constitutionnel, a pour
mission « de faire respecter les
règles de la démocratie » a Indi-
qué que ce dernier « entendait
également les faire respecter
aune façon vivante., qui tienne
1 PORTRAIT
compte de révolution de notre
temps, de la nécessité d’une légis-
lation économique et sociale adap-
tée aux besoins de noire époque,
tout en se montrant particulière -
ment vigilant et rigoureux dans
la défense des droits et des
libertés des citoyens ».
M. Burger a notamment ré-
pondu :
« Plus encore que l’aide maté-
rielle que nous avons pu nous
fournir mutuellement au cours de
ces deux cents dernières années,
compte le soutien moral que pro-
cure une même croyance en r idée
de la liberté. Peu de peuples ont
partagé comme la France et
l’Amérique une telle passion pour
la libert é . ., »
Au cours de son séjour. M. Bur-
ger avait été reçu par M. Edgar
Faure, président de l'Assemblée
nationale, et par ML Alain Poher.
président du Sénat.
M. WARREN BURGER
Un mélange d’énergie et de retenue
(2) Les signataire* du texte sont i • “•
•• Le Maroc vient de conclure
ttuntociatfion Choisir, le Mouvement vn_-emprWlt de 200 VtüüOTU de
écologique et féminin. Education et dollars pour Sept Ans auprès d’un
liberté des femmes. Evolution pour groupe de banques arabes, améri-
una banne politique <ré Jsvlf. le c&ines et eur op éennes. 31 s’agit de
groupe Politique et psychanalyse du effectuée .par ce pays sur le mar-
facülter l’exportation ou à éviter
des Importations. — (AJ J 5 .)
groupe Politique et psycnanaiyse au
m.tLp .. des membres de la Ugue du
droit dee femmes, Or ga n f ra tl o n e
utU« aux femmes, le Parti féministe
et l’Union féminine civique «e so-
ciale.
«*** g 0 " oc P u «« wmra «un # » Kicaki. ministre des ,
îf&fîcatioû du 1
Kenya, a mmm»nré au Danemark 1
™ “X SBSSS
ché de l’earodoHan L« caplaur
Lorsqu'il fut mis A' la ISte de
la Cour suprême, en 7969,
M. Warren Burger souffrit de le
méfiance qu’inspirait A beaucoup
celui qui ravalt choisi : M. Ri-
chard Nixon. L'ancien chef de
rEtst s'opposait ouvertement A
la tendance libérale que la Cour
soprème avait manifestée depuis
1954 sous la conduite (TEarl
Warren. Les gravas tensions qui
déchiraient alors la société amé-
ricaine avalent amené la Cour
en position de trancher dans la
vif de sujets cruciaux. Elle mit
hors la loi la ségrégation sco-
laire. rendit une série de verdicts
proscrivant toutes les formes de
discrimination raciale, et laissa
une couvre considérable de pro-
tection des libertés Individuelles,
en parf/ctr/Jar en ce qui
. concerne le droit des prévenus-
face A l’appareil de la police et
du parquet
On crut tout d’abord que
/’ « homme de Nixon » allait ren-
verser le courant. 'Durant ses
treize années à là cour (f appel
du district de Columbia,
M. Burger n'avait-H pas fait
passer Jp défense de .la .société
ayant jee - état» tréma * da~cer-
talns de ses collègues préoccu-
pés pour las empiètement sur les
droits de la personne. Il se refu-
sait i adoucir le sort du voleur
au détriment du volé. • Les gou-
vernements, avalt-ll déclaré deux
ans avant sa nomination dans un
discours • qui avait beaucoup
Impressionné M. Nixon, existent
d’abord pour garantir les droits
et Ibb Intérêts de leurs citoyens,
pour protéger leurs maisons,
leurs propriétés, leurs personnes
et leurs vies. Si un gouverne-
ment échoue dans cetie tâche
primordiale. Il ne es rachètera
pas en mettant en place le plus
parfait système de protection des
droits de la défense dans les
cours criminelles. -
Il est prématuré de dresser un
bilan de f œuvra de la Cour
suprême depuis que le Juge
Burger la dirige. Male le fait
est qu’il n’y a pas eu de retour
de bâton. SI un tretn relatif a
été mis è la libéralisation des
mœurs par un arrêt contre les
spectacles pornographiques, dans
un tout autre domaine la léga-
lité constitutionnelle de la peina
de mort a été remise en cause.
La déségrégation scolaire est
restée en vigueur, môme si son
Instrument, le • busing » — ou
transport des enfanta Noirs dans
des écoles blanches et récipro-
quement — continue de provo-
quer des troubles A chaque
rentrée scolaire. Et surtout, è
Pheure décisive, la Cour suprême
a signé, le 24 luBlet 1974. rarrét
de mort politique de U. Nixon
en animant, par B voix contre 0
(un des neuf Juges, récemment
nommé, c'avait pas voulu pren-
dre part au débat), que le pré-
sident devait fournir aux enquê-
teurs les bandes magnétiques
concernant r affaire du Water-
gata
Le vin de Bourgogne
Plutôt qu'un conservateur tatil-
lon, le Juge Burger est peu A
peu apparu comme un homme
de bon sens, sans envolée mais
sans faiblesse. Né en 1907 dans
le Mlddle-West, d’ascendance
sui8sa-aJlemande. Il avait eu une
enfance difficile qui fortifia en
lui ce qui le caractérise : le
mélange d’énergie et de retenue.
Alors que sa lamine s’ était
Installée dans une petite ferme
pour compléter te salaire Insuf-
fisant du père, il ae levait A
4. heures du matin pour aller
distribuer lès. journaux avant
d’aller à l’école. Il fit d’excel-
lentes études et sortit diplômé
* magna cum laüde » de runi-
verslté de Saint-Peu l du Min-
nesota. Après avoir commencé
A travailler dans un cabinet
d’avocat réputé,. M. Burger aida
un da ses amis, Harold Stassen,
A æ faire étire gouverneur da.
rEtat en 7938. Grèce A lui II
entra en relation avec rentou-
rage cTEisenhower et, en par-
ticulier avec Herbert Brownell
qui, devenu ministre de la )us-
tice, l’appela à travailler avec lui.
C’est en 1956 que le président
Eisenltower le nomma Juge A
la cour d’appel du district de
Columbia.
Avant d’occuper A ta Cour
suprême un poste dont le pres-
tige est immense 11 s’ôtait prin-
cipalement consacré è . . une
tâche de légiste, complexe et
technique ; il harmonisait les
codes de procédure en vigueur
dans les juridictions des diffé-
rants Etats. II aimait aussi, il
aime encore, dans la vieille mai-
son qu’il habite en Virginie avec
sa femme— laite ta cuisine. Ce
magistrat, qui a ta physique
plutôt austère de l’emploi, est
chevalier du Tastevln, excel-
lent connaisseur en bourgognes
rouges.
A.-M. CÀRRON.
Chili
Le général Pinochet propose à ML Frei
de faire partie d’an Conseil d'État
Le général Pinochet: chef de déclaré que l’état de siège et
!tat c h l lte n. a annoncé, le l'interdiction des droits de réu-
seront affectés au financement de
divers projeta- de développement
économique, visant notamment A
une aide substantielle pour le
développement de son pays. — ,
(Cbrresp.)
Le général Pinochet; chef de
l’Etat chilien, a a nnonc é, le
11 septembre, A l’occasio n de la
célébration du deuxième anni-
versaire du coup d’Etat militaire,
que son gouvernement allait créer
un Consel d’Etat — organisme A
caractère consultatif, dans lequel
seraient en particulier Invités A
siéger trois nrmiong présidents de
la République : MM. Eduardo
Frel (démixaBte^chrêtien, 1964-
1970), Gabriel Gonzalez Vldela
(radical, 1940-1952) et Jorge Ales-
sasy&ri (conservateur, 1958-1964).
Le général Pinochet a égale-
ment annon cé la fin de «r éfiat
de guerre interne » qui était en
vigueur depuis le coup d’Etat et
qui donnait tous les p ou v o irs aux
juridictions militaires. Il a indi-
qué que l’état de siège, qui est
maintenu, sera désormais régi par
des critères de s sécurité inté-
rieure a. Les personnes poursui-
vies seront traduites non plus
devant des cours martiales, mais
devant des tribunaux civüi. je
président chilien, qui a indiqué
que six cent soixante-douze mili-
tants de gauche détenus avaient
été libérés et avalent quitté le
pays depuis septembre 1974, a
nion, de grève et de manifesta-
tion, resteront en vigueur tant
que l’a action subserswe restera
latente ».
Le général Pinochet a ■ enfin
souligné que depuis la prix du
pouvoir par les militaires, le che-
min suivi < n’avait .pas été
facile ». n a reconnu que la situa-
tion économique du pays créait
des difficultés à la politique de
e reconstruction, nationale » et
qu'cfZ y a des Chiliens qui
souffrent» d’une politique écono-
mique « dures.
Des manifestations hostiles &
junte de Santiago ont eu lieu
dans plusieurs pays. A Paris, un
meeting, organisé par 2e Comité
de soutien au peuple chilien a
réuni. Jeudi soir, au Palais de la
Mutualité, environ deux mille
personnes, a Londres, prenant la
parole au cours d’un rassemble-
ment organisé par le parti tra-
vailliste, Mme Hortensia AU end e,
veuve du président renversé en
1973, a préconisé. . : II septem-
bre, on boycottage politique et
économique & l'échelle mondiale
contre le régime.
V ‘‘“S..
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Le go u ver n e ment égyptien a
décidé de suspendre à partir du
jeudi 11 septembre les «rrissicras
de «la Voix de la Palestine ». émet-
tent du Caire. Cette décision a été
prise en îe pr é s a ffl e s au commu-
niqué diffusé mercredi per le
comité exécutif et le conseil de
l'OliP. dénonçant en tenues vi-
goureux le second accord de déga-
gement daw» Je Wn«f
Le communiqué palestinien
affir mai t que l’accord êgypto-
lsraélien constitue c une offense
à la dignité de la nation arabe ,
da -peuple égyptien et de son
armée ». Les Journaux égyptiens
de ce vendredi ™wn attaquent
Vio lemment ce «*nnw«tw 1 ~q n£ 41
A/tram estime qu'il s'agit d’une
c offense flagrante au peuple
égyptien » et rappelle la longue
lutte menée per l'Egypte. H re-
proche & l'OLP, d’être tombée
« dis» le piège des Israéliens »
en cherchant & créer des dis-
sensions rfMw les rangs arabes.
De son côté. Al Akhbar rappelle
que < V Egypte a fait clairement
comprendre çpTtile n’avait pas
mis fin à Pétât de guerre contre
Israël » et qu'elle n'abandonnera
pas ses obligations à l’égard des
territoires occupés c et des droits
légitimes du peuple palestinien ». .
en est étonnant de voir POhJ*.
négliger sa lutte pour se livrer à
de la surenchère », écrit le Jour-
nal.
Depuis Jeudi soir, .c la Voix de
la Palestine » a changé de "mg
et diffuse sous la nouvelle appel-
lation de c Radio de la Pales-
tine s. La station continue à
ému tiiH sur la même langueur
d'ondes et diffuse des commen-
taires aww*i« égyptiens, lus par
des speakers égyptiens. Le per-
sonnel palestinien de < la Voix
DIPLOMATIE
Ura I
ssaeg
LES COMBATTANTS
DE ZfiHOimU
de la Palestine » n’a plus »ecés
eux locaux de la radio.
C'est la deuxième fois que
l’Egypte suspend les émissions
de < la Voix de la Palestine ».
Une décision analogue avait été
prise en Juillet 1970 par le pré-
sident Nasser. & la suite de i
l’acceptation par l'Egypte du plan \
Rogers.
• A BEYR OUTH, I'O-LP- a
accusé, ce vendredi le gouverne-
ment égyptien d’avoir fermé la
de radin « la Voix de la
Palestine » pour < isoler les mou -
vemen ts de résistance agissant en
IsraS a L’initiative du Caire,
poursuit l’O-LP-, constitue la
pr euv e qull existe un « accord
secret » israélo-égyptien « en vue
de mettre «ta terme à la propa-
gande de guerre égyptienne contre
IsraS a
• A PRAGUE, les présidents de
la Syrie et de la Tchécoslovaquie,
TMM- Atoii< çt WTHatlr gjjt publié
Jeudi soir un oomznunlaué cozxh
mon affirmant que l’accord
égypto- israélien c augmentera
inévitablement la tension » an
Proche-Orient. Dans ce commu-
niqué, puhlié an tenue de la visite
en Tchécoslovaquie du président
syrien, les deux chefs d’Etat sou-
lignent que la signature de l’ac-
cord Intérimaire représente cime
nouvelle manoeuvre visant à évi-
ter la solution des problèmes de
base dus à V agression israélienne,
à affaiblir la solidarité arabe, à
ignorer les droits du peuple pales -
Union, et à transformer le conflit
isra&o - arabe en un différend
frontalier».
• A WAS HI NGTON, le pacte-
parole du département d'Etat a
confirmé Jeudi que le président
Sadate fera une visite officielle
à Washington a dans le courant
de F automne». — TJ LP JJ
GR1FFS0LDE DEGRIFFE
LES GRANDS
DU PRET-A-PORTER à
actuellement W
votre costume i
d’automne ; 295F ^
3, na tte la Plafoe/Naflon 3. bd Manftnartre/Monfrpartrel
.
k^bontique*:
M
aides bilatérales mais coordon-
nées. Le montant s’élèverait an
total, pour les Européens, &
250 mimcg» de doUan, Ces aides
seront indépendantes de l'accord
de coopération en cours de négo-
ciation entre la commission et
l'Egypte (et -aussi la Syrie, le Li-
ban et la Jordanie).
MAURICE DELARUE,
(Suite de la première page.)
« Tont le mande se taxe- à
Tripoli 9 , dit un jeune cadre
de la milice, très fier de ce
Qu'une poignée de Zghartiotes
Chrétiens tienne en respect
c plusieurs militer» de fana-
tiques mrtcidTwnTTo >a flg fo
croient du moins. Nous de-
mandons à voir ces « superbes
guerriers » à Vceaore à Koub-
beh, dans Ta proche péri-
phérie de Tripoli. On nous y
amène en jeep, les Zghartiotes
sont bien là, embusqués sur
les toits, mais le quartier s’est
littéralement vidé de ses habi-
tants. La nuit vient de- tomber
sur le port Va-t-ü jy avoir,
comme tous les jotas à Za
même heure, un échange de
coups de feu, en prélude à la
remise des combats 9
Nous avons vu le*, premiers
blindés de . Tannée -prendre
position dans une êane . tam-
pon pour ^interposer entre les
antagonistes, oomme Ta décidé
mercredi le conseil des minis-
tres libanais, au grand déses-
poir des forces et partis de
gauche . Mais quel sera le
tracé de la ligne de démarca-
tion qui dmt, en p r inc i p e,
séparer lés -casas i
Koubbeh , un quartier à moitié
chr étien, est en principe par-
tie intégrante de la vtUe de
Tripoli. < n ne s’agit pas de
retourner aux frontières ad-
ministratives, mais à celles qui
séparent aujourd’hui les
farces en présence ». nous
dédore le chef des miliciens
qui commande les postes
avancés. Ei. d’ajouter, très sûr
as. lui t c'Naus sommet pau-
vres et Ils sont riches. Cha-
cun de nous a privé sa damni»-
de viande et de légmnes pour
s'acheter une arme et des
munitions . Ce n’est pas le -car
de hos ennemis, à qui le pré-
sident K a dh a fi ne refuse rien;
Mais c'est ce qui fait peut-
être notre force : nous avons
la fol et ils ont lfergenL » „ -
Le mot de la fin -, ’ nàus
avons été le recueillir de la
bouche de Tm des plus grands
historiens contemporains du
monde arabe, M. Jaaad Bou-
lot, ancien ministre des affai-
res étrangères « la Liban,
les L i banai s , les Arabes, ce
n’est . pas aussi complexe
qu’on ne le dit. Nous sommes,
comme l’a. d'ailleurs dit le gé-
néral de Ga ul l e; des peuples
anarchiques et nm\ anar-
chistes. Noos ne wnrro'n-ff Hnrn».
pas- mûrs pour la démocratie.
B ans un pouvoir fart; Ttmr»
somme s et resteront lngoaver- -
nabi es. >
EDOUARD SAAB.
Liban
Des massacres auraient eu lieu
dans le nord du pays
à la décision
A TRAVERS LE MONDE
Argentine
PLU S PB TROIS MILLE PRI-
SONNIERS POLITIQUES sont
■Actuellement déterras en Argen-
tine dans des conditions Inhu -
maines sans assistance médi-
cale et soumis & la tortur e,
a décla r é, à Lima. 21 Alberto
Camps, l’u n des dirigeants en
exü du mouvement pérazdste
de gauche Mantoneroa. Selon
Ind, deux müte mrHfawt» syn-
dicaux .et politiques ont été
wgwmlné B sous le gouverne-
ment de Mme Pérou, — -
(AEJ>J
Chili
ALEX ANDRE SOLJENIT-
SYNE n'a aucunement l’in-
tention de se rendre au ChflL
déclare-t-on, le’ vendredi
12 septembre, an SeuH démen-
tant ainsi les propos de
' M» Vogellangex, président de
r Association des étrangers au
CMU (le Monde du 13 sep-
tembre). ML Vogelfanger avait
d éclar é mercredi, à Santiago,
avoir adressé à M. Soljénit-
syne mie Invitation A venir
assister mit céré m onies dn
deuxième ann iver sa ire de . la
prise du pouvoir par les farces
armées H avait ajouté. ;que
l’écrivain lui avait répondu que
l'Invitation lui , était parvenue
trop tan£ mais quTl promet-
tait de faireprochainemenfc un
séjour an Chili- Le Seuil,, qui
repré sen te s, Paris M. Soljenît-
,sy ne; qui réside A Zurich,-,
déclare qu’s aucune invitation
n’a été faite à Técrbabi de
se rendre au Chili, qtfü rfy a,
par conséq ue n t, pas. répondu.
et que les déclarations concer-
nant ce voyage sont sont
dératées de tout fondement ».
Colombie
• PR ESIDENT LOPEZ
. MICHBLSEN a refusé, le ira-
di II septembre, 1&
de son gouvernement, présen-
tée àjasnite d’accusations de
« corruption ». .un sénateur du
parti, conservateur, imwh» Ber-
tbg H e rn an dez de Osplna, a
a tnimé que des pers onn es
proches <fu président set li-
vraient an trafic d’influence.
Etats-Unis
9 M. TONY BOY LE, ancien, pré-
sl te n t du Syndicat unifié des
v * ftie ’ n P > a 666 condamné &
lempiisq m e gwm t à vio le
eeptra^r» pour avoir
ordonné l’assassinat d’un de
TaWtnaM, de
Pokistan
1 activité de la guérilla asti-
g guv e r mn n entalc a été enre-
Rtetrée le mois-dsmler d»nn io
S a^tairt. je
^gaa de fcn. Dix-hnlt. soldat»
et seize jniiidena ont été tués
ntë f e » ia-çanûo zébeHinn de
(&/* * *
Ta357^a»+
LE MONDE • — 13 septembre 1975 — Page 5
POLITIQUE
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Pays
LA SESSION EXTRAORDINAIRE DU PARLEMENT
Le plan de soutien est approuvé au Sénat par 176 voix contre 85
Ihl-V.
Jeudi après-midi 11 septembre, dès l'otrrerluxe de -la e fi scu sp oa,
'.V* - Sénat du projet de loi de finance» xecfificaUTe pour 1875. le Son
'.'■T ^ morne et monotone — du débat était donné : Mû Jacques Chitac.
effet s'est contenté de reprendre le' canevas du. discours, qnll
' ^ wû± -prononcé quarante-huit heures pins tôt devant les déjantés,
j., ulefaî* le premier ministre a « omis » de rêxlézez ses attaquas
£\itre le parti communiste — ce que les sénateurs dé ce parti ont
'•^ ■préciâ comme « une attitude de politesse à T4gaxd-.de la Haute
k S‘. semblée •. De son côté, Ieœlaisire de récononne «t des finances
guère en besoin de se battre pour taire approuver un plan de
;‘itien qu’aucun hrateur de la majorité n'a condamne^.’ mime si
certains, comme MM. Schumann ët (ïlnwl, ont regretté l'absence
de concerta tioa — entre le gouvernement et ceux qui le soufien-
zumi, — qm a • présidé & l'élaboration des mesures retenues. De
mêm e, dans la dûcnssion des amend e ments M. Jean-Pierre Four-
cade n'a-i-fl pu trop en à souffrir de l'intérêt que porte tradition-
weHem eaf les: sénateurs au sort des collectivités locales.
En dépit de la tournure irrémédiablement technique que les
représentants de la majorité donnaient à leurs interventions, un
problème politique était posé s- quel serait IV impart » de la déci-
sion prise par M. Caillavet do' s'abstenir? Le sénateur de Lot-et-
Garonne se faisait; fort de rallier à sa cause une de ses
collègues radicaux de gauche. Ce pronostic était d*a£Ueurs partagé
par M. Gabriel Péronnei, secrétaire général par du parti
radical. C'était sous-estimer la présence active de M. Robert Fabre,
président du Mouvement des radicaux de gauche, dans les couloirs
du palais du Luxembourg. Au moment du scrutin, l'ancien vice-
président du MJELG. ne sa voyait rejoint dans l'abstention que par
quatre de ses omis sur les dix -sept sénateurs radicaux de gauche
du Sénat : MM. Pierre Brousse (Hérault], Gaston Pams (Pyrénées-
Orientale*), Guy Pascaud (Charente) et Jacques Verneml (Charente-
Maritime).
ANNE CHAUSSEBOUR&
..'SYprèa que M. Alain Pober, pré- le programme de son ti.en. _ne peut nom du groupe do TUnion -ccn-
Stent du Sénat, a donné lecture
l’ordre du - Jour de la flfffrrioo
l-Vünalre qui s'ouvrira le jeudi
'octobre, M. Jacques Chirac
. < sse un tableau de la situation
* .-■nomique et sociale quL s sé-
•-‘r.Mse et complexe », appelle des
avoir qu'un effet progressif, mais
pgrtrru» mj'ü pourra en. arrêter la
dégradation. Puis le premier mi-
nistre. affirme que « 3376 devrait
marquer le retour à la crois-
sance »et que les projets
a (rabaissement de Ti ge de ' la
. '■"< dations réalistes. < Nous nous retraite, et de dtmtnuMon de la
■ "-h <■ uns d'être rmidents. note-t-il. durée du travail ' traduisent la
volonté ■ du gouvernement de dé-
L'.wns d'être prudents, note-t-il,
' je dis à .ceux qui estiment avoir
triste, se demande «si le gou-
vernement, ■ en n’associant pas
plus étroitement les élus de la
nation à l'élaboration de ces me-
sures. n’a pas commis une erreur .
Car. dans cette crise, note-t-il.
les aspects politiques sont aussi et
même plus importants que les
aspects économiques .» H estime
que les chances de succès de ce
' science infuse qu'on ne peut passer' les difficultés et- la crise érieures aux pos-
j établir de diagnostic cer- actuelle 'pour poursuivre le chan- sunZues . échec » ; et développe
Après avoir évoqué ia gement 'de la société ». . Après
- - ^ -gradation du système moné- avoir souhaité ' que « tous les
V . re International, le premier Fronçais se sentent concernés, par
‘‘‘.v'.^alstre estime que « les moyens la préparation du VU* Plan », fl.
■-? 7 : triompher de la crise sont à affirme: « Le succès de. ce plan
^ Ire portée », cette crise ne ne dépend pas seulement de son
nettant pas en cause, & son. contenu mais de Faccueü que les
« •. s. notre système économique- Français lui feront. » En conclu-
■ '-îütntj k s 100 » te premier ministre renou-
D x3n ce qui concerne l'emploi, le valle sa mise en garde, contre
•' Le.- , sf du gouvernement admet que - ï Inflation. « danger permanent ».
s! M. COUDÉ DU FORBSTO: l'intérêt
de la France est que le plan réussisse
Rapporteur de la commission
finances, M. YVON COUDE
. J PORESTO (Union centriste.
. ' ."'ax-Sèvres) préférant l'appella-
... 'n k plan de réchauffement de
' -sniomie » & plan de soutien,
.Monce « ceux qui confondent
itreprise et ses dirigeants et
— ia qui affirment que le gau,-
^rivement fait des « cadeaux aux
: y t ‘reprises ». H souligne que 11m-
.'Sortance des charges sociales
id les entreprises hésitantes
vantl' embauche. M. Coudé du
Von doit avoir le cornage d’in-
vestir -quand on en a les
moyens (—)■ Les travaülean aussi,
.qui ont maintenant, et cPést heu-
reux, l’occasion de se déplacer et
de voir qu’à l'extérieur tout n’est
pas mua parfait qurôn le dédore
parfois et que la France est en-
core un ilôt privilégié qiCü
convient de préserver. »
M. MARCEL LUCOTTE (ind_
Saône-et-Loire), rapporteur pour
avis de la commission des affaires
économiques, regrette que « laids
r.TMPtT oresto s'interroge alors sur aux famines soit indifférenciée ». rrjùzr. i— «-» w
. ..‘.tH ! fffgt des mesures prévues en en eût été facile, estlme-fr-fl, bénéficieront pas, dans le texte
t.- -r p ... atiôre d’emploi : « Vous vous d’agir plus efficacement et plus §P nv ? rn j?P e ° t ' des ressources
•- ntS inquiétez de ^Inflation des prix. . équitablement en revalorisant les r 1 ,F? ^ s ‘ d équipement d escol --
.w lectivltes locales. • M. Hknkï
c les quatre Objectifs de société »
(droit au travail, progrès social,
développement harmonisé des ré-
gions, équilibre international}
dont dépendra à son avis la réus-
site de ce qu'il appelle « la crois-
sance en profondeur».
VL AUGUSTE AMXC CP JL, Vax)
estime que s la situation présente
est le résultat (Terreurs de diag-
nostic, de thérapeutique, votre de
psychologie ».
VL AUGUSTE PINTON (Gauche
dénu Rhône) indique qu'aucun
radical de gauche ne pourra sou-
tenir le projet du gouvernement :'
c On nous demande <F approuver,
déelare-fr-fl, dans la hâte, un train
de mesures qui n’ont éveillé que
scepticisme à V Assemblée natio-
nale , à commencer par votre ma-
jorité. » Pour lui, ce plan n’est
« qu'un baHon d’oxygène pour un
malade gravement atteint ».
Après M. GEOFFROY DE
MONTALEMBERT (UDJL,
Seine-Maritime), qui félicite le
gouv ernem ent, et M. ADOLPHE
CHAUVIN (Union centr., Val-
d’Oise), qui se déclare « stupéfait »
de voir que les départements ne
m rtnflathm des discours n’est bourses d’enseignement. » Consta-
moins néfaste. Elle, ne peut tant la -part modeste réservée à
le jeter let rouble dans Pesprit
: public, s En conclusion,
■ -. déclare : s Quelle que . soit
•Jtion choisie par le gouverne-
nt, quelles que soient les réser-
. ou les critiques que nous pou -
■ -, s lui apporter r quelles que
. ,..nt nos préférences pour d’au-
. solutions, l‘ intérêt de la
n ce est que le plan réussisse
. . ~*aut que tous, y contribuent,
" administrations d’abord, qui
vnt mettre fin à leurs ftabi-
» tatillonnes. ■ les industriels
, H. qui doivent se souvenir que
en période de dépression que
l’agriculture, le rapporteur
souhaite, d'une part, que «les
entreprises agricoles bénéficient
d’un report d’échéances fiscales»,
et, d’autre part, une révision, de
la législation relative aux -licen-
ciements: Enfin, fl demande que
le» assemblées régionales soient
ccfoaultètaa sur l’emploi des crédits.
Pour M. JEAN DE pAGNEUS
(IncL, Côtes-du-Nord), rapporteur
pour..avis. de la commission des
affaires aultureHes, H est néces-
saire que «des créations de postes
suivent les' dotations en équipe-
ments lourds ».
M , FOURCADE: un légér
. .. -i JEAN-PIERRE FOURCADE.
; -istre de l'économie et des
. ^ .-mees, relève que c'est en
'5rd avec 1TJNAF qu'aucune
érenciatlon n'a été faite entre
familles pour l'allocation spé-
' J de rentrée.
- près avoir rappelé les diffé-
' es dispositions du programme
• ■- développement éco nomiq ue.
Fourcade affirme que « l'effet
' plan serait compromis si les
içats retombaient dans le vice
" inflation ». Pour financer le
tit fiscal, le ministre précise
■ - « comme tous les grandis pays
striels, la France offrira aux
-résidents des bons de trois
■ . rinq ans, de façon à ne pas
. rafler le recours des entre- -
w à leurs moyens de finan-
~ ml normaux», et qu'il propo-
' . au gouvernement, pour 1976,
mord avec le premier ministre,
• léger effort- fiscal sappïé-
• taire pour 3 milliards de
• • 2 s environ, correspondant au
icement des 40 milliards de
du Trésor». ; '
: MARCEL CHAMPEIX (FJSL
èze) note que a la politique
- ouvemement a fait de notre
■ omie une économie malade
seule pourrait sauver une
^formation complète ». Dé-
it la situation actuelle, fl
: « Le président de la.
ibiique, en présentant ce
de relance, a fait appel à
nationale. Nous avons su
t'enthr pour elle assez de aacri-
en des heures- pbus graves
n'avoir nulle leçon à reço-
it sur ce point (—). Dans votre
Après M. JACQUES VERNEUIL
(Gauche dém.. Charente - Mari-
time) qui eonsacre soir interven-
tion & la situation des viticul-
teurs en Charente et Charente-
Maritime. - M. MAURICE
SCHUMANN (app. UJ3JEL, Non»
estime que a Vasssnirmer.t ne doit
pas résulter de la seule disci-
pline » et qu’ « un vrai iialogue
est nécessaire entre le gouuemfc-
77i ent et la majorité. J votre rôle,
ajoute-t-il, n’est pas seulement
de voter la loi, ü est de concourir
à son élaboration. » n conclut :
« Mieux vous nous aiderez à
maintenir le moral de la natto~.
mieux nous vous aiderons à rele-
ver l’essentiel, c'est-à-dire T auto-
rité de l’Etat. »
Four M. JACQUES. DES-
COURS-DEBACREB, sénateur du
Calvados (lnd.), ce plan parait
«nécessaire, raisonnable et oppor-
tun. s. Après avoir souhaité que
toutes précautions soient prises
pour que les aides aux personnes
Agées e ne se convertissent pas
en économies tentantes pour les
aigrefins et le gang' des lâches *.
11 se demande si. en ce qui
concerne les familles, fl n’aurait
pas mieux valu majorer l'alloca-
tion de salaire unique en laissant
ainsi' espérer l’institution, d’un
véritable^ salaire de la mère au
foyer. Avant que la séance ne soit
{£SËl poursuit- IL les petites gens suspendue à 19 h. 40, l’orateur
défavorisées, à part des déclare : * L’ampleur de la tâche
fynes de propagande. - L’agri -
iHre est oubliée. » Le président
groupe socialiste conclut :
are politique demeure une
Ique de classe ; maie l'im-
exclut la résignation ou lé scep-
ticisme. Notre vote sera Texpres-
“sion de notre espoir pour que
demain soit meilleur quraujow-
d’huL »
Vf r
11 ;
. séance est reprise à 23 b. 35.
Mme MAÎB.Ua -*1 TTw:aRgB!
J ' TMANN (PC., Seine-Sainte
à). * le président de la Répu-
■ e, le premier ministre, sont
tm es dé 7a continuité sans
Mme GOUTMANN (P.C.)z
démagogie et duperie
communiste - évoque tes récents
événements de Corse : « Votre
politique , c’est aussi les morts
d’Aléria et de Bastia. »
a Plus. que jamais le programme
commun de gouvernement de la
ment, dons la üémago- gauche est necessaire et valable :
la duperie, les promesses ü n’est pas mort», affirme-t-elle,
■is tenues, le soutien iysté - M. JEAN. MEZARD OmL,
.y lue et délibéré aux grands Cantal) remarque que les me-
‘ ; industriels et bancaires et sures envisagées aideront trop
V les appels à la résignation, peu les P.MÆ et les agriculteurs
- \ orifice, à l'autoritarisme, aux et souhaite que le fonds d’equi-
*» ites aux libertés et à la pement des collectivités locales
•- • ssion ». Dressant un tableau soit mieux doté lors de la di£-
: ue de la situation . écono- cession du bud get de 1976.
!l > î, la présidente du groupe M. JEAN CLUZEL ( A ill er ), au|
M. Caillavet indique ensuite
quH aurait considéré comme
convenable que l'Invitation faite
par le président de la République
aux chefs de l’opposition intervint
avant que le plan ne fût élaboré.
Expliquant son abstention, l’ora-
teur relève : tr Vous proposez des
mesures ponctuelles pour une .
situation exceptionnelle. Je pense
que l’essentiel sera pour demain,
c’est-à-dire la définition de soU-
darttés nouvelles, ce que f appelle
la démocratie avancée. M n vous
faut ouvrir le dialogue. Ayez la
volonté de comprendre les aspira-
tions du peuple, car nous voulons
changer la société sans en changer
le type. »
Pour M. LOUIS JUNG (Un.
oenti, Bas-Rhin) la réussite du
plan sera fonction du changement
de méthodes de l'adm inistration.
Après que M. JOSEPH RA YBAUD
(Gauche ùèXQ- Alpes-Maritimes)
a demandé des précisions sur la
dotation d’un milliard prévue en
prêts pour lès collectivités locales,
M, JEAN-PIERRE FOURCADE
note que dans l'ensemble c la
contestation est plus fréquente
que l’inquiétude -». H assure que
le gouvernement , mettra & réaliser
ce plan * de la conviction, de
l’ardeur, de la célérité ». Enfin il
demande au « plus grand nombre
possible de sénateurs de faire
mieux que M. CcdBaoet et de
voter le projet ».
Après une suspension d'une
dizaine' de minutes commence
l'examen des quinze articles du
projet Un amendement de
M. Schumann suscite un engage-
ment du miûistre des finances A
effectuer une étude contradictoire
des conséquences de la suppres-
sion de la règle du décalage d’un
mois en matière de T.VA^, étude
dont il sera rendu compte aux
commissions parlementaires avant
le printemps. ... .
Reprenant deux amendements
de ME MONORY et CLUZEL,
M. Fourcade fait adopter un
amendement qui permettrait aux
SCPO
préparation annuelle, sur place
ou par correepand&uos
• Examen entrée 1« et 2° an.
• Encadrement en cours d'AP.
rater Grtwnnat Etes tic protestnt
Urti 57, me tt.-Laffitte, BMtolRr
722-9444
entreprises (qui demanderaient
avant le 5 novembre 1975 & être
dispensées du paiement du ou des
acomptes suivants parce qu’elles
estimeraient que les acomptes
déjà versés excèdent l’Impôt dont
elles seront finalement rede-
vables) de considérer que
l'acompte du 15 septembre a été
versé. Cet amendement permet-
tra d'autre part de restituer aux
entreprises, dans les trente jours
suivant la date du dépôt des bor-
dereaux de versement, la diffé-
rence entre les acomptes versés
et l’Impôt dû.
Les sénateurs adoptent ensuite
un article additionnel déposé
par le groupe socialiste qui pré-
voit le dépôt avant le 1" janvier
lèctivité s lo cales. M. ' HENRI
CAILLAVET (Gauche dém , Lot-
et-Garonne) estime que « le pré-
sident de la République a eu
raison (Taffirmer que la France ■
subit une grave secousse ». « Je
suis un homme de gauche, pour-
suit- il, et je. ne me délecte pas ~
des échecs- -du gouvernement
parce que ces 'échkcs sont jes-
échecs de ,1a France .(J. Moi.
qui sais dans l'opposition de-
puis 1958. je ne me vante pas
d'avoir eu toujours raison. Sans
souci de plaire ou de déplaire,
fai dit et je maintiens que le
programme commun , de gouver-
nement me parait difficilement
acceptable. 21 est hormète de le
reconnaître. ».
Interrompu par les sénateurs
rort fiscal supplémentaire de 3 milliards alors : « Je n’ai pas mis mon
mmse cohorte 4ee dénierais “™“ “ *
restera-t-eUe silencieuse et rési-
gnée? n faut non seulement
changer de cap, mais changer de
régime. Craignez, ayant semé le
vent, de récolter la tempête »
L'analyse du scrutin
276 SENATEURS ONT VOTE
POUR:
56 indépendante (sur 58) ;
53 Union can triste (sur 55);
30 UJXR, (sur 30) ;
14 «paysans» (sur 14) ;
11 mm- Inscrits (sur 17) :
MM. Cathala, CoHomb,
de Cuttoli, Durand,
Mme Gros, MM. Habert;
Herment, Martin, Prost,
Vallon, Virapoullé ;
9 Gauche dém. (sur 35) :
M_ Beaupetit, Mme Cré-
mieux, MM. Héon, Morice,
Raybaud, Robini, Ro-
maine, Touzet, Voyant ;
1 non-appaxi. : M. Moreau.
65 SENATEURS ONT VOTE
CONTRES
52 socialistes (sur 52) ;
20 cojmmuïstas (sur 20) ;
12 Gauche dém. : MM. Bil-
lères, Borde-
neuve, Brives, Constant,
.Didier, Füippi, Giacobbi,
Moinet, Peyou. Pinsard,
Pin ton ;
1- non-inscrit : M. . I^aplaCO-
25 SENATEURS SE SONT
ABSTENUS:
12 G cache déxzu: MM. Ber-
chet, Brousse, Caillavet,
Grand, Grangier, Jeam-
brun, Legrand, Pams ,
Pascaud, Pelletier, Ver-
rieuil. de Wazières;
3 non-inscrits : MM. Chauty,
Dardel, Perrin.
S SENATEURS N'ONT
PAS PRIS PART AU
VOTE:
MM. Bonnefous (Gauche
dém.). Coudé du Fores io
(Un. centrj et Jafiar El
A m d j a d e (non-inscrit
Comores) ;
M. MarcÜhaçy (non-
inscrit) était excusé;
MM. Alain Poher (Un.
centr.) et Etienne Daflly
(Gauche dém.) ont alter-
nativement présidé les
séance.
1976 d’un projet de loi aména-
geant l'assiette des charges
sociales des entremises.
En ce qui concerne l'article 11
relatif au fonds d’équipement des
collectivités locales, U. Fourcade
indique que les communes, les éta-
blissements publics de regroupe-
ment dotés d’une fiscalité propre
et les organismes tendant & faci-
liter la création d’agglomérations
nouvelles connaîtront avant le
15 octobre prochain le montant
des allocations qu’ils toucheront,
n précise également que le comité
du fonds d’action locale se réunira
le 19 septembre et qu'un plancher
de 25 000 francs garantira aux
petites MMwnnpg tm minimum de
prêts. Adopté malgré l’avis défa-
vorable du ministre des finances,
un »wii«rw<gtni*n t de EL Monory
prévoit que les critères d’attribu-
tion définitive de ce fonds seront
fixés dans la loi de finances de
1976 et non de 1977 comme le pré-
voyait le projet de loL
M. COUDE DU FORESTO fait
approuver par les sénateurs un
amendement qui retire au gouver-
nement la possibilité, comme le
prévoyait le projet, de modifier
par décret la répartition des cré-
dits prévus par cette loi de finan-
ces rectificative entre les budgets
des ministères.
Les - sénateurs adoptent enfin
un amendement de M. CLUZEL
qui rétablit l’article 15, supprimé
per l'Assemblée nationale, article
qui ratifie le décret réportissant
pour 1975 le produit de la rede-
vance de radib-télévislon.
Après les explications de vote
de MM. GAUDON (P.C.),
CAROUB (UJD-RJ, DE BOUR-
GOING (IncL) et CHAMPEIX
(PH.), les sénateurs adoptent, à
6 h. 10, vendredi matin 12 sep-
tembre, par 76 voix contre B5 sur
276 votants et 261 suffrages expri-
més, le texte présenté par le gou-
vernement.
lundi 22 septembre dans le
N0UVEL0BSERVATEUR
Le 22 septembre dans le Nouvel Observateur vous lires les résultats de la grande enquête
annuelle sur le revenu et la vie des Français : Qui gagne quoi, la crise pour qui.
' Les résultats en sont saisissants: agriculteurs, artisans, commerçants, industriels ,
cols blancs, ouvriers, employés, tous sont touchas et le 'savent. Mois ce qufils ignorent
- — et le Nouvel Observateur le révéle —
c’est à quel point la crise accentue les inégalités en France.
Il m s’agit plus seulement de ceux qui gagnent 100.000 F par mots mais des prioilêgiês,
protégés bu profiteurs face à tous ceux qui souffrent. La gestion de Messieurs Fourcade et
Giscard d’Estaing malgré une bonne volonté apparente nous a conduits à une injustice
plus grave, plus choquante: inacceptable.
□
Tl
IA_
D
Mji
LA CRISE
POUR UDI?
UNE GRANDE ENQUÊTE DU
ofiimÉur
Page 6 ■ — LE MONDE — 13 septembre 1975 • • •
POLITIQUE
l — Libres opinions —
VERS UE PARTI RABTCAE - TRAVARIJSTï ?
par ÉTIENNE DAILLY (*)
L A décision que vient de prendre le sénateur Caillavet de quitter
le Mouvement des radicaux de gauche, sans toutefois rejoindra
ni le parti radical ni la majorité gouvernementale. Invite A la
réflexion.
Qu'il y ait eu des radicaux pour croire que le parti communiste
avait changé et qu'il devenait dés lors possible tte tenter d'oublier
■Prague et d'envisager de travailler avec des hommes dont mri ne
conteste qu'ils sont en général patriotes, courageux, souvent même
bons gestionnaires, qui songerait à leur reprocher 7 Mais seraient-
ils encore de vrais radicaux, ceux qui. après les événements du
Portugal et les déclarations de Georges Marchais & cet égard,
prétendraient nier que l'appareil, la ■ machinerie », du communisme
International, sont demeurés les mêmes ? Seraient-ils encore de vrais
radicaux ceux qui conserveraient quelque confiance dans un parti
communiste qui ne veut ou ne peut désavouer ce qui se passe &
Lisbonne ? Pour loué les radicaux; P inadmissible commence, en effet
lorsqu'un parti minoritaire tente, comme c’est la cas au Portugal,
de s'emparer -par la force des moyens d'expression et d'imposer à
lin peuple un système politique, économique et soda/ dont celui-ci
ns vaut pas.
Qu'Il y ait eu des radicaux pour croire que le part] socialiste
n'avait pas changé et qu'il était dès lors encore possible de coopérer
bvbo une formation qui, au plan électoral, avait toujours pratiqué
la discipline républicaine, et qui, sans rien renier de ses finalités
lointaines, n'avait Jamais, Jusque-là, contesté que la démocratie
économique n’est plus la démocratie lorsqu'elle remet en cause les
libertés acquises par la démocratie politique, qui songerait A s'en
étonner? Mais seralent-Hs encore de vrais radicaux, ceux qui pré-
tendraient nier cette « volonté triomphaliste » des nouveaux dirigeants
du parti socialiste qui les entraîne A ne pas hésiter A opposer leurs
candidats aux candidats radicaux de gauche et catte aberration
qui les conduit A proclamer un credo au logestionnaire incompatible
avec le type de société auquel tous les radicaux demeurant, A
l'évidence, foncièrement attachés et qui ne pourrait d'ailleurs
qu'aboutir à l'anarchie permanente dans l’économie de la nation?
Seraient-Ils encore de vrais radicaux, ceux qui suivraient Jusqu’au
bout communistes et socialistes dans leur refus de concertation, dans
leur volonté de blocage? Car refuser systématiquement le dialogue,
ne pas accepter, dans des situations exceptionnelles, de prêter un
concours, fût-il exceptionnel, A ceux qui assument les responsabilités
du pouvoir, «al sir toutes les occasions, fussent-elles dramatiques,
pour aggraver la . tension sociale et encourager l’agitation, cela porte
un nom inventé Jadis par François Mitterrand lorsqu’il pariait si
bien de «coup d’Etat permanent*. Seraient-ils encore de vrais
radicaux, ceux qui accepteraient d’être plus longtemps complices de
ce qui, finalement, n’est ainsi rien d’autre qu’une entreprise pré-
révolutionnaire A finalité coHectlviste?
Mais pour nous radicaux de la placé de Valois, qui nous trouvons
appartenir & là majorité présidentielle — pour, certains d'entre nous
dès evant le premier Jour, — qui participons au gouvernement —
pour d'autres d'entre nous et depuis le premier Jour, — qui n'avons
pour autant abdiqué ht notre indépendance ni notre volonté de
changement, qui nous félicitons de constater que le président de
la République est animé de la même volonté de réformer- notre
société sans, bien entendu, en changer la nature, c'est A nous que
revient ' l'honneur et la charge d'étre, notamment au plan écono-
mique et- au plan social, là, levain pehmanent de cette majorité.
Serions-nous encore de vrais radicaux’ si ha us n'acceptlpns pas cette '
ardente obligation?
.Et serions-nous encore de vrais radicaux si nous ne réussissions
pas A renouer le dialogue avec une opposition de gauche qui accep-
terait, enfin, A nouveau la concertation?
Cest le grand espoir qu'évelKe aujourd'hui ta démarche d'Henri
Caillavet. En renonçant A une alliance Impossible et A un programme
commun que tous Iss observateurs de bonne fol reconnaissent inap-
plicable, tous ceux qui, socialistes sincères ou radicaux convaincus,
suivront Henri Caillavet ne renonceront certes pas A vouloir « changer
la vie». Hs seront par contre les artisans du nécessaire «désen-
clavement» de la gauche non marxiste.
Car, entre les partis à vocation révolutionnaire et la majorité, la
bipolarisation qu'a entraînée la stratégie électorale de l'union da
la gauche a créé un désert C'est IA, A la charnière de la vie politique
française, que doit donc, têt ou tard, prendre place ce grand parti
radical-travailliste que le pays attend et dont# le sénateur de Lot-
et-Garonne s'est déclaré hier le premier adepte.
Le plus tôt sera le mieux I
(•} Vice-président du .Sénat, membre du grouper de la Gauche
démocratique- et eu comité directeur du parti radical-socialiste.
Création immédiate de 130000 emplois publics
et cheminement vers une croissance d’an type différent
L’analyse défwîITée du con-
tre-plan socialiste n'ayant pas
paru. foutes nos éditions
du 11 septembre, nous’ redon-
nons . ci-dessous l’essentiel de
ces pro po sitions .
Le contre-plan 8*8x110116 en trois
étapes autour des thèmes sui-
vants: relancer l’emploi, réduire
les inégalités, définir une entre
politique ’ financière . et indus-
trielle au service d’une nouvelle
croissance économique.
• La première étape,
fclon immédiate, prévoit la
de 300 000 emplois; 130 000 dans
le secteur public (dont éducation:
25000 ; P .T.T, 30000 ; affaires
sociales, 20 000 ; collectivités lo-
cales, 40000) et, progressivement,
170 000 dans les entreprises, grâce
à la relance de la consommation
et des investissements. Le contre-
plan prévoit aûssl l’interdiction
des licenciements sans reclasse-
ment préalable, ainsi que la créa-
tion. comme an Canada, d’un
fonds d’aide aux collectivités lo-
cales pour la création d’emplois
d’agents d’associations locales A
but non lucratif, la fixation da
droit à la retraite A soixante ans
( cinquant e-cinq pour les femmes
et poux les travailleurs soumis A
des travaux pénibles), et rabais-
sement A quarante heures du
nombre d’heures de travail
(trente-cinq heures pour les tra-
vaux pénibles).
Relance par ia consommation
L’autre volet du contre- plan
pour l’immédiat consiste principa-
lement en une stimulation de la
wm winH nnBnn, A l’aide des onze
mesures suivantes :
— Mirrimum vieillesse porté
rétrospectivement & 30 francs à
compter du l« juillet fsan taux
passant A 45 firancsle janvier,
puis étant aligné sur le SMIC un
an. plus tard) ;
— Fixation du SMIC à. 1700 F
par mois ;
-7- Hausse modulée des alloca-
tions familiales (10% + le taux
d’inflation) en faveur des familles
les plus modestes A compter du
1- juillet;
— • Indexation des salaires et des
aliooafciws familiales A compter
— Assouplissement du crédit A
la consommation pour là première
acquisition de biens durables ;
— Suppression du solde d’impôt
sur le revenu pour les quelque
deux millions de contribuables
ayant déclaré moins de 25 000' F
de revenus annuels en 1974 ;
— Exonération de la T.VJL sur
les produits de première nécessité
et hausse des taux pour les pro-
duits de luxe ;
— Garantie des deux tiers du
StUC pour tout jeune de plus de
dix-huit Mg a là recherche d’un
premier emploi pendant un an ';
— Création d’un Fonds d’équi-
pement régional avec un budget
de 10 milliards d'autorisations de
programme ;
— Abaissement du taux de cré-
dit de façon plus sélective pour
les investissements immédiatement
créateurs d'emplois ;
- — Blocages sélectifs pour six
mois des- prix industriels et
contrôle des marges A tous les
de la dtstartbntlon.
L’ensemble de ces mesures coû-
terait A l’Etat 22.5 mUBaxds cette
année: 15.7 en dépenses supplé-
mentaires (dont 10 pour les collec-
tivités locales, 2£ pour les emplois
publics créés, 0,8 pour les alloca-
tions familiales, (L25 pour l'aide
aux jeunes) et 6,5 milliarâs en
perte de recettes (dont 6 par la
suppresion du reliquat d'impôts
sur le revenu et 1JL par l'exoné-
LE FRONT PROGRESSISTE:
M. PONIATOWSKI
DOIT DEMISSIONNER
M. Dominique Gallet, secré-
taire politique du Front proges-
slste (gaullistes d’opposition), a
fait. Jeudi il septembre au cours
d’une conférence de presse, le
point sur les activités de sa for-
mation. Le Front progressiste
organisera les 15 et 16 novembre
un colloque consacré à « la dé-
fense nationale et A Palliait
atlantiques. Du 4 au 7 décembre,
il partictpem, en Irak. A la cin-
quième session de la conférence
des jeunes d’Europe et des pays
arabes.
Evoquant la situation en Corse,
le secrétaire politique du Front
progressiste a demandé la démis-
sion de M. Poniatowski. Il a
réaffirmé son attachement au
projet de régionalisation soumis
sans succès en 1969 au référen-
dum par le générai de Gaulle.
k Nous croyons, a-t-Ü ajouté, que
c’est dans cette voie Que la
France doit s’engager et non eeUe
du démantèlement national: Que
f empressent de préconiser
MM. Lecanuet et Seroan-Sclurei -
ber à la suite de ces événements.»
Election législative
DANS LA VIENNE LE 12 OCTOBRE
In décret paru au Journal
[ciel fixe an 12 octobre le pre-
x tour de l'élection législative
la deuxième circonscriptâan de
Vienne iCMteUeranlt-Lou-
1). H s'agit de pourvoir, le
» laissé vacant par le décès
Robert Gouxault, suppléant
M. Pierre AbeHn, ministre de
coopération.
Le premier ministre interdit
une visite de parlementaires an centre d'écoutes
de Bonllày-Ies-Tronx
Là commission 'des lois de
l'Assemblée nationale a reçu de
M. Michel Poniatowski, ministre
de l'Intérieur, une lettre l’avisant
que. sur décision du premier mi-
nistre. la visite du centre radio-
électrique de Bculiay - Les - Trous
serait interdite pour des raisons
tenant au secret de la défense,
nationale & la délégation parle-
mentaire désignée par la commis-
sion.
M. François Mitterrand, Inter-
rogeant le ministre de l’intérieur
sur les écoutes 'téléphoniques, lui
avait demandé, le II juin A
l’Assemblée nationale, d’autoriser
la visite d’une délégation parle-
mentaire A ce centre d'écoutes.
M. Poniatowski avait déclaré :
c Ce centre— a une mission très
précise : celle d’écouter le» cen-
trales radio étrangères et de
détecter les émetteurs clandestins
qui opèrent sur te territoire fran-
çais. Je suis persuadé que M , te
premier ministre ne verrait au-
cune objection à ce qu’une délé-
gation parlementaire vérifie cette
situation. » (le Monde du 13 juin)
Cette délégation avait été consti-
tuée sous la présidence de M. Eti-
chommc, député (rép. tort.) du
Calvados, suppléant dé M. Michel
d’Ornano, ministre de l’industrie
et de la recherche.
Après le refus signifié . par
M. Poniatowski, qui déclare dans
sa lettre n'autoriser quq la visite
des deux présidents des commis-
sions 1 de la défense nationale et
des lois. M. Jean Foyer a été
chargé par la commission des
lois d’effectuer une nouvelle
démarche atfprès de M. Chirac.
• ML Valéry Giscard d'Kstaïng
a dîné. Jeudi soir 11 septembre,
avec deux de ses enfants, Valérie-
Anne et Henri. A l'auberge Le
Camélia, de Bongïval C^veunes),
dont le chef, M. Jean Delaveyne,
avait été convié A l'Elysée le
25 février dernier avec plusieurs
autres grands chefs de la cuisine
française.
• Le bureau du parti radical,
réuni , jeudi U septembre, sois la
présidence de M. Gabriel. Péron-
net, a publié une déclaration dans
laquelle ü demande an gouverne-
ment a d’employer les moyens les
plus -énergiques, pour mettre fin
à une situation tJtUlémblct.
• Une délégation du ' Mouve-
ment des radi cau x de gauche «
rendra A la fête de l’Humanité
les 13 et 14 septembre. Elle sera
conduite par M. Guy Germes-
seaux, secrétaire national, et
composée de MM. Georges Lace,
«meunier de Paris. Pierre Char-
ron et Marc-EUa Pau, membres
du comité directeur, et Jean-
Pierre Mattel, président du mou-
vement des jeunes.
• Les élus socialistes du Parle-
ment européen sont réunis en
journées d'études A Perpignan
depuis jeudi il septembre. Après
avoir la situation écono-
mique des pays de la CEE., les
parlementaires vont débattre de
la sit uation en Espagne et au
Portugal. --- •”
L'INDEXATION
DE L’ÉPARGNE '
ET DES PRÊTS
En proposant • L'Indexation do
l'épargne populaire et des prêts
(nas dernières éditions datées
du vendredi U septembre),
M. Mitterrand reprend on des
thèmes brûlants de la campagne
président! ella que le ralentis-
sement, tout relatif, du rythme
de l’éroskm monétaire a rendu
nu peu mnlna brutal : au taux
de 7,50 t, la rémunération des
dépôts dans les caisses, d’épargne
se rapproche des 10 % de hausse
des prix annuelle enregistrée ces
demie» mois. Male, eu réalité,
se trouve posé tout le problème
de l'Indexation générale comme
moyen de latte contre L'Inflation
et comme* garantie du dévelop-
pement des Investissements.
Dans la pensée socialiste, l’in-
dexation des dettes et des
créances longues constitue un
verrou majeur A la poursuite de
la spirale Inflationniste ; en re-
créant rincUatlou A l'épargne
longue, elle' permet de tain
baisser les taux d’intérêt, les
rapprochant ' ainsi du ■ taux da
productivité réelle de l'économie.
En outra,' l'Indexation des
prêta supprime la « rente de
spéculation » et ^enrichissement
rapide réalisé, notamment dans
(Immobilier, en renchérissant le
code réel de rompront, qui ac-
tuellement se trouve fortement
diminué du fait de Pé rosi on
monétaire.
n est bleu ce r t a in , néanmoins,
qpe les mod al ités d’application
do ' rcudasatiou son*.' délicates,
oral tenu des réticences
emprunteurs, y compris ceux '
du secteur pubDc, qui ■ évitent .
ainsi un gonflement exagéré. In
thèse gouvernementale est . que
r Indexation continue, .nu con-
traire, & nourrir l'Inflation en
déclenchant l’échelle mobile, la
mefllame protection de rép ar-
gue étant constituée par un ra-
lentissement du rythme de l’tn-
flctian.
ration de T.VJL. pendant trois
mois, la majoration' sur les pro-
duits de luxe rapportant de son
.côté 0,6 milliard). Le financement
en serait eh partie assuré par
rémission d’un emprunt A vingt
ans de 20 milliards de flancs
couvert moitié par legs Investisseurs
Institutionnels (réfutai érés an taux
de 5%), moitié par la petite
épargne (qui bénéficierait de lin-
Echec à M. Chirac
au Palais-Bourbon
M. FAHTOV
RAPPORTEUR DU PROJET
SUR LE STATUT DE PARIS
M. André Fant.o n, député
U.D.R. da Parts, a été désigné
par fs commission des lois -de
l’Assamblée nationale. Jeudi 11
septembre, comme rapporteur
du projet de loi sur la réforme
du statut de Paris. Ce ne fut
pas sans maL M; Fanion, auteur
d'une proposition de loi sur ce
sujet, trouva sur son chemin, A
• ea grande surprise, au cours- de
la réunion des membres U.DJL
de la commission, quelque» ins-
tants avant que.pelle-d n'ouvrit
sa séance, M. Jacques PioL-
dépulé U.D.R. de l’Yonne.
M. Pïdt fît. savoir aux élus
gaullistes- .qu’ « on » lui avait
demandé de se présenter.
M. Fan ton passe en effet pour
avoir, sur la question, quelques
Idées personnelles, qulrta sont
pas ce Ues de MT- Chirac. -Aussi
le premier ministre, par l'Inter-
médiaire de Mme Marie-France
Garanti, conseiller technique. A
son cabinet, avaJMJ suggéré au
député de rYonm de se porter
candidat
Soutenu- en particulier, par
M- Jean Tïberi, député de Paris,
qui Jugeait souhaitable que le
rapporteur n'eût pas. d'idée pré-
conçûe sur le problème, M. Rot
devait pourtant retirer sa candt-
1 datera devant fa * colère do ■
M. Fanion et ntr. te conseil de'
M. Jean' Foyer/ président de la
coarnifsslbn- Echec à Afc-'CWrac 1
dexatian et d’un taux réel- de
3,5 %). 21 Mitterrand propose en
outre l'indexation d’un livret A de
>uii<am d'épargne par rnmrn» (avec
un taux réel de 1.5 % par an).
• La seconde étape , .fondée
sur nn * croissance de l'ordre de
3 A 4% en 1976, viserait deux
objectifs principaux :
— Entreprendre, par le canal
des finances publiques, de pro-
fondes réformes de structures ;
amélior ation de la qualifié des
services' publics, création d’em-
plois davia le secteur social* crois-
sance de plus de 20 T» des dépen-
ses d’équipements collectifs et des
aid<»« aulogement social, décen-
tralisation (grâce A un crédit de
16 mffllards) favorisant des pro-
jets d’équipements collectifs ré-
gionaux autonomes conduisant A
la création de cent cinquante
mille emplois nouveaux. Impôt
sur les Investissements « suppres-
seurs » d’emplois, exonération de
la T.VJL en faveur des produits
dont la durée de vie sera allongée
et garantie, lutte contre, la fraude
fiscale... ;
— Mener une politique de Té-
formes structurelles : nationali-
sation du crédit et des entreprises
mentionnées par 1e programme
commun, restructuration indus- '
tri elle, réévaluation des bilans,
indexation des prêta élargisse-
ment de Tasslette de l’impôt sur
les bénéfices, aide A la création
d’entreprises, suppression des ai-
des A fonds perdus aux entre-
prises, obligation de garantie de
cinq! ™ peur '
s cycles, ftouir
r, les mealAa
M. ANDR1EU A MAL ÉCOUTÉ
M. MITTERRAND
Commentant, dsuis FHumaniti
du 12 septembre, la fin du débat
sur le plan de soutien de l’écono-
mie, au Palais-Bourbon, M. René
Andrteu écrit :
a Répondant aux orateurs
l’Assemblée , M. Fourcade
dédoré en conclusion : «Au cours
de ce dAbqt, fai noté m’ élément
important : le programma
contins» de la gauche n’existe
plUS. 9
» M. te ministre des finances
prend set désirs pour des réalités.
' *Sans fioute aût-41 ptfeuq «ata
mis François’ Mitterrand ne. 'lui
.fmeniisse pas . ce prétests, 'en
omettant dans son intervention
de te référer au programm
commun, s
M. Andriou a mal écouté
M. - Mitterrand. Celui-ci a men-
tionné une fols le programme
commun, ainsi que nous l'avons
indiqué (le Monde du 2 septem-
bre) lorsqu’il a déclaré : « L’opi-
nion sera juge lorsqu’elle connaî-
tra tous les éléments du plan en
trois étapes, et dans la ligne des
objectifs du progr am me commun
de la gauche, que lut soumet
aujourd'hui même le parti socia-
liste. » (Journal officiel du il sep-
tembre page 6 141.) — R. B.
• La Fédération des socialistes
réformistes se félicite de la déci-
sion de M. -Christian Chàuvel,
membre de son comité directeur,
député ex-RS. de Loire-AUan-
tiqae, qui s'est abstenu dans le
vote sur le plan de relance. Fai-
sant allusion au départ de
M. Caillavet du Mouvement des
radicaux, de gauche, la Fédéra-
tion des socialistes réformistes se
félicite de cette évolution, paral-
lèle A la sienne, c qui renforce le
centrant de ceux qui sont décidés,
pour éviter à la France tout ris-
que de portugalisatbm, à pro-
mouvoir un. -socialisme ' démocra-
tique libre de tout lien avec le
parti com mu n ist e». . .
MEME SI VOUS
MESUREZ
2 MEIRESi
NOUS
VOUS HABILLONS
ETL PRET-A-PORTER
en costume'
draperie
. J»**
velours
trais (puis de cinq) ans
automobiles, les
ment ménager,
contrôle de' la publicité (as
intégration da ces dépenses, d»
le bénéfice imposable), droit:
veto pour les travailleurs i
l’embauche ou le Ucendemc
réforme de la a Sécurité sooialr
La «c nouvelle consommatior
• La troisième étape vbe
engager une évolution vexa
socialisme, en définissant les
tères de la sélectivité du crédi
de l’aide publique. EDè retiens
trois thèmes principaux :
— Un nouveau mode de j
duction, afin de modifier le i
port capital-travail, de rédufr
gaspillage humain et écologl
de diminuer la taille des ot
de réduire très considérables
la durée du travail et d'olla
la durée de vie des objets ;
— Un nouveau mode de ré
tiüon du pouvoir ;
— Enfin, une nouvelle inset
de l’industrie française visant
rendre moins dépendante du <
tallsme mondial L’Etat, es
M. Mitterrand, devrait encom
la constitution, dans lés sach
dés A définir (énergie, Info:
tique, électronique, antonu -
construction mécanique, char'"'
navals, aéronautique, cl
lourde, pharmacie et alhw
tton), de grands groupes, de
A assurer à la France son i
n orale technologique.
ru
75017 PARIS TH. 380 35.13
pflRffflrefimmnr
M. ANSQUER: M. Mfflerra
de bonnes fédérés.
M. Vincent Ansquer, mi:
du commerce et de l'artisar
déclaré au micro de France-
lé Il septembre :
« Je vois que M. Mtttem.
de bonnes lectures. Son cc-
plan reprend notamment def
positions précises de mon ra
< anti-gaspillage », tien an
dans F opinion publique qua.'
Val publié en juillet dem
assouplissement du crédit
consommation pour ta pre
acqui si tion de biens dur
exonérati on da ta T.VJL. e ■
oeur des produits dont 2a
de vie sera allongée et gart
dans le cadre dune no -
croissance, définir un no ■
mode de production a fi
modifier 2e rapport capita ■
vaü. de réduire le gasp ■
humain et écologique, de n
très considérablement la •'■
du traoaü et tValbmger la
de vie des objets. Je constat i
V a des convergences de ;
entre VopposiUon et le goût '
ment. C’est Vune des gr.
préoccupations du président -.
République, qui avait so
Vavis des leaders de l'oppa.
sur ta situation êccmumbn
sociale .et sur les remèd
apporter. Les proposition!
M. Mitterrand vont dans lé
de Vactkm entreprise par le
vemement, nous progrès t
aftw» dams 2a bonne vote ,
lentement sans douté.' s
NE PAS CONFONDRE
ENDETTEMENT
ET CRÉDITS PUDUÇ
N. Georges Marchais et t
■arvice d'études ont mh tta
dents, mercredi soir, les spéc
Uatee ea annonçant, à U trtbo
do .l'Assemblée nationale, qna .
deux sronpes sldénumques-p .
rat Ustnmr et -Sactlor araJe
reçu on cinq ans, de 1070 >,
U74. près de U -nlUlaxda
rtanes de crédits publies {as
dernières . partions >
vendredi U septembre). ■ J
oherehaut bien, l'on arrivait
2,05 m il lia r ds de francs de prl
accordé» par le Vends de déi
loppement économique et sod
pour le. financement de nué
de Poe. Jeudi tes teehn
du 1PXL rectifiaient: e
u milliards de francs re pris a
***** «a fait l’endettement |£
bal des «eux Ormes, et
montant des crédite poNtt* if
8n revanche. M. Marchais,
raison quand n totülgne qnê ii
effectifs globaux de ces M
Qanes on» été amputés è
6 MO personnes. Si cenx drtntoê
«ont passée de U OU A 42 S90 p#
sonnes (+ 4508), «eux de OseX^
■ont. eux, n teams do
penonnes (—U 736) da tÿ
de la restrnetnratlon de là SUH
nirgie lorraine, qui entraînas
■oppression d'autant d*wnpW
«m» cependant qtrtl y Mît f
licendements (le non-renoatti
louent des contrats, lee départ
A la retraite et lu dêpleeoawrt
y suffisant). -comme A Vu B
Sonner, filiale commune dUtinn
et de Sacllor, a créé dans 1
même temps 3 MO emplois, >
solde global pont «et troto ea* «
A peu près auL-
ISTg
LE MONDE — 13 septembre 1975 Page 7
POLITIQUE
« publies
i type diK
iM PUBLIANT
«L'EN J£U»
4ML entend se donner un « corps de doctrine
^ M. Ytss Guéna, délégué général d* 1TUXR.
■ - h«. présenté à la pressa. Jeudi lt Mptambra. l’on-
"• 1 •. •fcX.Big* dâxm LuqueL uns la tîJxa ■« l*Eaïn »*
à rassemblé lcfl différantes orientation*
: . .* £ 0 ‘ella avait définie an cours de ses assises
...V"-î > K lionales de Nice le 15 juin demie*. S'ajoutant
;^;'x principes fnndamentwmr légués par le général
r j j, Gaulle, celles-ci -constituent désormais le
■J 1 corps de doctrine » du mouvement gasBista.
ouvrage. dont ÎTLDJH. veut- assurez une large
' ROUïp’lâ fusion, ne se présenta pas rramna txn programme
"“t {N gouvernement. Bien . que rUJUL se défend e.
! .voix voulu donner la' réplique aux « petits
livres ■ éditée par les signataires du pro gra mme
. commun de la gau cite. « l'Enjeu ■ ■ s'en - composte
pes moins de nombreuses suggestions, proposi-
tions et revendications. Certaines soûl »«”
lécs et précâses pour être transformées rapidement
en projets de loi ou en réformes concrètes., pour
, peu que le gouvernement le vcuîUa.
L'inspiration de cet ou v rage correspond A nu
double objectif que M. Jacques Chirac a exposé
devant le bureau exécutif de rU-DJL du 3 sep-
tembre. qull a répété devant celui da 11 sep-
tembre. et qu'il préc is e r a à plusieurs reprisas
i ••
I ’ ■
V^-Jans la préface qun a donnée
'--jet ouvrage, M. Chirac, repre-
■*"- l’essentiel de son discours
r assises nationales de Nice, .le
i - ’- juln dernier, écrit notasmusnt :
^ mode de scrutin actuel
•- . \ assure un contact direct et
• v'' ; wrfn entre V&ectem et son
-- .j' .ruté s’oppose aux combinations
partis politiques qui se dtipu-
r^-mt jadis la gestion de la mi-
■ ■ i- 's de la France. » A propos dé
'-'.'.-politique européenne, le premier
:-.'V'üstre estime : « Pour soutenir
■.'■.''préstdent_de la République ; et
- . V prendre une part plus active
• - cette construction. rü-DJL,
xvement politique le plus jntta-
de notre pays doit prendre
ttnttiattoe d’une • large confron-
tation avec. les. autres jiartti poli-
tiques de TSurope des Neuf- »
- A propos de la situation écono-
mique, M. Chirac éczlt r « Seule
unie croissance suffisamment ra-
jjida nous permettra d’assurer le
plein emploi et d’atteindre, sms
contrainte mats- seule artifice, ce
qui doit étre ax 'des objectifs de
notre société libérale, le droit au
travail pour tous ». et Q. ajoute :
« Cette troisième voie à Jaquette
nous a conviés le général de
Gaulle, cette société libérale de
type avancé 'que nous propose le
président de la République refuse
à la fois les barreaux, du collec-
tivisme et ^injustice du capita-
CORRESPONDANCE
Ce qni sépare le parti radical de HiDJL
DUS
i
t'- *
ous avons - reçu la lettre siti-
"te de Mme Brigitte Gros. sé~
rendit n secrétaire général du
ECûlHi ’. V . radica:L socialiste :
D . ■ ai pris connaissant» avec
JC uconp d intérêt de l’article de
Yves Guéna, délégué générai
L’UJXK, que vous aves publié
,, .... -s votre édition du mardi
... . pcembre. . • •
l’on pouvait encore se poser
' Iment la question de savoir ce
sépare VU-D-R. du parti radi-
■ r&rtlcle de M. Guéna, Intitulé
rr a. -. - - -L’enjeu » permet de répondre
, i renient à cette question puis-
- . ausd bien on ne peut mieux
oser les options fondamentales
gaullisme et les propositions
..Manifeste radical
^ ‘ -ma nous limiterons voiontal-
- . nt à ces deux thèmes essen-
m. >. . ’ que sont l’Indépendance na-
y ■ e et l'ECU. - ’-
K , " *- représentent exactement les
E,.- - s de liberté et dtndépen-
\ -i nationale en 1075; que re-
e ent-iis, que signifient-ils
, iis que la France et l’Europe
♦ .tributaires de décisions, pri-
. ît d’autres pays en matière
V' - ~gie et de réglements monè-
w ’ • • internationaux. N’y a-tr-il
i, 5 ' tuelque atopie à engager
>«. . Tançais à souscrire de nou-
vi.'* i la grande ambition de la
é~. - s indépendante» alors que
** - - dons et les Etats sont, plus
*> ' amate. dépendants les uns
ir. ■ - u très et donc interdépen-
9*
ï, . parti radical, depuis le Ma-
: e au moins, a toujours été
an d’une Europe unie dls-
' t d’institutions parlementai-
lutis au suffrage universel
lissent prendre des décisions -
sant politiquement les pays
Communauté europé enne ,
idère de défense pour arrë-
escalade permanente des
.s militaires, nous n'avons
„ de demander la réduction
' • d grammes d’armement nu-
et l’ adhésion de la France
— - — vlté de non - prolifération,
jar la solidarité et par un
i-' *1: commun des Européens qhe
,j.t être balayées les lncer-
de notre temps.
' ^ aussi par un effort
;* ’^in de tous les. Français, et
ulement de quelques têtes
’nnes, qull peut être mis fin
oérissement de la natlom.
le l'Etat Four les radicaux;
îocratie n’est pas dans le
isme et le parisianisme ;•
nous faisons nôtre la formule de
Lamennais solvant laquelle s la
. centralisation, d’est l'apoplexie à
la tête et 2a paralysie aux extré-
mités. » : ce qui vient, de se
passer en Corse, et que seuls les
aveugles ne .pouvaient prévoir,
confirme bien que le cen t ralisme
administratif, est une forme de
« menée antinationale ». pour re- 1
prendre la formule de M. Guéna,
et. en tout cas, -une erreur. C'est
une idée reçue; trop reçue, que
celle qui consiste A. affirmer bien
haut que la liberté des citoyens
de décider de leur sort sur place
eux mêmes porterait atteinte &
l’unité nationale. L’unité natio-
nale dans une France coupée en
deux est suffisamment dégradée
pour qu'on puisse se demander
-quels en sont les responsables. Ce
ne sont pas les radicaux, lesquels
proposent une redistribution du
pouvoir de déctsfen pour tout ce
qui Eoncerbe la vie de&'rêglodS.
L'Amalgame qui consiste A
mélanger le . régime présidentiel,
l’unité nationale et le pouvoir' xé-
glanaL pour les condamner
ensemble, est trop commode: ce
n’est qu’un aQbl pour refuser la
vraie liberté . des citoyens ; la
liberté de décider de leur sort. 1 a
s figure du gouvernement » doit
s'incarner d&g» un véritable pou-
voir de décision régionale pour
que les citoyens puissent eux-
mêmes, ainsi, que récrit Jean-
Jacques ..Servàn-Schrelber dans
•le Pouvoir régional « concevoir,
organiser et contrôler le dévelop-
pement économique et social, et
ainsi garantir et contrôler f em-
E lot ». C’eut le pouvoir, régional
îl qtTil a été proposé en Lorraine
par Jean-Jacques Servan-Schrei-
ber devant le premier ministre,
.qui '■ peut, aujourd'hui , .assurer
l'avenir de la nation. - , .
Ce o’est pas remettre en cause
les institutions de la France ni
l'élection du président de la Ré-
pubUqùe au suffrage universel que
de réclamer; suivant le mou de
Clemenceau, ce grand réforma-
teur : « l'organisation du régime
de liberté régionale où nos pro-,
pinces ■ reviendraient ' à la vie
dune expansion dtndépendanee.
après tétouftement décrété depuis
Napoléon— Débarrassés des obsta-
cles. d'une organisation, propre, à
tout empêcher, les Français qui.
après tout , ont le droit de n’etre
pas de Paris, retrouveraient
d’heureuses issues aux mouve-
ments de la vie régionale, qui sont
en tout pays la condition néces-
saire de la liberté ».
LA MARGUERITE
SÈMEBIENDES CONCURRENTES
dans .les- prochains mois i mieux faire connaître
TU J) JL à fr a vers le pays, démon Irez qu'elle a pu
surmonter le vida laissé par la disparition du.
génépi de Gaulle qui, comme récrit M. Guéna,
dispensait ■ naguère la lusxïère en ions domaines •
et affirmer que les pmllîiitw d'aujourd'hui possé-
dant xme doctrine po&fique propre. Mais 11 s'agit
aussi, selon une formule employée par M. Chlrêr
devant ses amis, de « gauchir 1TLDJB. ». de refuser
la cla w em aat A dxoiia que lui avait attribué une
partie de l'opinion, et où ses alliés de la majorité
voudraie n t bien la maintenir- C’est le sens de
certaines propositions ■ progressistes » contenues
d a « U l'ouvrage. Elles c or res p ondent bien aux
moyens — sur ptusieurs sujets — des
militants gaullistes et de certains élus qui sont
résolus désormais A Iss exprimer de plus en plus
nettement pour mieux se différencier, dans la
majorité, des républicains indépendants st de*
centristes.
L'UJDJL. qui avait longtemps hésité A être soit
une organisation de masse soit un parti de cadxs*.
vendrait aujourd'hui apparaître de plus en plus
comme mouvement populaire et non comme
un club de notables. — A. P.
Mme. Le développement de la
participation, grande idée du gé-
néral de Gfluue. nnn être un des
fondements de notre société. Cette
société (Tmittatme. de responsabi-
lité et de libre choix que nous
voulons promouvoir ne peut se
développer que si. sans remettre
eu cause Pexurtence souhaitable
du risque individuel, nous mettons
enp lace et améZforons un système
collectif, de garantie et de protec-
tion minimu m. »
. EL Yves Guéna, délégué général
de VU-DJL, écrit, dans l’avant-
propos de l’ouvrage, qu'avec celui-
ci 1TJJDJL dispose désormais d’un
s corps d’objectifs ». Ceux - d
concernent aussi bien les principes
ganJllstes relatifs aux institutions,
a la politique étrangère et ' A la
défense nationale que les pro-
blèmes que posent «Za crise de
civilisation », s l’économie à re-
penser » et la c nouvelle dimension
du problème social ». Au fil de
ces chapitres, on peut relever cer-
taines prises de position :
REGIONS- L’Etat devrait
accroître progressivement les
attributions des réglons, et par
conséquent leurs ressources, en
matière d’emploi et de formation
professionnelle- £2 conviendra
cependant de .rester attentif A ce
qu’un pouvoir régional ne ^puisse
se dresser en face de celui de
l’Etat, car celui-ci demeure le
seul garant de l'Intérêt national
donc de l'intérêt de tous. (_> E -
conviendra que les ressources
nouvelles qui . seront attribuées
aux régions soient suffisamment
évolutives. Q serait souhaitable
-que l’augmentation des dotations
' des réglons fasse l'objet de
contrats Etat- région, dont le
contenu pourrait varier d’une
région A l’autre.
LA DEFENSE NATIONALE.
Ses objectifs sont :
— La protection de l'indépen-
dance gt lq sauvegarde de l’inté-
gtitè du territoire conçu' comme
on sanctuaire qui doit être invio-
lable ; ' .
-— La participation an maintien
de la paix dans deux zones qui
sont, pour la France: essentielles :
le continent européen et le bassin
méditerranéen -,
— Là défense de dos communi-
cations maritimes essentielles ; '
— L’exercice des responsabilités
mondiales de la France dans les 1
DOM -TOM. auprès -des. Etats In-
dépendants qui contractent des '
liens privilégiés avec la France,
enfin dans une zone quelconque
du monde pour la protection des
nationaux français ou A la de-
mande de l’ONTJ pour le maintien
de la paix.
La force, nucléaire stratégique
doit parvenir à un niveau suffisant
pour porter des atteintes graves A
on adversaire, quel qu’il soit
- LTLDJL rejette résolument
toute solation qui ferait dépendre
d’un pays étranger la fourniture
d’une- matière première, d’un sys-
tème ou d'une technique, et toute _
théorie 1 d’emploi qui reposerait,
d’une manière ou d’une autre, sut
une double dé dont l’une serait
rijinw une malt) non française. * ,
. LA. FAMILLE Effort exception-
nel ■ en faveur des primes A la
naissance, plus particuliérement
pour le premier et le troisième
enfant ; développement des aides
ménagères A domicile ; extension
des horaires variables pour les
femmes ; déduction dans la décla-
ration des revenus des frais de
garde des enfants; prise ai
compte pour le calcul de la re-
traite du temps passé A élever les
enfants ; gratuité totale des
transports et fourni tores scolaires.
Rappel du principe de la neutra-
lité A l'école A l’égard de toutes
les convictions religieuses, philo-
sophiques et politiques. >
L’INDUSTRIE. B faut déve-
lopper une véritable politique de
concurrence et élaborer une véri-
table loi antitruste allant bien
au-delà des réglements actuels. La
création d’emplois doit, en prio-
rité. passer par la création d’en-
treprises nouvelles dans les sec-
teurs de relative faiblesse afin
d’aboutir A une situation de rela-
tive autonomie. Elaborer une liste
des secteurs sensibles dans les-
quels les investissements étran-
gers ne seraient qu’exceptionnels.
Pour la recherche scientifique
une priorité sera accordée aux
recherches ayant un grand Impact
collectif (énergie, espace, aero-
nautique. informatique mais aurai
santé, transports, agriculture,
exploitation des océans).
LA REFORME DE L’ENTRE-
PRISE L’U-DJL rappelle la né-
cessité du pluralisme syndical
réaffirme qu’il ne peut y avoir de
véritable démocratie dans l'entre-
prise - sans que soit semis le
principe de lia liberté totale’ de
candidature A toutes les élections
professionnelles.
Développer la participation aux
résultats et A la propriété de
l’entreprise. L'intéressement de-
vrait être appliqué aux entre-
prises de cinquante A -cent sala-
riés et être rendu plus simple
dans sa formulation technique. Le
personnel devrait participer aux
organes de gestion et de contrôle
(assemblées générales). Les socié-
tés enonymea (au-delà de mille
personnes) devraient séparer les
fonctions de contrôle et de direc-
tion en adoptant le statut des
sociétés A directoire et conseil de
surveillance où la représentation
des salariés serait du tiers.
Des sanctions devraient être
plus souvent appliquées aux chefs
d’entreprise coupables d’abus
caractérisés on de faute lourde de
gestion.
PROBLEME FONCIER, c Les
communes doivent conserver pu»
partie de leurs réserves foncières et
n’en consentir que la concession
an bénéfice, notamment, des loge-
ments sociaux dont le coût serait
ainsi diminué ; contrôle plus fer-
me de l’usage des sols urbains ;
attribution aux collectivités locale»
d’une partie des droits de muta-
tion et de plus-values. Institution
d’un impôt foncier anrmri assis
sor la valeur vénale déclarée des
terrains.
POLITIQUE DES REVENUS.
L’éventail des salaires doit être
resserré, grâce au relèvement du
SMIC, an freinage de la croissance
de- salaires les pins élevés, un
abattement fiscal supplémentaire
étant accordé A la famille béné-
ficiant de deux salaires. A propos
des revenus dn capital l'üJDJL
propose :
— Une large exonération en
' faveur des successions qïri ne com-
portent que la transmission de
biens d’usage familial et en parti-
culier du logement ;
— Une modulation plus équita-
ble de la taxation, notamment en
faveur des successions moyennes
et de celles qui t’effectuent en
ligne directe; ,
— Une imposition des plus-
values dont l’origine est essentiel-
lement spectaculaire, étant toute-
fois précisé que r imposition- des
plus-values doit tenir compte de
l’intégralité de F érosion monétaire
et ne pas contribuer d alourdir la
pression fiscale, le produit des
nouvelles taxes devant être affecté
d’abord d un allégement de l’im-
pôt sur le revenu f rapp an t les
plus modestes:
— La mise en place d'un sys-
tème fiscal qui favorise r épargne
populaire grâce, notamment, d
des abattements en faveur des
revenus d’épargne petits ou
moyens.
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t
Page 8 — LE MONDE — 13 septembre 1975
DÉFENSE
La récession menace la Polynésie
(Suite de la première page.)
Vingt-quatre heures sur vingt-
quatre, les équipes de forage se
relaient et creusent & la vitesse
d'un mètre à l’heure en moyenne,
en- combinant la technique du
forage pétrolier et celle du forage
puisatier. H faut moins d’un an
pour préparer l'expérimentation.
Le puits équipé, deux jours suf-
fisent pour descendre l’en gin et
bourrer le puits avec des agrégats
â ui empêchent les matières solides
S gazeuses de filtrer le sous-soL
« 71 rdy a pas de borne prévisible
à Ta modernisation de l’arme
nucléaire », commente M. Claude
CSP que la France devra accep-
ter quelque retard dans la
modernisation de sa panoplie de
ustensiles en cuivre des hôtels
locaux.
« Nous avons le souci de per-
dlssuaslon. Le remplacement, en turber, le., moins mal possible
1975, des tirs atmosphériques par
des expériences souterraines au-
ront des effets sur certains des
programmes ' majeurs & long
tenue, s’il en demeure et sH est
encore possible d'en mener plu-
sieurs de front. A Papeete, on
considère, du reste, qu'aucun res-
ponsable politique n’a engagé
l’avenir en indiquant formelle-
ment que la France a renoncé
«jnr pi sÿB i y ftÆHgriR a tout jamais.
Le vice-amiral Tardy se contente
prudemment d’observer que le
Polynésie a été habituée & 'vivre
au-dessus de ses moyens. «L'essor
considérable du produit intérieur
brut .et du nioeau de vie de la
Ayçobeny, directeur technique chef de l'Etat a constamment
des wwaîs au Commissariat à affirmé que « la France se réser-
l'énergie atomique (CELA.}, pour voit la possibilité de faire tout ce
expliquer la continuation de ses
essais par la France. Et Le vice-
amiral Jean Tardy, qui commande
le CEP, ajoute : « Zt n*s a
aucune raison possible de suppo-
ser qu’on arrête les essais, à
moins de décider qu’on se passera
de Varmement nucléaire, s De loir
côté, les techniciens Justifient les
prochains essais par la nécessité
de continuer A « müttariser » ou à
miniat uriser les armes déjà défi-
nies et à pratiquer de nouvelles
expériences de physique - pour
mettes au point des têtes
nucléaires multiples.
80 millions de francs
Georges Pompidou, en deman-
dant, dès 1972, aux ingénieurs qui
avalent commencé les premiers
sondages géologiques en 1965 de
se préparer aux essais souterrains,
et M. Valéry Giscard d’Estaing, en
décrétant que la campagne de tirs
aériens en 1974 serait «normale-
ment* la dernière en Polynésie,
n’ignoraient pas que leurs déci-
sions devaient, à terme, calmer
l’inquiétude, voire la colère des
pays riverains du Pacifique. Les
essais souterrains ont la réputa-
tion d’être plus Inoffensifs, et, de
fait, l' expérience du 5 juin à Fan-
gataufa a montré . que la lave
vitrifiait les produits de flmlon et
que le coraüen « piégéaitn
les iodes et lœ gaz rares, rédui-
sant notablement • — «ans toute-
fois les éliminer radicalement- —
les risques d’une contamination.
La sécurité sismique parait assu-
rée. Sur me de Tnraia, à 150 kilo-
mètres de Faagataufa, la secousse
enregistrée lors de l'essai du 5 juin
était analogue à celle d'une noix
de coco tombant à proximité de
l’enregistreur.
D'au vient, alors, cette nostal-
gie des essais aériens que ne par-.,
viennent pas toujours à dissimu-
ler certains deS techniciens franr
çaJs de Polynésie? « Les tirs en
qu’ü faut pour sa défense a.
LA SOIXANTIÈME
EXPÉRIENCE
L'essai souterrain Hector; en
préparation sur l’atoll de Fanga-
t&nXa, sera le soixantième tir
nucléaire de le France en une
quinzaine d’années :
• Entre la 13 février i960 et
le 25 avxU 1961, on a recensé
, quatre expériences aériennes an
centre de Benant; au Sahara.
•■* Entra le 7 novembre 1961
et le 16 février 1666, on a compté
treize tirs souterrains au centre
dTn-Ecker, an Sahara.
• Entre le 2 Juillet 1966 et le
14 septe m bre 1974, on a enre-
gistré quarante et un essais
a£m05pbédqn£S sur les atolls de
JUnnuoa . et de FangatanXa, en
Polynésie française. Les premiers
tira des campagnes de 1966 et de
1967 ont eu lien sur des barges
ancrées dans le lagon et, dés la
«■jrnipaffn» de 1968, les essais ont
au Uea la charge suspendue à
un ballon entre 4M mètres et
6M mètres d'altitude an -dessus
du lagon. Toutefois, en 1966, .
puis en 1973 et 1974, des tira
d’amies nucléaires, ont eu lieu,
depuis des avions SOxage-lV,
Mirage ni-E et Jaguar.
• • Le S Juin 1975, AcUUe a
été le premier tir souterrain en
Polynésie.
En Janvier 1975, l’ensemble des
tira aériens et souSexralns détec-
tés dans le monde Vflenft à
972, dont 5SZ expériences; soutes-
raines.
Dans . ces conditions, là seule
mie 'S manière de compenser ht hausse
puits Sont plUS OTléreUX que les trnnrïrtnTiti» rhï mAt - Ami pvni.
expériences atmosphériques, cons-
tate le vice-amiral Tardy, alors
que les crédits nucléaires des
armées ^augmentent pas dans Ta
impartante du coût- des expé-
riences est de limita: les frais de
fonctionnement du dispositif nu-
cléaire' en Polynésie. Depuis I960,
les effectifs militaires n’ont fait
mtmm mnmrfftM « UT iwnhmnr 'ra eUBUUUS uuuuun» UUUb DUS
évalue à 80 mnikm ff de francs le 1100 dfc roltré : de 14000 hommes
coût du premier ttr Achüle. Et “W** dans la premiôrB cam-
nabïWBfftaai
ramené à environ 40 minions de
francs, il n’en demeure pas moins
que ce prix dépasse de loin celui
d’une expérience aérienne (17 mil-
lions de francs en moyenne).
D’un autre côté; et malgré là
succès d’AcfciSe, les essais
souterrains restait un pari tech-
L3 de ajouter 2 000 civils du CEA. et
nninR de ses entreprises associées. Le
dispositif aérien et naval a été
simplifié. Sur la hase de Mururoa
)_ sera regroupée une infrastructure
ré le loglstlcrœ réduisant au minimum
ssals les coûts du transport, de stoc-
tech_ kage ou de déchargement depuis
nique compte tenu des ambitions 5*2*55®;., de
de la France et des difficultés à canservaaan seront expeaies al-
réunir des mesures ou & avoir la iffi SKSlLj! 6 ^ anœ ,
même qualité du diagnostic sur le de .j^gga et seuls les vivras
tir et le fonctionnement de l’arme continueront, de venir de
Pour la mise au point de JAmn.
leurs charges multiples, les Etats- - « Au moment oà tout le monde
Unis ont prêvtLà ce Jour, plus est atteint de démoralisation dé
de deux cent vingt ess a i s , soit flaücmniste comme aimp à le
près de 40 % du total de leurs dire son directeur, l'Ingénieur en
tirs aériens et souterrains, alors ' chef de raimc m ent de Dinechîn,
qu’il est demandé aux tec hnic i e ns- seul l’arsenal de Papeete sa dé-
français de se limiter à un nom- clare prêt à investir et à embau-
bre réduit d’expériences sauter- char. Première entreprise locale
raines pour un programme avec 650 employés, l'arsenal ré-
comparable. pare ou entretient des navires
Ainsi le sentiment prévaut militaires ou commerciaux' et il
parmi certains techniciens du se charge arasL. de l'étamage des
par l'économie locale et Tadvdntatra- Polynésie est directèmcnt lié à
au- tfon du territoire », confie le vice- r arrivée du CBP a, reconnaît
des amiral Thrdy. Mais g est évi- M Valy, qui estime à 3300 dol-
ong dent que le repu du CEP atjrm de lazs par an (2) la part du pro-
est graves conséquences. Déjà, deux dutt intérieur brut par habitant
jiu- cents emplois ont été supprimés, et qui juge « cette dépendance
on La durée du travail a été réduite, économique extérieure du terri-
res- lé volume des salaires distribués taire & incompatible avec lé pro-
M
APRÈS LES INCIDENTS A EUROPE l s J y TC?*
Le comité de soutien à l’armée iuterrieudrr * _j ; tl66
«quitte à sortir légèrement de la légalité
M. Joël Dupay de Méry. qui
co ndu isai t, mercredi 20 septembre;
a été restreint. Le maire cTOtepa, jet, aussitôt écarté, d'une auto-
village sur raton de- Hao dont la ngmte interne considérée comme
lazs par an (2) la part du pro- le co mm a nd o de vingt mili ta n ts
dutt intérieur brut par habitant du Comité de
et qui juge « «fie dépendance Mcmde du U «ptemtoe). a
économique extérieure du terri- expliqué
taire » mcampatfiblo avec lé pro- studios d’Europe 1 à Paria
jet aussitôt ëcartA d'une auton co mme une volonté de dialoguer
nantie Interne considérée comme »yec Maxime l e
« une préparation à la rupture j*naitdes propos jugfe witimUi-
des liens avec la métrovote at une tariStes et qui a reçu, dansrette
dutt intérieur brut par habitant
et qui juge « cette dépendance
économique extérieure du terri-
toire » incompatible avec lé pro-
population est passée, en dix an», « une préparation à la rupture
de- deux cents à mille cinq cents des liens avec la métropole et une
habitants, avec une école ou exer- voie conduisant à Pindépen-
cenfc treize I nstit u te urs, redoute da n ce jl.
de devoir se priver un jour de Cette revendication, un leader
l’électricité, de l’eau courante, des de l'opposition, M. John Tcarikl,
transports înterlnsalaires, du ra- conseiller à l'Assemblée terri to-
massage salaire ou des évacua-
tions- sanitaires garantis par les
armées.
« H faudra, . transférer à cer- Papeete où. ü élève des vaches et
tatnes sociétés dvües des activités des poulets» n'hésite pas à en
que nous assurions gratuitement, analyser tous les risques : a Si je
suggère le vice-amiral Tardy, et pouvais parler ^indépendance
m UWCt HL 7 |*CW UWmo M IHW "TT”" ^ .V' ■ - n.inVinJ
conduisant à Tbidépen- action, teax gifles «
-Jiqnes ». M. Dupuy de Mery a
b revendication; un leader affirmé ona le a comitédesouü^i
iCf T vk.n TearikL à l'a n née 8, dont II est le prem-
ier à l'Assemblée terri to- dent, * désoriiLais
riale dont Ü fut lé président, choqua /og pM
ancien député et, présentement, à «orffr légèrement de
retiré sur 60 hectares proches de “ JS LSSff*’
«lèUUm dM netMft riposter à « toute tentative dantl-
laisser, avant le départ des
moyens militaires, à Ytnttinttoe
locale, étatique ou privée, le temps sommes encore
aufonnrhüi , Ü faudrait qu'elle ait
lieu tout de suite, car nous
crrp rVes
sacrifiées.
Envisageant l’avenir du Comité
de soutien à l'année, M. Dupuy
de Méry s’est montré optimiste:
deux Tnin* six cents adhérents ;
trois mille signatures pour le
« contre-appel des deux cents s
Méry a annoncé un prograos
de réunions publiques dont u&
espère-t-il. aura Ueu «Fiel à '
fin de l’année à la Mutualité
Paris.
L'objectif essentiel de ML Dura
de Mery est de c sa fabe e
tendre » et * participer, non p
la force mais par notre présence
aux échanges de vues sur l'arm
. et la nation. « n est paradai
que les mass-.media sote.
ouvertes systématiquement a
agents de la su bv e rs ion et qi
soit nécessaire de sortir du oac
de la stricte légalité pour que
citoyens soucieux de feipf
civique et des intérêts supérin
de la nation puissent s'exprime
u-t-U conclu.
pi Glande Uuctnn, qui put
prit à ltmlirton, «THnae, de .
côté, que Maxime le Forestier a
frappé, jeté à terre et que du ml
rlel a été brisé dans le studio, tai
que le> techniciens d’Xurape 1
dû m barricader pour garder f
tenue.]
rémunération symbolique des ser-
vices sodan x qu’elles continueront
de fournir et, par exemple; sur __ __ _
l'atoll de Hao, où le nombre des tons pas envisager un retour en “™ ■—
va passer en deux ans arrière, a Et ML Traxiki de L > affaire Binoche » continue objectifs poursuivi* par le gém
lçtt rente à dtaqcente, il a conclnre : « Tout ceci, cette de provoquer des réactions. Bfia de Gaulle, mais apporte
SÎJÎSaÏ** 5 e k la retealte. alors qu’ü était lumière nouvelle sur la voleur
TÈaçptepaxo a recueillir l’eau de nœuvre du gouveptemont pour ^ cà^ro de réaerve, pour obstacles que le pro mo te u r
drtm 7toiia couper l envie ditre indé- avolr exprimé vigoureusement frotté de coopération a rencm
CEP, qui e n traînerait pendant. Je e ute p ers uadé qu e dans des P articles du mensuel sursaToufa»
1 arrêt du dessalem ent de l'eau de notre société mettra longtemps à ra ,iincfji FAvvéL et les co- La re v ue gaulliste publie
mer. « Le Polynésien, crcrit pou- ss remettre - - si elle en s urv it — du Monde <26 juillet 1975) nouvel article du général, m
votreg alq üer M . Maurice Valy, ^l’bnpactm~ov&qué «rPI natal- ^^aintés Al'feard de l’Allc- même thème, qui porte en t
secrétaire général du territoire, loti on dn C BP et duCJEJL dans rna g n» le. généralartcicUvé dans une citation de Jacques Balnv
«wèafle retourner aux sources et le Territoire de la Polynésie. » rrurematiionaZ Herald Tribune du « L'Allemagne, changeante
changer de mode de vie, et com-
bien d'entre nous sont prêts à le
faire? Trop gâtés, nous ne vou-
lons pas envisager un retour en
1/ « affaire Binoche
L' « affaire Binoche » continue
de provoquer des réactions. Mis
repli du CEP, qui entraîner ait pendant. Je «utt persuadé que
l'arrêt du dessalement de l'eau de notre société mettra longtemps à
objectifs poursuivi* par le gétu
de Gaulle, mats apporte
lumière nouvelle sur la valeur
obstacles que le pro mo te u r
traité de coopération a renom
mer. « Le Polynésien, crcrit pou-
voir expliquer M. Maurice Valy,
secrétaire général du territoire.
^Tmnettre-rieUe ensmrzdt- JEÏEdu SBndî
de l’tmpact provoqué par Ftnstal-
lotion du CEP et du CSA. dans
souhaite retourner aux sources et le Territoire de la Polynàmie. »
continuer à bénéficier (Ftut fort
nioeau de vie. b
JACQUES 1SNARD.
Au-dessus de ses moyens
(1) Le taux de etuuua est de
B l franc fraacris pour 1808 fraxtee
Pectoqiie. La oririre dee foncüon.-
_ „ , noires, civils ou mXUtrirea, venus de
En s'installant il y a »n> métxopoüe. est augmenté en Poly-
dizaine d'années, le CEP a boule- ^ d’un facteur 303.
versé les équflihres locaux et: _j 2 > }* drin * r à A* franc*
aujounThui, son repli affecte Dxn & u -
profo n déme n t l’économie polyné-— -
si e nne . . A sa manière, le docteur
Manqnene traduit là situation en f r ll n f C
ces termes : c Maintenant, le . vU.K.J,).
Polynésien préfère acheter saboite hhAnncc I r lUTCni\HTinU
de conserves chez le commerçant PKUrvJL >L INluoJU.ilUN
pécher ». DE TOUS IfS ESSAIS NUCLÉWKS
métropolitains qui sont souvent mirriincf
accuses, à tort ou à raison, de ralllhlltt)
venir en Polynésie pour t faire
du franc Pacifique CL), consi-
SSMÆS D.n^c.rrwonHMJ
.du CEP et -qui. Nations unies (New- York). —
aujouroTi^. regrettent* «a. rfeas- LTIrfion '»oviérique j a j/rcropsé, le
? ax i - A c y ESg te l’ttdgttiié et de jeudi 12 sSKnhre, que » plx>-
la a^erston de son terri totte, à session “ordinaire dsé l’As-
cause de r Saignement des rmur- semblée générale des Nations
cnes zotiruisseurs et acheteurs, uni» qui commence m ar d J,
d^n®*raplüque «evé adopte .une résolution lecomnrau-
” o/oo et avec un grave dont à tous les pays de conclure
chômage des jeunes (on a compté un traité interdisant tons les
récemment cent dix candidats essais' nucléaires, y compris les
d ®F, postes de surveillants «a»Jn souterrains, qui n’avaient
pénite nti a ire s), la Polynésie fr&xi— nas éÉc iw cim dans, le traité de
10 sep tembr e. toujours semblable à 1 ■
M. Raymond Aron, dam le Fi- taème l »
garo du 12 septembre, combat les .
opinions exprimées par le général
Binoohe, main conclut son article, • La promotion au grade
intitulé a Le droit aux o pinions général de division du généra
inopportunes » ; a En vérité, tante brigade Pierre Rrasart (le Mc
cette discussion ne se justifie que du 12 septembre) s'accompagna'
par la sanction infligée au général la décision du guuvemamcnf
Binodhe. J’aurais figé inutile de le maintenir dans ses fonct.'l'l
lui répondre si la gouvernement actuelles de commandant si
ne Ixd avait répondu, sottement, rieur des forces armées du Tl
par vue punition. » tolre français -des Afaxs et
Quant à EAppeZ, il. écrit dans Zssas. En mai dernier, à Dj&h
son numéro de septembre : cJtien le général Brasart avait tôxu
de ce qufvécrit ici mima le prfraË- profx» assez vifs à Pencontn
rai Binoche, et pour lequel ü a certains Journalistes et de n
i r U.R.S.S.
PROPOSE l'IHMHCTION
DE TOUS IIS ESSAIS NUGüEAISES
MILITAIRES
De notre correspondant J
Nations unies (New- York). —
LTMon 'sa^érique^ a jfrôn^é. le
Jéndl 12 eBnwnhre, que tt pbo-
session ordinaire, dé l’As-
• La promotion ou grade
général de division du généra
brigade Pierre Rrasart (le Mc
du 12 septembre) s’acooinpagn ” ‘
la déolfuon du gouvernement
de ce qufa*écrit ici même le géné-
ral Binoche, et pour lequel ü a certains journalistes et de n
été mesqu ine m en t et bzopportn- . breuses personnalités avalent
nément sanctionné, rien ne ïap- clamé quH soft relevé de
pose en quoi que ce soit aux MimnmniBrwnt attribué en ]
çaise a été frappée de plein fouet MoscoiTde 1983.
unies, qui commence, mard i,
adopte .une résol uti on recomman-
dant & tous les pays de conclure
un traité interdisant tous les
essais' nucléaires, ÿ compris les
essais s o uterrains, qui n’avaient
pas été iw çiray rfmw jj> .traité, de
Comm ent pcarrrait-H en être
autr e ment dans un pays où le
opasmon . soviétique est
dans une lettre adressée
HPRII"
EMBATTABLEL
à quotité égale 1 * ■
CEP garantit 'au territoire des par M. À G romyte o aa seerftafte
ressources fixes en versant un général de l’ONTJ, M. Waldhehn.
forfait fiscal annuel de 588 mü- . Le tes
lions de francs Pacifique et en exh M
payant des taxes do uanière s ’ En-tbi
chaque fais quü im porte des- Qte la
marchandises ? A ce Jour, les même si
. Le texte (Ton projet de traité
est annexé à cette lettre.
> En tait, ü est d’avance certain
que la proposition soviétique;
même si eue -est adoptée, comme
activités liées aux wwafo nu- ^ es* probable, par P Assemblée
cléaires représentent la moitié
du produit intérieur brut, évalué
énérale, a très' peu de chances <
l'être mise en application:
& 35 milliards de francs Pacifique, D'abord, parce ’ qu’elle semble in-
et environ pour 13 % la main- ' aocepttable aux pays qui n'ont
d'œuvr e sala riée locale est occupée
par le CEP ou le CEA La réduc-
pas signé le traité de 1963, la
France et la Chine, notamment. ,
tlon des. activités nucléaires . n’a' En second heu. le projet -sovié-
aucane chance d'être compensée
par une expansion dn tourisme,
qui représenté 18 à 20 %'àn~ pré-
tique, ne prévoit pas d'inspection
sur place,- ce qm le rend dtf-
fleflement acceptable par les
par le développement de certaines
cultures, comme le coprah, dont
les cours s'effondrent.
Avec les essais nucléaires, la
des essais effectués à des fins
pacifiques, traditionnelle- pomme
de discords de toutes les négo-
ciations sur ce thème.'
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Ht
*
* venCie
LE MONDE — 13 septembre 1975 — - Page 9
ïfptNTs 4
JUSTICE
cnàl
~ * O^niee ijj x : Tandis qne les mouvements de protestation se mnltinlient
S^îûincnt dp 7^ ~ x : ** : : —
-SÎ-.V:,; "Vn réforme dn régime pénitentiaire italien
ri 1}$% n’est appliquée qne partiellement
POLICE
« La journée d'action du W septembre
traduit un mécontentement générai »
estime M. Georges Séguy
lame. — Appran ns par 1» Perlemenl an coaxs
c ^î 'été. la réforme dn système pénitentiaire n'a
t . J 'iVza été appliqué* qne paxfielleiBéxii tm. Italie.
■V. gaines mesures, contenues dans la loi —'comme ./
Régime de esmi-ISbacfté. — nécwrofaaaf es ®ff«±.
. ; '' jouvellea d îsp o âfl oiat matérielles et ) nridiq n«
pourront d* ce Ldt entrer en vigueur avant -
plnfietu* mois. Ces retards ont déçu les détenus,
qin se sont livrés & plusieurs mouvexmajs d* wro-
ieüeüoa. Moins de deux, semaines après la
révolte de l'établi «Sentent .péniteafiaîro
{Romm). les p ris on n iers de Monza (Lombardie)
ont mis le f en à leur matelas le 8 septembre et
dressé des barricades.
ualîté
'raqu'à ces dernières semaines,
;. C L J Régime pénitentiaire italien était
.. •-\w : ‘ï par le code pénal de 1331,
• ;-' J rté ft l'époque fasciste : un régime
alque, parfois Inhumain, appliqué
des locaux trop petits, mal
_ ; r atenua, à l'équipement* sanitaire
‘ K i^Went Plus de la moitié des insti-
■ . longue peine sont d'anciens
. ,'. i , ’ rs 'i; r »enl8 1 châteaux ou casernes
avant 1890. ■
qjgagôe cm 1947, la réforme du
^ t Tie pénitentiaire aura mta près de
» décennies pour aboutir. EHe
: ^ ~ " — s ipôchera pas l'Italie de- rester
-a -..retard par rapport i des pays
■ “WÇfcrope du Nord, car fa nouvelle
*ne résout, dans l’Immédiat, ni
„ ',~ r j- r rorüblèina du personnel ni. celui
' bâtiments. - •
. ./*. UN REGIME DE SEMI-LIBERTE
. . 'mettra à certains, détenus de pas-
' " à l’extérieur une partie de fa Jour-
-• pour travailler, étudier ou pré- .
Z?ïïr leur réinsertion sociale. Habîl-
.;;-'Ç.en civil, Ils seront accueillis par
Instituts spéciaux, et cinquante-
’ ' ^sections de surveillance, de qua-
-L* membres chacune, seront Insti-
►s sur tout le territoire. La
— . rme prévoit, d'autre part, des
retiens de peine, correspondant ô
’-’t Jours pour chaque semestre.de
'te encourue.
>. Maintenir
les relations humaines
UN SERVICE SOCIAL sera orga-
."i an dehors .de la prison pour
détenue dont la peine est fnfé-
- . ^rra à trente mois (trente-six mois
—ar les prisonniers âgés ds moins
- vingt et un ans ou de plus de
j heanta-dbe ans). Ne .pourront 'en
■^léflcler ni* les récidivistes ni les
— -surs d’extorsions de fonds et d’en-
■ —wmenta. Le traitement des détenus
IWtravaîl «ara Inspiré des rémuné-
I JW syndicales;^ ils auront droit
F A allocations familiales. - .
IB' LES PERMISSIONS, très réfos
lu’à présent, eanont concédées
1 Kr des motifs - gravas et vérifiés m.
M Après les déclarations
jJe M. Poniatowski à Nice
uiucc ntimiiB -
CATS
AT
ME
septembre
L Michel
d’êven-
automa-
contrôle
t » d’une
Français
te morts
soulèvent
laizes de
s.
rocafcs de
Lznunloué.
ge irons -
autotna-
fugement
ne i le
l’une teOe
du mi- ■
frrtértettr
pubUque-
itution-
De notre correspondant
On tiendra compte de certaines
« exigences . personnelles et üuni -
Haies ». Le Parlement a rejeté, tou-
tefois, . une innovation audacieuse
qui était contenue dans , le projet
de lof.: elle accordait aux détenus
des permis spéciaux pour une durée
maximum de cinq Jours «dans la
but de maintenir- -feins relapons
humaines », autrement d tt, d’avoir
des rapports sexuels.
• LA CENSURE d? là correspon-
dance est abofie, sauf décision
contraire du juge de' surveillance, qui
devra rcependant en donner officie!-,
fement la -raison. Toutes les lettres.
Journaux et périodiques - en - vente
fibre à l’extérieur, pourront pénétrer
dans les établissements ' péniten-
tiaires. Les entretiens des détenus
auront lieu dans des locaux, parti-
culière. sous le contrôle visuel, mais
non auditif, du personnel de surveil-
lance. Les communications télépho-
niques «ont admises pour entrer en
contact avec des membres de la
famille et même, dans des cas parti-
culière, avec des tiers.
• LES PUNITIONS sont réduites
et l'Isolement dans les cellules
dîtes - «-de rigueur», est supprimé.
Quant aux cellules .normales, elles
devront être bien aérées, convena-
blement chauffées et éclairées,
dotées d’équipements hygiéniques et
ne pas abriter, dans la mesure du
possible, plus d’un détenu. Méfiant,
té législateur a même précisé que
chaque prisonnier devrait disposer
d’eau potable. il a prévu dans les
cellules une prise de courant pour
permettre aux prisonniers de sa
raser. Ceux-d auront un délégué
pour veiller à ce que la nourriture
soit « saine et suffisante ».
Paradoxalement, cette io] entre en
vigueur au moment où — inquiets
et excédés par le développement de
toutes les formes de crtmlnaUté' —
les italiens réclament une plus
grande sévérité dans l'évaluation et
1'appBcation des peines. Dans un
pays où la vendetta a des racines
profondes, certains sont tentés de se
faire Justice eux-mêmes. Lundi der-
nier, 8 septembre, quand deux
bandits ont pris onze personnes en
otages dans une banque de Milan,
réclamant 200 millions de lires, le
.procureur de fa République leur a
dit : « Rendez-vous, sinon 1$ foute
va vous lyncher .* Après huit heures
de tractations, auxquelles assistaient
en effet des mHlieré de personnes
surexcitées, ils se sont rendue.
as.
Dans une in<»r- glM<g accordée
à T Agence cent r al e de pressa
et reproduit* par - l’Huma-
nité » dn 12 septembre, M. G.
Séguy. Secrétaire général de la
C.G.T. estime que la journée
de manifestations organisée le
18 septembre par- les princi-
paux syndicats de policiers, est
un év énem e nt « d'importance
et UB i nâi^^M i Ui n iifit
sérieux, générai *t justifié ».
* Les personnels de la police
avaient reçu l’assurance qu’avec
rarrivée de M. Poniatowski au
1 ministère de l'intérieur un climat
nouveau naîtrait, propice au
règlement positif de leurs reoen-
dieations, dit M. Séguy. on an
après, non seulement leurs pro-
blèmes de salaires et tttndices ne
sont pas résolus mais, encore,
leurs conditions de travail, et spé-
cialement d’utilisation, se sont
aggravées. »
Le secrétaire général de la
C.G.T, tout en regrettant que la
Fédération autonome des syndi-
cats de police, qui organise cette
journée, n’ait pas retenu le prin-
cipe de Puni té d’action proposé
par la Fédération C.G.T. de la
police. Observe que « le mécon-
tentement de ces personnels est,
à bien des égards, similaire à celui
que manifestent les autres sala-
riés de la fonction publique et
tous les travailleurs. H est évi-
dent qu’au niveau de cette
action revendicative, une solida-
rité objective les rapproche, s
» C’est ce qui explique le fait
que les personnels de la police
répugnent à être utilisés systé-
matiquement contre les travail-
leurs en lutte pour leurs reven-
dications ou bien dans des opéra-
tions de caractère ouvertement
politique.
s Pour nous, traction des per-
sonnels de la police s'inscrit dans
le cadre du développement de
Faction revendicative, particuliè-
rement intense en ce mois de
septembre, s
La prise d'ofages
de l'avenue de Brefeul!
UNE MISE AU POINT 1
DE LA C.F.D.T.
Aprts la prise d’otages de l'areu ne
de BretenU et les précisions données
dans a le Monde n dn 11 septembre
sur une réunion d'urgence des orga-
nisations syndicales représentées au
C. LC en un comité d’hygiène et
de sécurité, la section syndicale
C.F.B.T. dn C.I.C. nons écrit :
s A aucun, moment la C.F.D.T,
dont les représentants sont Inter-
venus tant au siège social que sur
les lieux dn drame, n’ont mi« en
cause le manque de système de sécu-
rité. Nos interventions, an niveau
de notre section syndicale, ont en
pour objet de s’assurer que tontes
les mesures seraient prises pou ne
pas faire courir aux victimes de
l'agression des risques supplémen-
taires. (_)
n Lors de la réunion dn C.H.S.'
dont votre Journal lait état, nons
avons dit fcelaj «t ajouté qn*i nos
yeux aucun moyen technique de
sécurité n’est en mesure d'éviter de
telles' prises d’otages, qne cette
forma de criminalité dépassait le
cadre professionnel et qn’enfln la
C.F.B.T. ne pouvait séparer ce phé-
nomène d’un problème de société. 0
M. Séguy constate encore que :
c SI. Poniatowski privilégie sys-
tématiquement son utilisation à
des fins de répression antisyndi -
cale. ïl la met sans vergogne
au service du p at r on at. JI veut
en faire une pièce maîtresse de
roffensive du pouvoir contre les
libertés. Ainsi, il suscite le desor-
dre qu'a prétend combattre, il
jette le trouble parmi les poli-
ciers eux-mêmes et tend à les
isoler de la nation, a
Enfin, M. Séguy rappelle que
le programme commun de la
gauche propose des réformes de
la police :
« La police judiciaire sera rat-
tachée au ministère de la justice:
les polices parallèles seront dis-
soutes ; dans les départements
et les communes, les assemblées
élue* et leurs exécutifs seront
directement associés aux mesures
intéressant le respect de l’ordre
républicain, s
Toutefois, la Fédération géné-
rale des syndicats de la police
nationale C.G.T. avait, pour sa
part, dans sa brochure a Four
une police unifiée, démocratique,
au service de ta pojntlaiion et
de la nation ». écarté l’idée d’un
rattachement de la police judi-
ciaire & la justice.
- • Attentat contre V agence
Iberia à Paris. — Des bidons
d'essence avec des mèches en-
flammées, ont été lancés par des
inconnus, ce vendredi 12 sep-
tembre vers 7 heures 30, rinna la
vitrine de l’agence parisienne de
la compagnie aérienne
située 114, avenue des Champs-
Elysées, à Paris. Un défaut d’in-
cendie a pu être rapidement
maîtrisé, nû»j p l’explosion a en-
dommagé le terminal d'ordina-
teur.
Le golf de Chevry 2,
tracé au milieu
des maisons,
sera ouvert en 1976.
sldejiees principales
•Jm
IgÉfc,,-,
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<V"; ■ wi •; ■
t T : 1 V . .r-v-
‘b< --r
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10 v h seulement à payer jusqu’à l’achèvement
fl B pins défavorisées, selon les
‘ stiques du ministère de la
ÿ'œ ». • ' .
MM. Daniel Le Sont Incarcéré
W/ vol de chèques. — Mis en
rjté sous contrôle judiciaire lé
Maillet dernier, ML Daniel Le
l’une des trois personnes
es après la disparition an
1974. & Lyon, de ML Yves
Laflèche, vient d’être in-
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Page 10 — LE MONDE — 13 septembre 1975
ÉDUCATION
LA PREPARATION DE LA RENTRÉE SCOLAIRE
M. Ksby annonce des sanctions pour reins
d’accueillir des enfants dans les maternelles
VIVE LA RENTRÉE I
« Nul ne -peut s'autoriser à
prendre la lourde responsabilité
d'interdire raccès d’un enfant à
une classe régulièrement ouverte »,
précise un communiqué du minis-
tère de i 'éducation, en réponse à
la décision du Syndicat national
des instituteurs (SJJX) de limiter
l’accueU à trente-cinq élèves par
classe dans les écoles maternelles.
« Le maximum de trente-cinq
élèves présents par classe. Indique
aussi ce communiqué, est déjà
atteint dans les trois quarts des
cas ; sa généralisation a été an-
noncée comme un objectif à at-
teindre dans le cadre de la
réforme du système éducatif,
c’est-à-dire à partir de 1977. On
ne peut envisager de l’exiger
actuellement en se contentant de
refuser certains enfants, et tout
en sachant que les moyens néces-
saires pour leur accueil ne sont
pas disponibles dans l’immédiat. »
Le communiqué Insiste sur l'effort
fait ces dernières années pour
réduire l'effectif moyen par classe
en maternelle : « En six ans. cet
effectif s’est abaissé de 12 % ;
lundi prochain, plus de trois müle
cloues maternelles nouvelles se-
ront ouvertes et aucune n'aura
plus de quarante élèves. »
M. Haby a déclaré, d’autre part,
le il septembre, k Antenne 2, sur
un ton rogne, que des sanctions
seraient prises contre les institu-
trices qui refuseraient d’accueil-
lir des enfanta. Ces sanctions
pourraient aller des retenues sur
le traitement au passage devant
une commission de discipline.
Les consignes adressées par le
SüX à ses sections sont les sui-
vantes : c Inscription des enfants
dans l’ordre où Os se présentent
et selon les disponibilités des
classes ; limitation à trente-cinq
de ces disponibilités d’accueü et
éventuellement inscription en
attente sur une liste particulière
du nombre d’enfants supplémen-
taires. Pour cette limitation des
enfants admis, l’ordre chronolo-
gique est en effet le seul critère
s ou os ies mm emenes (Suite de la première page.}
S ***! !e uî p S? sen 5L te élSff u PI to t a^cammunlqi3
pseudo - Information fondée
£??• ffute- sur Jes valeurs les plus contradlc-
a» toires. Entre la culture de l’école
réa et œUe de la télévision, il pour-
tement *, notamment dans « les ra it y avoir complémentarité. ■ La
a’autî£ tn V^mlèxe se rétractera d’aiztant
nr? l mntiK^iîii a iL i P lus «tr elle-même que la seconde
pré-rentrée qui a lieu ce vendredi ^ réduira au divertissement sans
Sr 5Sî. t ?5 br m u densité. Et que dire aux garçons
iJivlté & envisager les e t aux mies qui entendront slmui-
modalités d application et de tanément parler de l'injuste
* populansation » de cette me- condition féminine et prônerl'avl-
ure. D est vraisemblable que I on üssement de la femme dans mie
£ ien df a , compte des situations pornographie plus ou moins dls-
familiales et des accords déjà tin eues ?
donnés aux familles comme le D a toute façon. & quoi bon
sectlon de enseigner à uSs^énératicm qui
Paris du syndicat. ne demande plus qu’on lui trans-
Selon les estimations du S-NX. mette du savoir, d’autant plus
il faudrait créer huit mille cinq qu’après tout ü n’y a plus de
cents postes pour satisfaire cette savoir qui vaille d’être tr ansmis ?
revendication. « Mais noos som- Heureusement, cet « & quoi
mes prête à discuter pour réaliser bon ? » permet, par son
progressivement cet objectif », de renverser la perspective. Pas
déclarent les dirigeants du de savoir & transmettre? U faut
syndicat. avoir été au contact de l'appétit
La Fédération des parents insatiable de garçons et de filles
d'élèves de renseignement public. Plus °u moins jeunes coupés trop
présidée par M. Antoine r.à g * r T lfr J tôt de l'accès an savoir pour bien
si elle « estime nécessaire une comprendre la dérision du nou-
réduction des effectifs de classe, veau terrorisme intellectuel exercé
surtout à l’école maternelle (—}, au nom de l'Ignorance bienfai-
n‘ accepte pas qu’une décision santé présentée comme savoir
d’une telle importance soit prise spontané. Qu'on discute du conte-
de façon unüatérale ». De son mi du savoir à transmettre et de
côté, la Fédération des associa- la méthode de transmission,
tions de parents d'élèves de mais qu’on n'accentue pas l’écart
l'enseignement public (Fédération entre favorisés et défavorisés en
Glraudeau) avait présenté, avant niant l'utilité même de l'ensel-
la décision du &NX, le plan
suivant d’abaissement des effec-
tifs : trente-cinq à cette rentrée ;
trente à la rentrée de 1976 ; vingt-
cinq & la rentrée de 1977.
Le parti socialiste, de son côté,
c apporte son appui à l’action du
SNJ. » et annonce qu’ c avec tous
les membres de l’éducation natio-
nale et les parents d’élèves, le
parti socialiste s’opposera à toute
mesure de répression contre des
initiatives qui ont pour finalité
l’amélioration de la condition
scolaire et l'intérêt des enfants ».
gnement !
Un enseignement dont par ail-
leurs les thèmes les moins uti-
litaires, les moins Centrés sur la
rentabilité future sont plus pro-
ches de la sensibilité d’aujour-
d’hui que bien des professe ors
traumatisés ne veulent l’admet-
tre. Le chevalier errant, toujours
vainqueur et toujours solitaire :
plus que jamais on est dnwg la
Légende des siècles. Sans même
insister sur Bruce Lee et son
possibilités de l'exercer aujour-
d’hui que naguère. Paradoxe ? Pas
du tout l Le monde actuel n'est
pas plus laid, n’est pas plus dé-
courageant que celuîd.'mer. Au
contraire, le seul fait qu 11 puisse
paraître plus laid est un «i g r y
profondément encourageant : les
représentations figées empê-
chaient de voir llnlustice proche ;
l’absence d’un système d’informa-
tion généralisée empêchait de
connaître l’injustice lointaine.
Maintenant un Jeune est choqué
par une réalité plutôt améliorée,
mais enfin • regardée comme non
« naturelle ». Quelle nouvelle faci-
lité pour renseignant soucieux de
faire découvrir autre chose que
des formules vides !
Soucieux donc d’influencer. Oh !
je sais, le mot a mauvaise répu-
tation 1 Vouloir Influencer ? Fl
donc t Parents, professeurs, gar-
dez-vous-en bien, laissez faire la
libre spontanéité I Etant bien en-
tendu en même temps que la
société, l’horrible Société, fait
peser sur le malheureux ado-
lescent des contraintes Irrésisti-
bles. En d’autres ternies : 11 vous
est interdit d’ajouter votre faible
Influence réfléchie et bien Inten-
tionnée aux fqr mldflhl»fl I fifliw} -
ces nocives de l’environnement
général. Fariboles ! S’il y a désar-
roi, c’est qu’il y a place pour
l’Influence qui permet à l’incer-
titude velléitaire de se transfor-
mer en liberté consciente géné-
ratrice de volonté.
Mais, pour que l’influence
créatrice- de liberté puisse s’exer-
cer, il faut encore que l’éducateur
ait A transmettre autre chose
que sa propre morosité, ses pro-
pres complexes, son propre décou-
ragement. La première Influence
c’est celle qu’exerce la person-
nalité. Face à une génération
tentée par le « rien ne vaut la
peine de rien », les meilleurs
enseignants seront d’abord ceux
qui donneront par leur seule
Le secrétaire géaéral de la FEN :
refuser le «ras-le-bol ». de l’école
et faire preuve d’imagination
insister sur Bruce Lee et son présence Je témoignage de la
mythe, comparez donc le Roland possibilité de l’équilibre et de
du Petit Rot de Galice avec Lucky la Joie.
M. André Henry, secrétaire
général de la Fédé ratio n de l’édu-
cation nationale (FEN). a tenté
d’élever le débat sur la rentrée
scolaire, à l’occasion d’une confé-
rence de presse, réunie le 11 sep-
tembre. H a exprimé l’inquiétude
de son organisation devant une
situation, sociale et économique
qui. selon lui, est d'une « gravité
exceptionnelle - » : il faudrait
« un changement de type et de
contenu de la croissance, privilé-
giant les investissements sociaux
et collectifs et assurant une
orientation nouvelle de notre
économie », estime le secrétaire
génér&L
La scolarité jusqu'à dix-hoif ans
M. Henry a surtout insisté sur
l’Idée lancée récemment par son
organisation, celle d’une < forma-
tion Initiale pour tous les jeu-
nes », assurée par l'éducation
nationale, en prolongeant la sco-
larité jusqu’à dix-huit an». Une
telle mesure répond, pour la FEN,
à la nécessité de s’attaquer aux
causes structurelles .du chômage
des Jeunes, et de remédier à
« l’inadaptation de notre système
éducatif », c Faut-Ü prendre notre
parti des réactions négatives des
élèves — « ras-le-bol » de l’école,
a CE. T. casernes », etc. — ou bien
imaginer quelque éhose d’autre
pour réhabiliter l’éducation natio-
nale dans notre pays ? ». a no-
tamment déclaré M Henry. '
Selon lui. «on a trop souvent
confondu la faillite du système
d'éducation et la faüllte des
montres dans leur enseignement
Les enseignants ont eu à subir le
poids des habitudes, des instruc-
tions ministérielles, et aussi de
cette conception élitiste fortement
■ ancrée. Nous prenons notre part
de responsabilités, mais c’est le
• gouvernement et le patronat qui
sont les principaux responsables
de cette dégradation. Pour leur
part, les syndicats de la FEN sont
prêts à cette remise en ca uses .
Le secrétaire général de la FEN
a, d'autre part, réclamé un
accroisse men t: important des créa-
tions de postes dans les secteurs
de l’éducation, de la recherche et
de la culture, critiquant « un bud-
. gel 1376 faible, dont le ministre de
réducatton n’a pas de raison de
se vanter». U a proposé deux
mesures concrètes pour remédier
en partie an chômage parmi les
enseignants : d'une part mettre
fin aux emplois ou vacations que
ce rtains fonctionnaires cumulent
avec une pension de retraite (mi-
litaires notamment) et encoura-
ger les retraites anticipées, ou le
départ dés l’âge normal (ainsi,
cinquante-cinq ans pour les ins-
titu t e urs). D’autre part, la FEN
c n’acceptera pas que tous les
maîtres auxiliaires ne soient pas
réembauchés, alors qu'il existe des
besoins dans renseignement
secondaire ». Le refus total des
heures supplémentaires pourrait
aussi, pour la FEN, permettre de
faire face & la situation actuelle
en favorisant les créations de
îxjstes.
M. André Henry a annoncé que
sa fédération organiserait «une
grande journée nationale d’action
et de propositions », qu’elle
souhaite faire coïncider avec la
journée d’action C.G.T.-CJPJD.T.
du 4 octobre. Toutefois, cette pro- \
position d'action commune n'a.
pas encore reçu l’accord de la
C.G.T., alors que la CFD.T. a
déjà donné le sien. î
M
3 ... -t-'.;'-:
m
Jongler avec les chiffres
et jouer avec les mots
Oui sera accueilli et qui res-
tera à la porte ? Telle est la
question que se posant aujour-
d’hui de nombreux parents, qu’ils
soient ou non Inscrits à une
association de parents d'élèves.
Le décision du Syndicat national
des Instituteurs (SNJ.) — qu I
groupe 90 % des Institutrices
d'écoles maternelles — risque
tort <f être Impopulaire
Le S.N.I., apparemment,
compte sur sa puissance pour
obtenir rapidement satisfaction.
C'est, en effet, avec quelque
trois cent quinze mille adhé-
rents, le plus important syndi-
cat d'enseignants, et ses res-
ponsables sont prêts è lancer
dans la bataille rensemble
des militants — c'est-à-dire aussi
les maîtres des écoles primaires
— au cas où des sanctions se-
raient prises. Cette décision est
d’autant plus spectaculaire que
le S.NJ. a, jusqu'à présent, pra-
tiqué mec les ministres succes-
sifs de T éducation, une politique
de négociation.
Au reste, le mot d'ordre de
cette rentrée n’est pas entière-
ment nouveau, puisque, depuis
quatre ans. le S.N.I. a mis en
ouvre des consignes de limi-
tation d quarante des effectifs.
Interrogés, d'autre part, sur
F intérêt des enfants dans carte
opération, les responsables du
SNI répondent : « Est-ce que
l'intérêt des enfants est d'être
entassés dans des classes de
quarante élèves ? - Trente-cinq,
est/menl-ils par ailleurs, a’ast
pas une proposition démago-
gique, ce chiffre figurant dans
le dépliant tiré par le ministère
en février dernier, à plusieurs
millions d'exemplaire s destinés
eux famllfea : « Limiter l'effectif
des classes maternelles à trente-
cinq enfants (au lieu de qua-
rante-cinq ou cinquante aujour-
d'hui) pour permettre une édu-
cation plus individualisée, plus
efficace. »
Outre qu’il ne manqua pas de
pédagogues ni de médecins pour
estimer que trente-cinq, c’est
encore trop, on peut surtout
remarquer que le ministre de
T éducation jongle avec les sta-
tistiques,' sans craindre de se
contredire. Contrairement au dé-
pliant de lévrier, fi est vrai fort
Imprécis, M. Haby prétend au-
jourd'hui. d'une part, que Peltec-
tlt des trois quarts des classes
maternelles est de moins de
trente-cinq élèves, tf autre part,
la circulaire publiée au Bulletin
officiel du ministère de (édu-
cation du 11 septembre 1975
précise : « Il est souhaitable que
ie nombre d’enfants dont seront
effectivement chargées les Insti-
tutrices d’écoles maternelles et
de classe enfantine ne dépasse
pas quarante élèves présents. -
Ce texte laisse donc entendre
* que rien n'est changé au règle-
ment de 1921 fixant è cinquante
le nombre maximum (Tentants
Inscrits. Le taux moyen d'absen-
téisme esr, en effer. selon le ser-
vice de statistiques du ministère
da réducatton de 20 °/« soit, en
moyenne 40 élèves présents.
Des statistiques du ministère
de P éducation ; portant sur
Pennée 1972-1974 montrent, en
outre, que 17(3 % des classes
maternelles avalent de SI i
35 élèves ; 44 Vo da 38 à 40 ;
27JB °/o de 41 à 45 et 63 °/o
plus de 45 élèves. Au total BS V»
de classes da plus da 30 élèves
et 787 % de plus de 35 élèves.
Comment est -on subitement
passé, pour cette rentrée, à la
proportion Inverse, alors que
le nombre des élèves ne cesse
de s’accroître dam les écoles
maternelles ?
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val Intelligent ! Plus sérieuse-
ment: la protestation d'Antigone
la pure contre Créon et sa rai-
son d’Etat n'est-elle pas par-
ticulièrement compréhensible à
ceux qui font le pim fermenter
la des enseignés ?
Et l'enseignement a-t-il vrai-
ment jamais consisté simplement
à transmettre du savoir? Depuis
un siècle au moins, U se veut
aussi communication du goût du
savoir, de la disp onibilit é à la
découverte ultérieure, de la curio-
sité enrichissante.
H se trouve que cette voca-
tion - Iâ, l’enseignant a plus de
Le bon éducateur est un' édu- « « Arrêtez le gommage lo-
cateur joyeux. Bt pourquoi ne le Cinq cents enseignante de
serait-il pas? A cause des mal- l’Institut coopératif de l’école
heurs et des misères de ce moderne (pédagogie Freinefc), rén-
monde ? Doivent-ils tuer l’in-
tense satisfaction qu'il éprouve
d’exercer l’une des très rares pro-
fessions dont la pratique justifie
par elle-même votre existence?
« Quel “beau métier, nom de
nis en stage k Perpignan, aiment
l’attention d» parents d'élèves à
propos de la rentrée des
sur « la vaste entreprise com-
merciale des grandes surfaces »
et « sur ( inutilité de certaines
Dfen-f ». se dit le docteur Antoine ( fournitures scolaires ». Us conseil-
Thibault devant un cas difficile.
Si seulement cette exclamation si
justifiée dans l'enseignement
comme dans la médecine pouvait
éclairer la rentrée.
ALFRED GROSSER.
lent anx parente.de «se concer-
ter avec les enseignants pour ne
faire que les achats indispensables
et préserver l’enfant de (attrait
de .la surconsommation s. t En
effet, déclare ce groupe, (enfant,
pour sfépanouir et apprendre, a
Un projet de loi sur le contrôle des organismes privés
de formation continue sera déposé en octobre
Avanl de présenter à la
presse, le jeudi 11 septembre,
le rapport de la co mmissi on
m ad hoc > sur * l'avenir da la
formation -, M. Paul Granet.
secrétaire d'Etat auprès du pre-
mier ministre, chargé de la
formation professionnelle, a
fait le point des activités de
ses services. H a en pa rtic u l ier
a nn oncé le dépôt, dans les pre-
miers jonrs d'octobre, d'un
projet de loi sur le contrôle des
organisme» privés d» forma-
tion continue et le mai n ti e n
du taux de la contribution pa-
tronale obligatoire pour la for-
mation à 1 % des salaires en
1976. alors que la loi do 1971
prévoyait d'atteindre 2 96 Tan
proc h a in .
M. Granet a expliqué que le
projet de loi sur le contrôle des
organismes de formation vise &
« combler un vide juridique », car
i actuellement seul le contrôle des
j fonds dépensés par les entreprises
au titre de la participation obli-
| gatoire peut 8e faire aisément. Le
i projet de loi qui vient d’être sou-
mis à l’ensemble des partenaires
sociaux prévoit notamment :
une déclaration obligatoire d’exis-
tence pour tous les organismes de
formation, (Interdiction de toute
référence dans les publicités au
caractère libératoire du 1 Té des
actions de fo rmation proposées,
l’Interdiction du démarchage ;
enfin, des poursuites pourront
être engagées contre les orga-
nismes dont les activités ne cor-
respondent pas aux finalités de
la formation continue. C’est, a
commenté M. Granet, le début
d’un c contrôle qualitatif ».
Le secrétariat d’Etat a expliqué
aussi que le projet de budget pour
1978 ne prévoyait pas d'augmen-
tation du taux de la participation
obligatoire des entreprises au
financement de la formation ; ce
taux restera, comme en 1974 et
1975, fixé à 1 % de la tmss» des
s alair es. Je gouvernement ayant
estimé qu'il n’était pas raisonna-
ble, dans la conjoncture actuelle.
censés par T ANPE) sont actuel-
lement en stage de préf urination
et reçoivent une indemnité de
360 francs par mois.
lin rapport
sur l'avenir de la formation
Au cours de cette conférence
de presse, le président de la
commission sur « l'avenir de la
formation », M. Philippe Blamont,
ancien directeur du Centre Inter-
national de perfectionnement
professionnel et technique de
l’Organisation internationale du
travail (QLT.), a commenté les
principaux points ' de son rap-
port (1).
La minceur du texte — une
trentaine de pages plus deux an-
nexes sur la formation des cadres
et des femmes — branche avec
nés, supérieur au coût réel de
VtnnovatUm.» La commission re-
commande d’ «encourager forte-
ment. au besoin par des incita-
tions financières », la recherche
et l'expérim en t ati on.
Le rapport Illustre ces recom-
mandations générales par un
cer tain nombre de propositions
concrètes :
• Donner les moyens « légaux
et matériels » à (Agence nationale
pour l’emploi de mettre en perma-
nence en présence offres, deman-
des d’emploi et moyens de for-
mation sur l' e nse mb le du terri-
toire na tional (par un système
d’informatique), afin de permettre
une liaison constante entre forma-
tion et emploi.
• Généraliser les formules de
contrôle tripartite (pouvoirs pu-
blics, patronat, syndicats) aussi
l’ambition du projet : c Formuler bien pour l'Agence national e pour
des recommandations sur la
manière de faire face aux be-
soins généraux de formation en
France à partir de i960 jusqu'à
Tan 2000 environ. » D'évidence,
l’auteur du texte a voulu éviter
& la fois de se lancer dans la
futurologie et de se perdre dans
le détail de propositions de ré-
formes. Dans un style clair, dé-
pouillé de tout lyrisme, il a cher-
ché A dégager quelques grandes
orientations, appuyées sur des
propositions concrètes.
Plusieurs Idées-forces se déga-
gent de ce rapport :
• Les formations initiales doi-
vent être réformées dans le sens
d’une plus grande polyvalence et
d*nn apprentissage réel de la vie
active : la durée des études ini-
tiales devrait être raccourcie ou
au moins ne pas être prolongée.
Mais vu le retard des effets de
toute réforme de l’école. « la for-
mation continue ratera, long-
temps encore, le co rre c ti f indis-
pensable des formations tnitia-
• Le concept de formation d ott
être élargi : dans le domaine du .
travail, une {dos large place, pour
tous Jes salariés, quel que soit leur
niveau de qualification, doit être
faite, aux « réalités éco n omiques
d’alourdir encore les charges so- et sociales». Dans le domaine du
ciales des entreprises.
Enfin, M. Granet a déclaré que
les 353 millio ns de francs sup-
plémentaires accordés à ta for-
mation dans le cadre du plan de
relance représentaient on accrois-
sement de 12 % de ses crédits
pour 1975 ; pour l’essentiel,- ces
sommes seront affectées aux
actions en faveur des jeunes sans
emploi. Déjà, selon le secrétaire
d’Etat. 20 000 jeunes sans quali-
fication ni emploi (sur 130 000 re-
« non-travail ». qui ira s’élargis- ^ • V
sont en raison de la réduction des temps r
horaires et de l’avanceeznnt de pour ai
I‘âge de la retraite, fl faut privi- raattan
légler tontes les formes de partiel- 'aire di
patian à la vie locale et a la vie et (enh
de groupe. note fil
• La recherche pédagogique
doit être prioritaire. M. Blamont Ara» »
conclut son rapport en écrivant . -
«Le cofif réel de la routine est, ... j.
en matière de formation comme
dans beaucoup d’autres damai - ccdes (T
l’emploi si sa mission /fout élargie
dan s le sens Indiqué d -dessus que
dans les organismes chargés de la
formation. Le renforcement de la
concertation entre partenaires
sociaux Implique notamment un
effort en faveur de la formation
spécifique des repré se ntants des
travailleurs « afin qu’üs salent à
même de participer autrement
que dtuue manière purement for-
melle à la définition, à ( exécution
et au contrôle des formations
continues ».
• Assurer mt contrôle continu
des résultats. Tout en reconnais-
sant les difficultés d’une «évalua-
tion qualitative des formations».
la commission demande de prévotz
dans les conventions de finance-
ment s une évaluation de V action
des formateurs par tes formés
eux-mêmes et de porter les résul-
tats de cette évaluation à la con-
naissance tant des corps de
contrôle que des comités d’en- •
tr «prise ».
• Organiser un véritable congé
de formation de manière k ce que
les salariés ne se sentent plus liés
une fols pour toutes à leur entre-
prise et & leur situation de travail.
Ce point, on le sait, doit faire
l'objet de très prochaines négo-
ciations entre le patronat et les
syndicats.
• Utiliser les « considérables
temps morts du service national »
pour donner ou améliorer la for-
mation technique ou le savoir-
faire des jeunes. « Le maniement
et (entretien d icn chut de combat,
note ML Blamont. ne sont pas
sensiblement différents du manie-
ment et de r entretien d’un bul l-
besOtn d’outils très simples créés "■ 1
de ses propres mains, à partir v
desquels ü peut développer sa-' v .-
propre recherche. La réussite et* :V
le bonheur des- enfants ne san< \
pas des produits de consommai î
tien.» . -
9. Grève dans (enseigneme± Z
agricole. — Le Syndicat natinrft r
de l’enseignement technique aàî jj
cote public (SNETAP, affilié àl fi
Fédération de l’éducation nàtiorj
nale) a lancé un mot d’ordre
S^ève pour les 16 et 16 septembre f : - :
Ce mouvement, qui concerne le t V-
personnels d’éducation et de
velllance des établissement
publics d'enseignement agricole®*-*
rendra difficile et, dans cert&huv .i "J,
cas. impossible la rentrée dis*-
15 septembre, ai particulier dan# -?
les e tablis sements, fort nombreux'
qui comportent un internat Les? V
personnels d'éducation et de smÿ«
v aillance de l'enseignement agrt-%
cole veulent ainsi protester contré ' '
les disparités croissantes de sta^‘ V ,
tuts. de salaires et de condition**'
de travail existant avec leun-l ' ; ; :y
homologues de l’éducation natio-V* v.' ;
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• • * LE MONDE — 13 septembre 1975 — Page
r
Un nouveau “bond en avant”de
L’EXPANSION
premier journal économique français
damoadedefiSoononûe
»ent L’EXPANSION
carcnv’apas
John K. Gattraüh
^hommes d*magnira&oaa‘devunes$amàhng-
temps attendu, en France, une revue (awtmqut de cette
^'iedsmqMttmôraleqtdiksaéeutffiàféjt^ede
mim tUlafomtde ^eiïeahtm^ deUfmteu
smpEt? K»n^ilsBIocIi-L^iié
•L'Expansion est un mensuel pour les entreprises, sans dente.
autrement dit stmulant et ouvert à tons la murants de
pem(e. Cest m im tru m eBt de Uasail indispensable pour
r « .i .r . if r V / r n. T T f. * .... fnJnMi'un i* *
Jacques Delors
•Pon la chefs d'e ntre p rise , UreL’Expansim , destttniufbrmi
est m outre, un
outil dsUupaü que Fon garde corüsertderfférena chaque
affaires?
JoséBidegain
jument sérieux, oit & industriel troupe de bornes aatürer
der(fbdoiapoursagestitmstre^queamvestuaesa$c-
'Antoine Rfboad
•Une nouvelle présentation
L'Expansion vous présente l'économie et k
vie des affaires sous leor jour le plus vivant : ses
articles et ses reportages sont largement illustrés
de photos en coulent de dessins, de cartes oü
de graphiques qui retiennent votre attention et
vous permettent de voii; en. un coup «fceO, les
informations essentielles.
•La rubrique Actualité
' Chaque mois, -vous savez exactement à quoi
vous en tenir sur k conjoncture. les *baro-
jmètEes* etles *5ndicateuis exclusifs* deUExpan-
âon vous - permettent de mesurer très précisé-
ment dévolution dekprodaction, desmonnaies,
del'emploî, des échanges extérieurs, dekJBouise.
. A partir de septembre; de nouvea u x chroni-
queurs, Jacques Attali, Jacques Delors, Lionel
Stoléra, viendront .compléter le panorama des
diagnostics portés par les journalistes et spécia-
listes del’économie: '
# Lanouvelle rubrique “VOTRE”.
Divisée en cinq parties, elle vous rend des
services pratiques:- . .
- “VOTRE CARRIÈRE" vous* permet.
chaque mois, de faire lé point grâce à un test
(en septembre { êtes-vous menacé de licencie-
ment?)- Vous y trouvez des conseils pratiques
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rustiques
au mont st-michel
mmmêm
;ÿftt
Page 12' — LE MONDE — 13 septembre 1 975
CARNET
H s été- accompagné, le U »«P-
teobre, (Uns a denâére domwure. a
La patnte-Bone&eoubu (*8). aprea
un mrvlcfl rellglaux oélébré par «on
«ta, le Mn B-Obxwxu.
• Oot avis tient lieu d* faire-part.
M. et Mme J. Oumtu,
305. boulevard <ta la Gara,
mus Parts.
Mme veuve J. Baiser,
î. ru» du Général-Lapacrino.
44X00 Nantes.
M. at Mme Jean - Claude Bouvier
et taure wftnt»
Mlle Anne-Marie Bouvier,
Mlle Marie-Thérèse Vlgntar.
ont la douleur de faire part du
décès de
M. Henri BOUVLEK.
commandeur de la Légion d’honneur,
croix da guerre 1914-ioia,
croix de . guerre IS3&-1MS,
médaille de Ja Béststance.
• "SSBaST
de rseota polytechnique.
ancien prisuint
de la Chambre syndicale
des raftlneura de pétrole.
président d'honneur
des anciens offldere d’artotarla
. de tranchées 1014-1918.
survenu le ? septembre & l’âge de
quatre- vingt-deux sas.
Les obsèques ont été célébrées
dans.lTnUmlté en l’église du Createt
(07 Ardèche).
CM avis tient lieu de tains- part.
Une messe â son Intention sera
célébrée ultérieurement A Parla.
13 bis, avenue de la Motte-Plcquet,
75007 parla.
59. avenue de la Bourdonnais,
75007 paria.
10. avenue Farder.
73006 Paris.
[Henri Bouvier était né te 4 Juillet 1893
A Paris. Ancien élève de l'Ecole poly-
technique, U devient Ingénieur chez: Saint-
Gobain pois fonde en TV» ta Société des
raffineries de pétrole de U Gironde, dont
Il essore ta direction générale Jusqu'en
1951. En T945 R est élK président de la
chambre syndicale des r affin eure de-
pétrole, fonction qu'il assure Jusqu'en
1949.- Il était depuis 1958 vice-président de
la Campe unie de partfdfntfon, de recher-
ches et d'exploitations pétrolières
(COP A R EX) J
cran 17 septembre, A -10 h. 30. en'
l’écQm Saint-Germain -des- Prés.
18. rue de l'Abbaye.
79006 Parla. ' ' •
La bioçrœphié de U. Chaubard
a paru dans le Monde du 10 sep-
tembre.
— M. J. R- Trfllac et Mme, née
Yvette Darrtannlc,
ML André Balança et Mme. née
Denise Dnault.
sont heureux d’annoncer 1b mariage
de taure entants
Franchi at Marie- Hélène,
qui sera célébré le 18 apptambre A
14 heures, en l'église Saint-Germain,
de Dourdan.
98. avenue de Sufffcen.
75015 parta.
Château de la Bromsrf,
81410 Dourdan. ,
Le Parc fleuri, avenue de Paris,
91410 Dourdan. I
Décès |
— Ha pta an Seigneur de rappeler
â Lui
Mme Georges GOKFADX,
wto Blanche MMrtffl.
décédé A lambereart. le 5 septembre
1875, A l'âge de quatre-vingts ana,
réconfortée par 1e sacrement dm
malades.
La cérémonie religieuse M l'inhu-
mation ont eu lieu, le mardi 8 sep-
tembre 1873, A Lnmbersart ot
De la part de
M. et Mme Henri (THalluln-
QoTfaox.
Général Maurice TAB0UIS
Noua apprenons le décès, survenu
ta Jeudi 11 septembre A Cl boure
(Pyrénées- Atlantiques), du
général (CIL) Maurice TABOUIS,
dont 1» obsèques auront Heu samedi
13 septembre A 16 heures sn l'église
de la MadeüelTift & Paris.
[Né le 6 mars 1900 â Paris et ancien
élève de Saïnt-Cyr, le général de brigade
(cadre de réserve) Maurice Taboab a
participé i la guerre du RJf (1924-192»
avant de commander, pendant la seconde
guerre mondiale,' le 3* régiment de
tirailleurs marocains, il participe ensuite
à ta guerre d'Indochine, notamment de»
ta secteur de Quang-Trt et, promu colonel
en 1951, n est chargé de l'action psycho-
logique en Algérie, en 19», auprès du
général LorilloL
Promu général de brigade en 1956, Il
est adjoint au gouverneur militaire de
Paris et, en 1958, n est placé en deuxième
section (cadre de réserve). Il est alors
chroniqueur militaire à < Paris-Match > i
et entra, en 1962, à ta rédaction du quo-
tidien parisien « l'Aurore ■, où il signe
des articles sur tas p ro blèmes de défense.)
— Mme veuve Jeanne Baiser,
L'ambassadeur da Rance i Sin-
gapour et Mme Jacques Casseau,
M. et Mme François Goubard.
Le Père Bernard. Gasreau. aaUstan
da Dm» Bosco.
. M. et Mme Robert Magne, -
M. et Mhu Paul Quuu.
M. et Mme Michel Oasseau,
M. et Mme Pascal Tersou.
M. et Mme Jean Gtarault,
M. et Mme Georges Gérerait.
Leurs enfants et petits-enfants,
ont la grands tristesse de faire savoir
que leur père, grand-père: arrière-
grand-père et onota
Georges GASSBAU,
médaillé militaire
croix da guerre 1814-1918.
s’est éteint, dans la paix du Seigneur,
le 6 septembre 1875, dans ta quatre-
vlagt-âcttxlèmo année.
— Mmi Elisabeth CsUlag.
M. et Mme Pierre Caülsg et leur
fille Olatre,
Parents et alliés,
ont la douleur de faire part du
décès de
AL Louis KOVACS,
survenu le 5 septembre 1875 A
l’hôpital américain da NeuilXy.
Les obsèques ont eu Heu dans la
plus, stricte Intimité.
— On nous prie d’annonoer que le
Seigneur a rappelé A Lui la 10 sep-
tembre A l’Age de soixante- trois ans
M. André LHXSPÏTAOC,
tertiaire de l’ordre de Saint-Trançols.
De la part de
— M. et Mme Francis Dardot et
leurs enfanta,
M. et Mme Henri Vivier, taure
enfanta et petàta-enfanta.
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L£ MONDE — 13 septembre 1975 — - Page 13
1 'ô
r ' J’ 1 ' J
- .• ? ; i. Tï
T' _ "o*
.. ' .'*'5'"
' IcV*
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• . *îr-,-
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du TOURISME
et des LOISIRS
LES RIVAGES DE L'INTÉRIEUR
i f assivière
f • • Alpes ou
Limousin : s»s
S lourds el
terme j
f ». économe
t » retombée
tJfiion . poSatS
Sacrée
•‘r tï.iipr'i^J^
tiutour
§/u lac
Pour les autorités politiques et
administratives régionales. Famé-
nagemant du lac a toujours cons-
titué une des opérations d’équi-
pement et d’aménagement du
territoire parmi les plus impor-
tantes. Opération de développe-
ment volontaire, par le biais du
tourisme, comme le taxent les
stations de sports d'hiver dans tes
Alpes ou l'aménagement du litto-
ral dans le Languedoc. En espé-
rant que les Inves tiss e men ts
lourds et peu rentables A court
terme créeraient ■ des courants
économiques induits dont les
retombées profiteraient & une
vaste zone et inciteraient les
populations des villages A rester
Jt3 et A mettre en échec, par leur
seule volonté. la loi de l'exode
rur&L
A Masgrangeas
i
. Jusqu'à ce jom% beaucoup d*ïn-
vestissements ont été engagés.
Tnft.ii n faut reconnaître que les
retombées sont ' pour le moins
« légères ».
« ceinturer » le lac avec des Im-
monbles même petits os des vfl-
laa. n y aura deux pointa forts
autour ‘ de deux villages de va-
ches, qui ont ouvert leurs
pertes le 1* Juillet de cette an-
née. mais ailleurs c’est la nature
vlezge qui monopolisera les rives.
A Masgrangeas, géré par le
Tourtng - Club de France, on dé-
nombre une centaine de rési-
dences familiales. avec chauf-
fage, un camping - caravaning
trois étoiles, une d’accueil
et d’animation. Dans les tons
ocre, brun et texte de Rtenwi», les
maisonnettes sont bien Intégrées
en hameaux denses an cadre
forestier.
Le village de Pierrefltte, géré
pax Vacances nouvelles, est plus
original par la très large place
laissée aux activités « commu-
nautaires ». Les gîtes sont au
nombre de soixante-dix-huit,
dont huit gîtes pluri-famfllaux
en dix lits pour deux familles.
En outre, on prévoit trente em-
HAITTE- ^
î J Stl^isssrff-
"uMOGES
VIENNE
EymmGeiv
Vnbusson
^mmrm&s
T^yTTsEentioiB
i
Les travaux ■ d'infrastructure placements de tentes qui consti-
ayett
a JT JEAN-FRANÇOIS BR$- sentent, pour leur part, un budget
fyl GERAS, secrétaire gêné- de 3>T millions. Mais le gros de la
L*X« rai du comité d’expansion dépense (25 mflllons) est cansti-
u T.frmxicin , raconte cette anec- tué par la construction de deux
iote : « H V ® quelque temps, villages de vacances. de conoep-
jour lui montrer la région oà fl tion architecturale et sociale très
trofetaSt d’installer une usine, différente ; l’un, Masgrangeas,
'ai promené en avion au-dessus en. Creuse et l'autre, Pienefitte,
ta lac de Vasstotère lè P.-D. G. en Haute-Vienne,
rime grande société. Une de ses <*» yfii ngP<t| dans l’esprit de
■éücences te nait a ux^ leurs promoteurs, ne doivent pas
ladres Qifü devrait décentraliser, gtxe « assenés », comme des
iprès avoir survolé le lac, u~rrva , sm les. rivages fragiles du
ertf « Retu™ mois à Limoges, • i^c. q œ s'agit pas Ici de copier
fen ai assez vu. J e suis ■ Vm urbanisiné touristique lourd,
> convaincu. Je signe le contrat ; du. genre de certaines- stations de
<rta 2 ptantattott— » ■■ -i spârta' d’hiver- ou. ■ de la eflte du
H est vrai que le spectacle du' Languedoc. Pas question de
\c de Vassïvttte, dont les 1100 ..
ec tares débordent A la fois sur __
réalisés pour ressentie! par la
syndicat mixte interdépartemen-
tal, présidé par le Dr P. Ferrand,
. (maire .de Royèn), atteignent
4fl,o mnHnmi de flancs, chiffre
dont on peut mesurer fimpact
lorsque Ton sait que le budget de
l 'AffthUeBAmAftii régional du. Li-
mousin en 1975 n'atteint' que
17 millions. Les 14 Mlnmé trea de
réseaux d’assainissement ' repré-
sentent, pour leur part, 'un budget
de JU millions. Mais le gros de la
dépense (25 millions) est consti-
tué par la construction de deux
villages de vacances. de concep-
tion architecturale et sociale très
différente ; l’on, Masgrangeas,
en Creuse et l'autre, Pierrefltte,
en Haute- Vienne.
C es villages, dans l’écrit de
leurs promoteurs, ne doivent pas
être c assenés », comme des
coups, .sur les rivages fragiles du
Lac. H ne s'agit pas ldi de copier
lin urhanismé touristique lourd.
tueront, en cercle, on véritable
village de toile. Congo pax une
architecte Islandaise, le village,
qui a délibérément choisi le bé-
ton accroché au flanc (Time
presqu'île, offre des logements en
terrasses (probablement trop
grandes pax rapport aux autres
pièces habitables), et ü s’est
fermé aux voitures qui restent
sur un vaste parking extérieur.
Par un contrat précis, les deux
gestionnaires se saut' engagés,
pendant dix ans, A rembourser
au syndicat intereommunautalre
50% (tes. annuités des emprunts
qui ont servi A effectuer les
travaux.
L’opération de Vasstvtëre —
1075 a .été l’an I du., .tourisme
« organisées » sur les rives du lac —
aura wrtrafné un effort coûteux
pour les . . Collectivités locales qui.
dans ce recoin de la France . la
plus. pauvre, et en dépit des far-
tes subventions, ont bien du mal
A Joindre les deux bouts. Mais
elles sent ' persuadées que sV-jku
lieu de Jouer d’abord la carte 'du
tourisme social elles avaient pré-
tendu tout de go faire venir
la clientèle riche et dépensière,
c’eût été prétention folle et
échec cinglant.
Clin tPœü à V Allemagne
Maintenant que les équipe-
ments *sa< yr» ttels sont en on
lient proposer des formules de sé-
jours variées mais bien établies.
On peut — c’est ce qu’on va faire
en 19*76 — chercher A sensibiliser rencontre permanente entre les
la clientèle de toutes les réglons de
France et cligner de l’œil vers
l’Allemagne fédérale. Cest par
Vasslvlère qu’on va tenter de faire
s’ouvrir le Limousin au-delà des
marches du Central : le lac
sera le fanion de la région.
Vassfvlère vent aussi Être autre
chose que le lac — et son eau. De
infime qu’en Bretagne le mot
Armer désigne, ensemble, la mer
et la eflte qui la borde, de même
ici il faut que les cantons qui
entourent le lac soient associés A
son essor et pénétrés par les ri-
chesses qu'on espère voir arriver
■sur ses rives. C’est da.w« cet esprit
qu’on parle du « grand Vassi-
vièrê ». Les responsables du vil-
lage de Pierrefltte l’expliquent
bien, avec des Intonations de
sociologues autant que efaména-
geurs, lorsqu’ils disent : « Cam-
i creuse et la Haute- Vienne, au '
led des contreforts du plateau de
U 9 mm n " m ‘'*'" c tarez l’émerveiüe-
,i îent Eaux argentées toujours
m M-risotées par la brise pour la plus
rende Joie des amateurs de te-
stes. Rivages découpés, criques,
ges, promontoires, forêts, de
1 ns noirs glissant sur des ver- .
ta tantôt escarpés, tantôt plus
ix. Des et presqu'îles, recoins
our ceux qui braquent le brochet
- . t larges plans d’eau pour les fana-
.ques de motonautisme. Mate le
rlns remarquable reste la « vir-
■■Vv pVi.'f.V ï-àafti » dû landes et des farSta.
“V ^ ‘ ‘ règlements, d’urbanisme .ont
V-/.,-"' jÿ. .viÿfTi Jusqu’à maintenant être appli-
Lj VV /.Y.V- ^’julyiés avec rigueur, et ce sont les '
jjyaatre cinquièmes des surfaces en
ordure du lac qui sont c zadés »
.'t- 1 - \ par conséquent, interdits au
P*’’- . . éton, A la brique, A la pierre de
C- - ..fe rtile ou aux cabanona mltenx. '
*^üne route de promenade a été
V- ■ instruite autour du lac, H y a
K» « « r • - ** -ois .sas, par les deux départe-
îents, en épousant harmonieuse-
îent tous les zigzags de la côte.
t - . ans doute, ne pourrait^elle être
. '.‘ v îfaite aujourd'hui A cause des
. V{ V',.éclslans gouvernementales, prises,
(Dessin de CADÏER.)
ment faire pour investir ; attirer ln j acte
des usagers, rentabiliser les ■ fn- Avec
Vf stJfseyi eniS-jm du^.moins pro-
voçiier des- mouvements sans créer . .
une « station classique » aoec les ' . - _
coûteux gadgets que céda repré- l Hnnfq
sente? Cè n’est pas facile de
foiré admettre que’ le modèle de vJl^.
la ■ station » rtest pas le seul
possible ni le seul rentable. En FR>
effet, si Vattrait des hauts pin-
féaux limousins réside essentiel- paru :
lement dans le lac, partie inté- moitaue
grante de la nature, libre. U est
évident qui en fabriquant autour tembn).
vacanciers A demeure, les gens
de passage, et les paysans limou-
sins eux-mêmes. Pari évidemment
difficile, car comment s’y pren-
dre pour que le tourisme ne soit
pas, dans les pays pauvres» nn
parasite et pour que les tou-
ristes ne soient pas seulement des
« agente économiques de pas-
sage » ?
H y a quelques mois, la télé-
vision diffusait l' émission « le
Pain noir », tirée de l’oeuvre de
Georges - Emmanuel Clander.
C’était en Limousin. La terre ni
l’industrie ne parvenaient A
nourrir les hommes et les fem-
mes de ce pays, qui émigraient
vers les grandes cités. Mais les
habitants des villes surpeuplées
découvrent aujourd’hui, après les
excès de l’urbanisation, les vertus
vivifiantes d'une campagne
Avec Vasslvlère, peut-être
va-t-on v.oir revenir vers le. pla-
teau de Mfflevaichês les émigrés
dii c Pain noir », soudain sou-
riants, -et, sur leurs traces, ceux
qu’ils n’auront pss eu de mal A
convaincre.
FRANÇOIS GROSR1CHARD.
Duu cette xnAme série, ont . déjà
pore : « Le Léman, une langueur
mortelle » (« le Mande du tourisme »
du 30 août) et « Serre- Ponçon & la
recherche du plein emploi » (s sep-
tembre).
Du delta du Nil aux colosses d‘ Abou-Simbel
fi VA -♦'V^aaiTlère d’asphalte ou une « gan- .
pavillonnaire- » lie long de la -
IjKk^ÛaâpPbute entre l’arrlère-pays et
écrin du lac.
- Les risques « d’endommager . »
^assivlôre en .voulant trop sl'axné-
iager » étaient pourtant nom-
^»mnc et tentants depuis ce Jour
le 1952 où KD-F. décida de créer
P m barrage sur la Maulde. af-
luent de la Vienne, A 650 mètres
'£Éi$*$fr r l’altitude. D'autant que le lac de
rasai vi ère a toujours été, pour
s habitante du Limousin, un
^^ggÉeu commode — et très recherché
de Icéslis. de week-end et de
vacances ; les rentrées '
,-Mpur Limoges le dimanche soir en
:^®®^HFémoigûcnt_.
TROIS
MILLE
ANS
DE
PELAGES
E NTRE Alexandrie, la capi-
tale de Cléopâtre, où le
Phares de Ptolémée Sôter
brûlait sur le bras occidental du
dette. 11 y a déjà deux mille
ans, et- Port-Saïd, créée il y a
un peu plus d'un siècle, lois du
percement du canal de Suez, le
NU s'épanouit comme un. lotus,
la Heur qui Inspira les bâtisseurs
de temples de la basse Egypte A d'avoir aussi l’amour de ITils-
en Juger par les chapiteaux de tolre et un certain esprit de tolê-
leors coktîneÆ Et le fleuve, sous rance pour la chaleur qui, en été,
la poussée de son flux qui char- . peut attendre les 50 degrés A
rte- des milliards de tonnes d’eaux l’ombre.
apporte 101x1 dftns _ la H faut également s'armer do
Méditerranée les terres, les sables patience, car, dès l’arrivée A
et. les déchets organiques arrachés Calro-Alzport, de longues fonna-
au cœur du continent africai n , jjtés de décla rations de devises et
-A 6500 kil o mè tres. de son embou- contrôle, rappelleront que nous
ebure. sommes ici au carrefour du
33 y a »iftng cette 'aventure monde méditer ranéen, de l’Asie et
nïiiate de quoi exciter le voya- l'Afrique. Et puisque les pyra-
geur. C’est l'exemple unique' an mides et le Spbynx sont à por-
m ohriw (Tune « avenue » aqna- tè®. tie la ma i n , sur le plateau
tique large parfois de deux kilo- rocaOleux de Chnaeh, pourquoi
mètres, bordée d’oasis, que Ton 110 P*® profiter de l’escale caî-
peut remonter de la mer Jus- '• rote .P«m les visiter et assister,
qu'aux lacs de r Afrique arien- Après le coucher du soleil, A
taie. Soyons moins ambitieux, fad m lraMe spectacle * son et
oublions- pour l’instant l’Albert lumière », qui évoque si bien
NUe et le Victoria' Nlle . qui tre- l’époque des bAtiBseors de l’em-
versent le nord de l’Ouganda, Pb® égyptien ?
avant de former le Nil blanc;
ignorons aussi le Nil bleu Jaillis- T ,
saut du . fantastique château „ -L*e djebe
dû eau éthiop ien pour rejoindre au • .
galop son frère Jumeau A Khar- A pins de 700 kilomètres du
toum. 1 Et TwnfHiK-wwp is à remtm- Caire, . voici Louxor et Btemak.
ter jusqu’aux première et deuxjè- Dans ce site gr andios e coupé en
me où ie génie de üeax par te vallée fertile du NE
l’homme a dressé un barrag e qui * ^'art de Vartihitecture, a. dit
a formé ta roche et le sable. ChampoHion, n’a Jamais été auss i
entre les déserts de Libye et de sublime, aussi large, aussi gran-
Nuble, un lac artificiel quatre dtose— » A une heure de vol de
fois plus, grand que le lac T-^mnn te cap ita le, moderne, le voyageur
découvre 1a Thëbes antique, c&pi-
Ponr se lancer aujourd’hui dans taie de la haute Egypte. L'histoire
Mais les pyramides sont an
Caire ce que l’Arc de triomphe
est A Parte. Tout Juste un a amu-
se-gueule » pour touristes « bla-
sés ». Car, dès le Moyen Age, les
Européens et les Arabes ont suc-
cédé aux pinards de nécropoles
et les croisés c omm e les égyptolo-
gues de Bonaparte et ceux de la
reine Victoria ont déposé au Lou-
vre, au Brttish Muséum et an Mu-
sée des antiquités de Turin (le
premier . musée d’égyptologle du
monde), leurs plus fabuleux tré-
sors. Heureusement ü en est
beaucoup resté on Egypte et si ta
chasse aux antiquités se poursuit
de nos jours, elle est sévèrement
contrôlée par le gouvernement
égyptien qui estime A 20 % seule-
ment la totalité des richesses
archéologiques ' découvertes A ce
Jour.
Le djebel pétrifié
A plus de 700 kilomètres du
Caire, voici Louxor et Kamak .
Dans ce grandiose coupé en
Le tombeau de Toutankhamon,
l’enfant-rol mort à seize ans, qui
doit toute sa renommée A ta dè-
l’homme a dressé un hurrag p qui * Part de Vardhitecture, a. dit
a formé ta roche et le sable, Champollion, n’a jamais été auss i
entra les déserte de Libye et de sublime, aussi large, aussi gran-
jSTuDie. un lac artificiel quatre dtase— * A une heure de vol de
fois plus, grand, que le lac T-^mnn te cap ita le, moderne, le voyageur
découvre la Thëbes antique, c&pi-
Ponr se lan cer a ujourd'hui dans taie de la haute Egypte L'histoire
l’aventure, U suffit de disposer de est gravée sur un calvaire A peine
deux par 'la vallée 'fertile du NE couverte d’un sarcophage inégala-
deux A trois semaines de loisirs
et cTun viatique d’environ 3 000. P,
76490 VILLEQUIER, en NORMANDIE, par A 13, sortie Bourg-Aehard ’
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Tel. : (35) 96-91-1 1 et le 29 à SAINT-ARNOULT m
altéré grâce A la sied té de l'at-
mosphère qui a laissé aux cou-
leurs pariétales toute leur fraî-
cheur originale. Les hiéroglyphes
nous signalent une éclipse de lune,
phénomène qui. il y a plus de
trente siéclffs, a provoqué une pro-
fonde émotion dans le pays. Des
dynasties de Ramsès et de Ptolé-
mée ont lait écrire leurs gestes
sur les bas- reliefs. Dn feu d'arti-
fice de colonnes papyrif ormes Qe
papyrus était le symbole de la
haute Egypte) conduit A une salle
hypostyle, découvrant eUe-mfime
le temple d’Amcn.
ble et du trésor qui raccompa-
gnait, est tout près, dans ta Vallée
des Rois. Il faisait, ce matin-là,
A huit heures, 44“ C A l’ombre. Un
lieu à visiter très tôt, sons peine
de suffoquer dans une atmosphère
de fournaise- Cette gorge tran-
chée a vif dans le djebel pétrifié,
c’est l’équivalent de ta Vallée de
1a Mort aux Etats-Unis. Car, sitôt
quittée la frange limoneuse qui
borde le fleuve, pas le moindre
brin d’herbe, ni te plus petite
trace d’épineux. Seules les * sand-
fUes » (mouches des sables) rap-
pellent par tenir harcèlement que
la vie y subsiste- Encore ’es
sandflles ne peuvent - elles vi-
vre que parce que l’homme s’est
accroché à cette terre du déses-
poir. que les pharaons avaient
voulu réserver A leurs seules sé-
pultures.
LÉO PALÀCIO.
(Lire là suite page 14J
DEBAT
LES CALANQUES
EN SURSIS
du lac une station avec ses
immeubles, sa circulation intense
et ses flonflons, on tuerait ce qui
fait Vattrait du site, sam créer ce
qui fait V attrait d’une station :
Vasstvière ns peut, par bonheur,
à notre avis, devenir ni une capi-
tale du ski, ni une capitale du
bronzage, ni une capitale de la
roulette, ni surtout, ce qui est à
la mode, les trois à la fois. »
Au contraire, on cherchera A
faire de Vasslvlère un lieu de
P AR décret en date du
29 août 197 5, pan# eu
Journal officiel du 4 sep-
tembre. est classé, parmi les
sites pittoresques du départe-
ment des Bouches-du-Rhône,
r ensemble formé sur les commu-
nes de UsrseMle et de Cassis
per te messit des Calanques, far
que ce/ ensemble figure sur le
plan au T/20000 annexé eu pré-
sent décret.
Ce texte marque certainement
une étape Importante dans la
lutte opiniâtre menée depuis des
décennies par des associations
auxquelles U convient do rendre
un juste hommage, et, depuis
quatre ans, par les municipalités
de Marseille et de Cassis pour
maintenir intact le magnltique
monument naturel que corurifue
le massif des Calanques. Mais
ce serait une grave erreur que
de croire la bataille en vue do
sauvegarder les calanques défi-
nitivement gagnée.
Pour aller plus loin et plus
vite. U est Indispensable de met-
tre un terme & le méconnaissance
dans les faits des Intentions
solennellement proclamées, et eu
refus de dégager les moyens
financiers nécessaires.
Depuis de nombreuses années,
une campagne s’efforcait de faire
prendre conscience & roplnlon
de la beauté mervei/ieuse du
massif des Calanques, chanté
par Rimbaud ef par Mistral, et
de le nécessité d’en maintenir
l'Intégrité. Dans la réalité, les
atteintes eu massif des Calan-
' ques ont été nombreuses, et si
les dégâts n'ont pas été plus
considérables, ce/a est dû & la
nature môme du massif, au relief
tourmenté c&Ianco ne slgnllle-
t-H pas en provençal escarpé) 'et
(f accès difficile ainsi qu'à r ac-
tion Inlassable d’individus, de
groupes ai d’associations réu-
nie autounThuI essentiellement
au sain du Comité de défense
des sites naturels (COS INA). Ces
atteintes réelles ou potentielles
avaient trois origines :
— La volonté d'exploiter ses
ressources naturelles. Ainsi la
carrière de Port-Mlou ouverte
en 1913 a saccagé le paysage
de la plus profonde des calan-
ques, qui s’étend sur 1 kilomètre
carré. En Vau, la plus presti-
gieuse des calanques a failli,
dix ans plus tard, être i son
tour transformée an carrière.
— Le désir d’ouvrir le massif
& une pmmotlon touristique dé-
vastatrice. Régulièrement divers
projets ressortent ; construction
d'un complexe scientifique et
attractif, réalisation, sous les
auspices de la chambre de
commerce, (f un téléphérique
aboutissant ou sommet de Mar-
seülo-Veyre, installation à Calle-
kmgue d’un téléscaphe dont II
reste les vestiges, réalisation
d’une route des calanques ou
d'une autoroute de dégagement
sud-est de Marseille , etc.
— Le s conséquences de rur-
banisation de Marseille : sous le
couvert de le législation sur les
ZAC, le massif a été grignoté.
II est Important que la décret
portant classement des calanques
mette déflnlHvement un terme i
ces atteintes.
Depuis deux décennies, les
imJîces soulignant nntérét des
pouvoirs publics pour ta sauve-
garde du littoral méditerranéen
dont pas manqué ; cet Intérêt ao
manifeste notamment dans la ré-
daction d'Innombrab/aa rapports
ou schémas d’aménagement et
la création constante de nou-
veaux organismes :
Mois les protections juridiques
‘ ou administratives ne suffisent
pas, car elles dépendent trop de
Pair du moment, aujourd'hui tavo- >
table à r environnement, et qui
peut rétro moins demain. Des
moyens financiers Importants
doivent être dégagés par rEfat
afin que la collectivité s'assura
immédiatement et définitivement
de la maîtrise foncière de la
totalité du massif.
Il est regrettable, d’un autre
côté, que les pouvoirs publics
n’aient pas cru devoir retenir la
formule du parc national ou ré-
gional dsmàndêe par les muni-
cipalités da Marseille et de Cas-
sis-
Les défenseurs des Calanques
ne doivent pas encore se démo-
biliser. Bien au contraire, l'es-
sentiel reste A faire.
GILBERT RASTOIN.
Hoirs de Cassis. .
t
r
j _
1
4
Page 14 — LE MONDE — 13 septembre 1975 *
LE MONDE
Tourisme
TROIS MILLE ANS DE PILLAGES
(Suite de la page 13.)
Oui ! Des hommes peuvent
vivre entre la roche ardente et le
ciel d'un bleu de lessive. Terrés
dans de misérables masures en
pisé, de même couleur que la
montagne, dont Us ne sortent le
Jour qu'à l'approche d*un car de
touristes pour tenter de vendre
de fausses antiquités, et la nuit
pour fouiller quelques centaines
de tombeaux encore Inexplorés
par les missions officielles, pour
éloigner les Barbarlns des ruines
et des richesses qu'elles peuvent
abriter, le gouvernement a fait
construire une cité moderne avec
une adduction d’eau potable, tout
près du NIL Mais, depuis trois
mille ans. les ancêtres de ces tro-
glodytes vivent des richesses des
momies royales ou prlncières,
celles que le mort doit avoir à ses
côtés pour permettre à son ftme
de retrouver, dans l’au-delà, ses
avion Jusqu'au barrage d’Abou-
S Imbel (une demi-heure de vol),
au-dessus du lac artificiel qui
s’est formé entre les deux pre-
mières cataractes et se poursuit
au-delà de la frontière souda-
naise.
Abu - Slmbel - Airport n’est
qu'une baraque de fibre-ciment
où l’on vend du Jus de mangue
sirupeux et des bustes de Néfer-
titi en albâtre, et où un car vous
attend pour le transfert au bar-
rage. « Surtout pas de photos en
cours de route », prévient le guide.
En fait, l’aéroport est une base
militaire, et quelques batteries de
D.CA rappellent au voyageur
qu’il est au Proche-Orient; mais
les soldats, bons enfants et dé-
braillés, mitraillette sur le ventre,
saluent les touristes d’un geste de
bienvenue.
Ramsès IX dont les mânes nous
avaient accueilli à Louxor, est
encore présent à Abou-Simbel.
bijoux, sa vaisselle, ses plus beaux
atours, le tout bien ordonnancé
autour de sarcophages, plaqués
d’or et rehaussés de pierres pré-
cieuses. Comment s'éloigner de
pareilles splendeurs et permettre
à des étrangers de s’en emparer ?
Alors les Barbarlns sont restés
sur la terre des morts et vont
puiser leur eau potable à des ki-
lomètres de là.
Si pendant longtemps (et mal-
gré la traduction de la pierre de
Rosette découverte par l'officier
d'artillerie Bouchard et traduite
par Champolllon) beaucoup de
pages de l’histoire égyptienne
nous ont échappé, c’est parce que
de précieux papyrus avalent été
enlevés des tombeaux et cédés &
des marchands vénitiens et lom-
bards qui les revendaient pour
les brûler comme de l’encens. Mais
à Deir-el-Medinah, les autoch-
tones savent que leur pays garde
encore dans ses entrailles 80 %
des trésors pharaoniques ou pto-
ilémaîques. Les missions étran-
gères doivent surveiller leurs tra-
vaux, car les ouvriers de la région
sont habiles à camoufler certaines
de leurs découvertes.
De Louxor & Assonan, sur deux
cents kilomètres de fleuve, navi-
gant au milieu de graciles felou-
ques, deux hôtels flottants de la
chaîne Internationale HTltnn.
1* cc Isls » et T « Osirls » permet-
tent de réaliser une croisière de
détente, allant d’une rive à l’au-
tre. au gré des biefs et des éclu-
ses en dérangeant à peine les
buffles pataugeant dans la vase
tiède. Durant quatre jours et cinq
nuits, ces bateaux, du style
« aviso colonial » — mais de cons-
truction récente — offrent à une
soixantaine de passagers de vastes
et confortables cabines climatisées
avec salle d’eau, une excellente
et originale cuisine, une piscine
et des soirées animées Et. à cha-
que escale, des calèches pour des
visites accompagnées aux temples
d'Edfou dédié à Horus, le dieu-
faucon ; de Kom-Ombo. dédié à
Sebek, le dieu -crocodile ; de Phi-
lae. dédié à IsLs, aujourd'hui me-
nacé par les eaux du bassin de
retenue entre le barrage Assouan
et celui de Sad-el-AIL
A partir de là, sur option spé-
ciale, on peut se faire mener par
Mais ici ses dimensions sont
gigantesques. En ce point le plus
absolu d’un désert, qui couvre les
87 % du territoire de ta R.A.U.,
des colosses taillés dans le granit
rose, déjà menacés par les eaux
du barrage, ont été sauvés grâce
à la campagne menée à l’échelon
mondial par rUNESCO.
Ramsès se présente comme un
géant de pierre hiératique dont
le visage Impassible attend cha-
que matin les premiers rayons du
soleil levant. Et, sous cette lati-
tude, le soleil est toujours au
rendez-vous. Le pharaon porte la
barbe postiche tronquée, le
pschent royal, et trône, entouré de
toute sa famille. L'ensemble re-
présente une masse compacte de
33 mètres de hauteur et de 38 mè-
tres de largeur. La façade du Naos
s’ouvre sur le grand temple pro-
fond de 63 mètres. Le dieu Ré, à
tête d’épervler. veille sur la
famille pharaonique. Plus loin,
face à un maigre bouquet d’aca-
cias & gomme, a été reconstitué
le petit temple d'Athor.
Sur le djebel, la forteresse arabe
d’Addèh semble monter la
garde à la frontière entre l’Egypte
et le Soudan. Il y a des siècles,
par cette même trouée, les pha-
raons faisaient venir les bols
précieux, les gemmes et l’ivoire.
Mais par là aussi, à plusieurs
reprises, les envahisseurs de-
vaient menacer la Haute-Egypte,
surtout à l'heure de la déca-
dence. Combien de trésors ont dû
reprendre cette route, au travers
des marches tutélaires déjà
ébranlées vers le Koush. la loin-
taine Ethiopie, le pays légendaire
du Fount (le sud de la péninsule
arabique ou la côte des Soma-
lis ?) d’oû les Pharaons rece-
vaient leur or.
C’est avec émotion que le tou-
riste découvrira à Dar-El-Bahrl
une inoubliable série de reliefs et
d’inscriptions hiéroglyphiques re-
traçant l’expédition ordonnée par
la reine Hatcfcepsout vers 1495
avant J.-C- où l’on volt le prince
de Fount offrant aux légats égyp-
tiens des épices, des babouins et
des peaux de léopard.
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DEUX RETOURS
C ’EST Jacques Hèbertot qui
m’a fait connaître Cagna.
Ce jeune cuisinier venait de
prendre la gérance d’un minus-
cule restaurant de la rue des
Dames, il l’avait appelé la Fi-
celle. soit qu’il fût normand lui-
même, soit en hommage au Nor-
mand animateur de théâtre. (La
ficelle, on le sait, est une crêpe
garnie d’un appareil crémé, que
la Normandie partage avec la Pi-
cardie.)
A la Ficelle. Cagna gagna
une étoile au Michelin et s'af-
firma comme un créateur durant
onze années. N 7 était-ce pas suffi-
sant pour entendre voler de ses
propres ailes ? Il vient de s’ins-
taller 14 . rue des Grands- Augus-
tins. Ce fat un restaurant renom-
mé en s notre avant-guerre » que
la Reine Christine 1 7 œuvrait au
fourneau une cuisinière dont les
plats mijotes faisaient la joie de
Daudet. Il y a quelques années,
un ancien de chez Flo avait repris
la maison et, s'avisant qunénrl
Heine avait vécu (où était mort,
je ne sais plus) en face, l'avait
transformée en brasserie vague-
ment munichoise sous le nom de
la LoreleL Voici cette vieille
maison (qui a fait partie du col-
lège des Charités-Salnt-Denls et
dont les façades sont classées)
devenue Chez Jacques Cagna et
ayant trouvé dès son ouverture
l'étoile méritée ailleurs. (Par pa-
renthèse. soulignons l’Innocence de
son successeur de la rue des
Dames, qui croyait avoir acheté
l'étoile avec la barque. Innocence
peut-être malicieuse ! »
Donc, vous irez chez Cagna, dont
le menu, court mais riche, pro-
pose la ficelle normande (bien
évidemment 1 15 F), un foie gras
de canard z maison a (35 P), une
fricassée de petits gris aux croû-
tons (18 FJ. une salade de pam-
plemousse (10 F), une terrine
d’anguille aux pétoncles avec
beurre blanc et ciboulette (30 FJ,
un turbotin fard (3S F), le homard
breton au beurre blanc, le confit
de canard aux pommes sarla-
dalses truffées (35 F), et il est
bon que Cagna le précise, les véri-
tables ne l’étant point,
on le sait, un coquelet aux mo-
rilles à la crème (32 FJ, un gre-
nadin de veau au gingembre
(35 F), de délicieuses noisettes
d'agneau à l'estragon (35 F), des
grillades et des plats du jour, des
desserts heureux dont les profi-
teroles au chocolat garnies de la
glace de votre choix (10 F), lHe
flottante, des sorbets «maison»
(14 F), etc. La maison est fermée
le «uwwii wi^H et le dimanche.
Elle sera vite connue du Tout-
Paris gourmand.
Voilà donc le Manoir Topsy de
ma Jeunesse devenu Chez Bau-
TRonn. Je l’avais annoncé le
tout premier il y à quelques mois
lors d’un article sur le Napo-
léon de l’avenue de Friedland,
animé lui aussi par ce chef qui
travaille tout à la fois, Alsace
oblige, dans la choucroute et.
Océan propose, dans le poisson.
J’aurai l'occasion d’y revenir
mais, déjà, je puis assurer que
l’on parlera de Baumann r de son
décor, de son étonnant bar où l’on
peut, des déjeuners aux soupers,
se régaler de salades (cervelas,
gruyère, cùlmariezme. strasbour-
geoise, de poissons, etc.), d’en-
trées chaudes, d’un plat unique
(la choucroute paysanne, est à
20 F), en buvant d’incomparables
Alsace et Océan
Les tribulations de cette en-
seigne gastronomique me font
péter que J'ai souvent eu envie de
réaliser une sorte de « géographie
gourmande de Paris ». Et, tenez,
en voici un autre petit chapitre.
En 1929, avenue des Ternes, le
Manoir Topsy (auberge de style
anglais dont le propriétaire était
alors M. Delsangles) avait pour
spécialité le poulet Topsy (12 F),
le cassoulet (8 F) et une tarte à
la crème (5 F). Après la guerre,
le Manoir Topsy fut un temps
repris par M. Carie (qui avait
vendu son Cheval pie de l’avenue
Franklin - Roosevelt à Marcel
Trompier pour en faire son Anne
de Beaujeu). Puis, vendu une
nouvelle fols, cela devint la Cuil-
lère en Vois, puis la Saladière
(restaurant végétarien «fana le
vent). Las 1 le vent frtvolant
était on vent mauvais, la Sala-
dière s'effondra pour devenir le
Relais Porcher qui ne dora guère
{dus. Enfin, un barman du Crazy
Borse y installa le Kiosque qui.
comme beaucoup de médiocres
restaurants, n’eut pas d'histoire
et peu de clients.
bières, du restaurant du premier
étage (avec un salon d’affaires
charmant pour une dizaine de
convives). Il n’y a pas moins de
neuf choucroutes (vendues aussi
à emporter), mais toujours le
légume est ce qull doit être, léger,
craquant, sans graisse (grâce &
un < truc » de cuisson dont Guy
B&umann peut être fier), mais
aussi de nombreux plats et des-
serts. Mme Bacxnazm, pîwrehie et
attentive, veille sur l’heureuse
destinée de cette nouvelle maison.
LA REYNPÈRE.
★ Chez Jacques Cagna, 14, me
des G ronds -Augustin*, 75ÛA6 Paris,
téi. 326-49-39.
★ chez BaTunann, 64, avenue des
Ternes, 75017 Paris, téL 380-16-66.
i fcV ' . '
; r.",:.
en-
± (
La bouteille du mois
PARFAITEMENT ÉCLECTIQUE.
V;
On ne parle guère de cet
, excédent mais particulier restau-
rant qu’est « Raftatin et Hono-
rine » (16, boulevard Saint-Ger-
main; téL : 033-23-21). H fait
le plein, cependant, de ses fidè-
les. Ceux-ci savent choisir entre
les tentations de la carte, soit
la farandole a bénauzme » des
bots-d 'couvre (y compris le foie
gras), suivie des fromageons de
chèvre et de la guirlande des
desserts, soit une entrée, un plat
«orvanàllau solide et les mêmes
desserts, si séduisants et 'quel-
quefois Inattendus. Bref, c’est là
que J’ai découvert ce pinot noir
de Benilly.
C’est à l’ouest de Qolney, sur
les rives de l’Amon, que le petit
vignoble de Reollly donne des
blancs Issus du cépage sauvl-
gnon, comparables peut-être à
ceux qu’un personnage de Balzac
faisait naître à Isscmdun. Mal»
il y a aussi du pinot gris, ves-
tige d'autrefois, et du pinot noir.
Co dernier est, on • le sait, un
très grands cépages rouges et
qui a lait la renommée des vins
de Bourgogne— et de Cham-
pagne !
Le pinot noir de SeuïUy (ap-
pellation contrôlée) donne (du
moins celai bu chez < BafbUn
et Honorine s, qui vient de chez
M. René M&lbète, propriétaire-
récoltant à Nenilly, Indre) un
vin solide, mais léger, an goût
fruité et bien plus que « bon
ordinaire agréable ». comme a
écrit un œnologue distingué.
Sur le foie gras, les grenouilles
bordelaises, le rromage et les
fraises des bols du dessert, dé-
montrant un parfait éclec-
tisme. le vin de 9C. Malbête
(millésimé 1974. U faut le boire
Jeune 1) s'est révélé parlait. Et
si, comme on peut le penser,
1975 se confirme une année heu-
re use, ce sera peut-être bientôt
l'occasion d’une agréable bou-
teille du printemps prochain que
ce Renüly_
En attendant, allez goûter son
frère aîné rtiw « Kaffatln et
Honorine s. — L.-IL
r -4- -
M
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• Cent seize étoiles / M. OIVo •' •
Veraau, président des Relais ctejf . .Vf
campagne, châteaux, hôtels,™ • ■-
passe ses vacances à La Baule
« dans l’appartement 6 A d’un buil-
ding » comme il .l’annonce à ses fl
ouailles dans une longue lettre
Intitulée Devoirs de vacances.
Ainsi fait-il le bilan de l'an I
de la fusion que Pon sait M. Oll-
vereau a. depuis octobre dernier,
effectué 90.000 kilomètres, dont
40.000 en auto, autant en avion et
10 000 en train.
M. Olive reau semble satisfait
que. pour la France métropoli-
taine, ses cent clriquante-slx mem-
bres totalisent 116 étoiles au Mi-
chelin (il ne dit pas combien de
couronnes au Kléber, ce serait
pourtant intéressant Q. Mais fl an-
nonce cinq ou six nouveaux élus
pour l’an prochain et quelques
éliminations.
Détail comique. Paul Bocuse
revient dans les Relais gour-
mands au titre étranger pour le
restaurant Rengaya-Paul Bocuse
de Tokyo. Que va-t-on dire à Tra-
dition et Qualité ? .
• 30 % cf augmentation sur les
clalros, . 40 % sur les bêlons,
dont on n’est pas sûr qui/ y
en^ aura pour toute la saison :
voilà ce qu’on annonce aux ama-
teurs d’huîtres. Et l’annonce de
recherches bretonnes pour fa
création de « creuses blanches »,
c'est-à-dire de bâtardes de portu-
ises et d'huîtres plates, n’est
pas pour les consoler. En atten-
dant la réouverture du Chalut
(94. bd des Batignoïles, téL 387-
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C4-.
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Le marchand de sable sur les hauteurs r
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cille du
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ES chambres d’enfants, par
nnp distribu tion saugrenue
de l’espace, sont souvent les
«es les plus petites de rappax-
, -j virent Sot mie surface res-
"'• i rv’inte de 10 à 12 mètres carrés, '
r^-afant doit pouvoir dormir,
pjier, se détendre et travailler,
.tmeublemênt d’une telle pièce
; donc être conçu pour libérer
-V maximum de place au soL
"''•Ciles Uts superposés constituent
L, solution classique pour coucher
J( vix enfants dans la même
. **• l ambre. Deux points i mportants
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convient même à des adultes :
ce type de couchage peut &tn»
utile dans -une maison de
vacances.
Le bots naturel, en diverses
essences, s’adapte à tous les
décors. En pin, les montants de
-pied des lits forment échelons
pour grimper au deuxième Ut
( Habitat, , 970 F avec sommiers en
lattes fixes) (1). En bols africain
verni, des Ute superposés avec
échelle amovible sont vendus en
« kit s, à monter soi-même ; une
notice explicative est jointe &
renvoi te Frédéric », Gautier,
MO F sans sommfieis). In. fabri-
cant propose . un nouveau som-
mier ii cadre métaULqoe et lattés
courbes, avec un' encadrement de
bourrelets évitant- le glissement
du wwdadAa UBSAOTLEn châtai-
gnier massif, les panneaux de tète
et de pied des lits sont en lattes
horizontales, avec échelle fi*«> au
pied tRoche-Bobois. 1 622 F avec.
« sommiers » faits de planches
en aggloméré). Sous le lit Infé-
rieur peuvent se gifeyr soit un
grand coffre soit deux tiroirs
(747 F et 950 F). Armoire et
-commode de même style complè-
tent la chambre.
Bonne imitation de «a» pfrt, gu
plastique P.V.C* pour deux lits
superposés avec dosserets marron
et ‘échelle fixe (Catalogue de
La Redoute, 795 F}. Deux- tiroirs
peuvent prendre place sous le lit
du bas. En gros tube laqué jaune,
de sty le plus décontracté, les dos-
serets sont de forme arrondie ;
l’échel le amovible se fixe sur le
bord du lit su pé r ieur et f carme
barre de protection (Habitat,
690 F).
-•a»..
UN BON POINT
FAMILIAL
M
î^.
* ’o
1 Il y a du nouveau nto de
M.^'-rt/ohrafs/té. Le magasin Point
• v,.,:/ où le designer Ben Swlldena
exposait ses meubles et lumf-
■ ' 'va ^nalres et le boutique de vôte-
'mente pour enfanta Bonbon qui
^ taisait face (tenue par sa
: , r ,. ‘ :: * c t bello*œur) ont fuahnni pour
■ .ir ,.'. devenir Bonpoint. ■ Sur deux
-'-.niveaux, c'est un vaste magasin
, < entièrement nouveau et consacré
’7 aux entants.
r ". - Au rez-de-chaussée, on y dé-
\ . \[ ’* , couvre les meubles figuratif»
.. * créés per Ben Swlidens, dont
7 une « maison » de rangement
. i- • qui passionnera les petits. En
^ bots laqué de dessins de cou-
... leurs vives et tendres, c'est une
■ "• superposition, sar 2. mètres de
-, " Peut, de cases et de niches.
Une fenêtre s’ouvre et on dé-
— s^, couvre une plie de puits bien
rangés : derrière la porte de
la maison c’est la penderie.
Pour Hnstant c’est très cher
' mais tü ridée plaît aux parents
- (Ma plaira sûrement aux en-
■» ‘tenta) une fabrication an petite .
■ série abaissera la prix.
Des petits'' sièges d’angle
, (80 F) peuvent ! 'aütud barrir -dv
support-lit à pflssar aux quatre
coins d’un matelea posé sur une
planche. Dés couettes peuvent
être commandées dans des tis-
sus exclusifs et aux dimensions
' ' désirées: une bonne Idée pour
des Dis superposés, pas faciles
A faire chaque matin. '
. COté habillement, le critère
. recherché est la quotité (du tissu
■ et de la coupe) pour un prix
.. raisonnable. De le Naissance A
' dix ana.=r. plus un rayon pour
.. adolescents ' et des soue-vête-
_ ments aux manteaux, le choix
est grand. A signaler une colleo
1 tien de robes, collants et chaus-
. sures assortis pou r tes futures
. mamans. — J. A.
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ble de 80 cm de haut en agglo-
méré laqué blanc. Celui-ci com-
prend des . rangements fermés
par deux portes et un élément à
quatre tiroirs, 'encadrant iwi*
tahlette-écxitolre de 70 cm, avec
Ut surélevé également, maie
en chêne wu«if teinté rouge au
vert, sur un élément-coffre de
rangement fermé par Hwi» portes
coulissantes (Roche-Bàbois,
1860 F). _ La tête du lit peut s'ap-
puyer contre un panneau mural
comportant trois étagères (532 F).
Une table -bureau, de 130 cm x
68 cm, se fixe par une équerre
deux niches & livres dessous . sur le bandeau de façade du lit et
(1290 F. avec matelas, création
Trois-Suüses, catalogue automne-
hiver}.
(1). Sauf indication,
11 ta n Inclut "paa celui
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Installer ou centre de la pièce, ou
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en bois laqué bleu pétrole
(« Compact Floride », Gautier,
1 600 F, sans s ommi er). Renouve-
lant le « cosy » des années 30. le
Ut est bordé d’un caisson formant
écritoire, suivi de rangements à
abattant, tiroirs et niches avec
étagères.
JA NY AUJAME.
SUS AUX RENARDS /
A
*— v COLOQISTES et amie de
w* la nature sont Inquiéta : les
■*— ' petits carnivores de la
laune française, qui constituent
un maillon Indispensable dans
t’équilibra biologique, sont mas-
sacrés de toute part.
C’est IA une situation d’autant
plus Invraisemblable que les ra-
paces, qui occupée/ une posi-
tion écologique comparable, sont
légalement protégés.
Le principal prétexte de cette
hécatombe, c’est le rage, qui, on
le sait, continue A progresser
vers Pouest : les renards en
étant les principaux vecteurs,
les autorités leur livrent une
guerre sans merci.
Après le déterrage, la strych-
nine, te gszege A le chloropl-
crlne, c'est maintenant le terrible
acide cyanhydrique qui est em-
ployé sur le Iront de le rage.
M. André Jarrot te lui-même pré-
conisé dans une circulaire adres-
sée aux préfets en mars der-
nier . _
Le but dû massacre dés re-
nards est de faire tomber leur
densité A un au/et pour 250 hec-
tares : au-dessous de ce chiffre ^
la rage s’éteindrait. Or cette
thèse m repose sur rien de sé-
rieux, et la rage a même réap-
paru dans des zones où ce seuil
avait été atteint. De toute évi-
dence, la vaccination des ani-
maux domestiques, chiens sur-
tout, constitua la melilauro pa-
rade contre la rage.
Las renards tués ns sont paa
perdus pour tout le monde. Les
gardas, après avoir touché la
prime de 30 F par spécimen tué,
revendent (es peaux aux four-
reunt_ Il sutift de regarder les
vitrines des boutiques de tour-
rures pour constater r apparition
massive des peaux de renards-.
Ce n’est paa tout : le lutte
contre ceux-ci éclabousse nos
autres carnivores sauvages, déjà
Intensivement détruits sous pré-
texta qu’ils sont « nuisibles ».
En effet, pour ne pas rentrer bre-
douilles le Jour de rouverture .
les chasseurs lèchent de plus
en plus de gibier d’élevage :
faisans, perdrix, lièvres, etc. Sur
le plan écologique, c’est déjà
une faute, faute qui se double
d’un crime : le massacre des
belettes, fouines , martres, blai-
reaux. etc., qui risqueraient de
menacer ce gibier artificiel.
Même les chais I
Des chiffras ? En une année,
la fédération départementale des
chasseurs de la Sartha a fait
tuer 1 830. renards, 1 877 belettes.
7 382 fouines, 481 putois.- De
ce fait, certaines espèces sont
en vole de disparition.
Et, là encore, les fourreurs
sont le a grands bénéficiaires. Ils
vont, par exempta,, s'approvi-
sionner A la scandaleuse Foira
A la aauvaglna, qui as tient cha-
que année, an février, A Chalon-
sar-SaOna : des monceaux de
fourniras y sont exposés, et jus-
qu'à des peaux de chats domes-
tiquas I
Outra qu'elles risquant de
transformer peu A peu nos cam-
pagnes en désert, ces destruc-
tions sont d'une grande cruauté.
Des » diterreurs » se livrent
toujours A leurs concours : c’est
A qui tuera le plus de renards
ou de blaireaux en une Journée
Le piégeage est tout aussi
révoltant- SI c’est une femelle
qui est prise, elle se ronge le
patte pour s’échapper et retrou-
ver ses petits : ce comporte-
ment consterne les fourreurs...
parce que le fourrure est moins
betie.
Face A ce génocide, las dé-
fenseurs de le nature réagis-
sent Une Association des omis
des renards et autres puants
(ARAP) vient de se créer (1).
Son présidant est le docteur
vétérinaire Christian Bouperof.
Elle entend agir par tous les
moyens pour la réhabilitation
et la protection de ces ani-
maux. La batailla sera rude,
mais II est plus que temps
qu'elle s'engage.
JEAN-JACQUES BARL0Y.
(1) 138, boulevard Murat, 75016
Paris.
J
• Les oiseaux d’Ouganda. —
La Ligue française pour la pro-
tection des oiseaux organise, du
2 au 13 octobre, un voyage en
Ouganda. Au programme : visite
de parcs nationaux et observation
d’éléphants, stages, oiseaux, cro-
codiles, etc.
Sain-
te, rue du Mont-Valérlea
t-Cloud, ta. 771-71-34.
W SOUPLESSE ET SANS DOUBLURE
L E lancement' de vêtements
■ non doublés pour l'été a été
l'excellente initiative des
fabricants de prét-è-perter fran-
çais au Sa! en -européen de l’habil-
lement TTummUn qui vient de
fermer A la porte de Versâmes,
avec un record de plus de vingt
mille acheteurs professionnels.
Pour réussir ce changement de
structures — an propre comme an:
figuré, — il a fallu obtenir la
coopération de tous les industriels
concernés, du fllateur au confec-
tionneur. En effet, 'ces nouveaux
costumes et ces ensembles de
sport sont le résultat des mariages
entre fibres naturelles (laine,
coton. Bd ou sole) et synthétiques
(daerbn, tergal et autres polyes-
ters) pour obtenir à la fois le
toucher des unes et la facilité
(TeuLi'etl&ii des sotzesa
Les fabricants ont été obligés,
pour leur part, de revoir et
d'améliorer leurs coupes et leurs
finitions, de façon A, offrir aux
dr wiiTUrêis de Français qui tra-
vaillent d’avril & octobre dans des
bureaux étouffants des tenues
poids plume confortables, nettes
et- moins coûteuses. En costumas,
en blazers et en vestes de sport,
ces non-doublés devraient relan-
cer les ventes, qui ont ten-
dance' & stagner depuis quelques
saisons, et intéresser aussi la
GUY DORMEUSE, :
ooctome trois pièces
désassorti à veste do
tweed sur on panta-
lon assorti et on gilet
en pied - de - poule,
tarir a - dans sine dra-
perie de laine allégée
dtm peu de strie et
de lama-
La veste sport com-
porte on effet do dé-
coupe è ! 'épaule, une
martingale et deux
poches plaquées arron-
dies. Le guet suit les
mêmes lignes, tandis
que le pantalon droit
est légèrement moins
large do bas que l’an-
née dernière, i 29 cen-
timètres, suis revêts,
133S F environ tes
trois pièces, au stand
fie la marqué chez
Brmnmel au Prin-
temps. Jacques Wan-
jjIbt. SI, roe La Boétie.
78008 Paris; au Mans,
Bure Boutique. 63, ave-
nue fin Généial-de-
Oaulle; & Saint-
Qnantin, Kriloff, 6, rua
Saint-André.
UNIC : « loafer s i.
semelle plate. en ebe-
vroan'golfi
à
clientèle jeune réfractaire
l'habillement traditionnel.
Sur le plan de la mode, les
coloris du printemps 76 compren-
nent le bleu «orage», le. gris
< mouette » et lé belge < llèze ».
nonrrinnnéR aux cbemlseTweu - ** printemps de Monde du 12^ avril
«hirondelle» et vert «bourgeon». 1975 )» Ies Borçoos présentant les
pagne, alors que le style plonner
et la marinière annoncent les
vacances, comme les vestes-che-
mises destinées grandes
chaleurs.
Comme nous l’avons annoncé
Les tissus offrent un toucher sec
en gabardines, en toiles et en
popelines dans les unis, en
contraste avec les rayés et les
antres petits dessins à aspect rus-
tique, parfois flammé.
Les tenues de loisirs restent
toujours fidèles au blue-jean en
coupes- et en tons délavés, à telle
enseigne que les velléités de Chan-
gement détonnent plutôt
Ces vêtements légers sont dé-
ceJntrês, & carrure naturelle, & cols
et. revers modérés. On note un
léger retour aux formes croisées,
moins longues, i, poches plaquées.
Les pantalons, quoique appliqués
aux hanches, retrouvent souvent
leurs poches et sont taillés plus
droits & partir du genou,- avec
28 centimètres de largeur au bas
(en costumes, dn moins). Les
chemises s’assouplissent aussi, en
tonne moins étriquée, parfois à
cols carrés.
A côté des classiques, la saha-
rienne A manches courtes ou lon-
gues se présente comme une tran-
sition entre la ville et la cam-
défDés de mode — dont celui très
réussi des couturiers — ont nette-
ment diminué le volume de leurs
coiffures, qu$ dégagent la nuque
et les oreilles, quand elles ne sont
pas .carrément taillées en brosse.
NATHALIE MONT-SERVAN
BEAUTE EN CLINIQUE
Soyea juwvoyantai co mm it les
. ]Wia Américaines • : pwn« à
la photo ant votre nouveau-né
et panes ch ex l'esthéticienne et
le coiffeur, quelques Jours avant
rentrée en clinique. Un bon
nettoyage de peau et on ma s s ag e
vous détendront avant le sham-
pooing, la mise en plis et la
manucure.
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55 francs un soin complet avec
maquillage et coup fie peigne,
28 francs 1a manucure.
Pour le moment, le publici-
taire Henri Benamon, qnl a créé
ce servies voilé, quatre mois,
emploie ^ n| i Jeunes femmes qui
vont de clinique en clinique,
no tamment & NeuHly et dans le
sud-est de Paris et U projette,
éventuellement, de conclure un
accord avec un coiffeur.
Ce qui est valable en clinique
res* naturellement aussi pour
les soins h domicile. Infiniment
précieux pour les opérées, les
malade- et les accidentées. En
effet, rim ne remonte autant le
moral que d’avoir bonne mine.
N. M.-S.
Les porteurs d'espoirs
L -e
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'ETE trotte u r est un été
Allaire. Equüeo ponctue en
min. 17 seo, dans le prix
de l'Etoile, une série brillant déjà
de tous les feux de FaJtir du
Vivier. Duc de Vrie, dn même
Equüeo et autres GnmdvaL
Lorsque, voilà trois «n* . après
une série d’exceptionnelles réus-
sit» communes, illustrées notam-
ment par Une de Mai et Toscan,
la rupture avait été consommée
entre Pierre-Déslré Allaire d’une
part, Pierre de Mon tesson et Jean-
René Gougeon de l’autre, le pre-
mier avait annoncé, avec une
assurance qu’à l'époque tout sem-
blait condamner : « C'est mol qui
gagnerai, mot qui aurai les meü-
leurs chevaux. Jean-René Gou-
geon est un bon entraîneur, mata
je suis un bon acheteur et mes
anciens associés constateront que.
finalement, c’est ce qui compte le
plus. ».
La réussite d’ All a i re est en effet
cdle de l’acheteur. C’est le triom-
phe de l’œil sur la mata. Cet
homme, qu'on ne volt plus jamais
au sulky, qui se dit un driver
très ordinaire, a les yeux les plus
acérés qui soient pour, détecter
le sujet d’avenir dons le- poulain
balourd risquant son premier trot
en dehors de l'herbage nataL
Comme, d’autre part, nul dans la
France trotteuse n’ignore que, s’il
est séduit. U a le c arne t de chè-
ques facile, fl draine vers lui tout
ce qui est porteur d’espoirs. Un
éleveur veut-il vendre un « deux
ans » qui a est » déjà en moins
de 1 min. 25 sec. ? Cest à Allaire
qu’il s’adresse le premier. Quelque
part en France, un poulain a-t-il
frisé 1 min. 30 sec. dis le débour-
rage ? Allaire le sait (car en outre
fl a beaucoup d’amis? en même
temps qu’il sait, éventuellement,
comment convaincre le proprié-
taire de vendra
Sa réussite fait radie de l’écurie
Aixin Delon, dont 11 est Peu traî-
neur. Fakir du Vivier appartient,
pour une port, à l’acteur ; Equüeo
court sous ses couleurs.
Encouragé, et n’ayant pas par-
ticulièrement. besoin (merci pour
lui) du million de francs qp’Egui-
leo a déjà ramassés sur les pis-
tes, Alain Delon à décidé de déve-
lopper sa maison de production
hlppiqpe. H a. conclu une associa-
tion avec le propriétaire du haras
des Chartreux : les dix poulains
de pur-sang nés cette année dans
ce haras — et parmi lesquels des
fils de Lyphard, Gift, Card. Lu-
thier, Zeddaan — accompliront
leur carrière de courses sous les
couleurs de Mireille Darc ou celles
de l’acteur. Reste à Alain Delon,
propriétaire de ptur-saag, à décou-
vrir un Allaire du galop-
En attendant de vivre peut-
être à l’heure Delon, Longchamp
répartit les lauriers de la rentrée
entre Anne’ s Pretender, Ivanjica
et Delmora.
Le premier devance Gretm
Dancer plus nettement que ne
linéique l’encolure affichée par
le juge à l’arrivée du prix NieL-
Mais si l’an tient compte de ce
que Gram Dancer rendait 6 li-
vres à son vainqueur, sa perfor-
mance reste méritoira
Ivanjica, en qui nous étions
personnellement tenté de voir la
pouliche d*nn seul printemps et
d’une seule distance, se révèle
être bien davantage en gagnant
avec sûreté le prix de la Nonette,
sur 2100 métros et devant des
concurrentes comme infra Grmn,
Sea Sands, Feuille Morte et Oak
HüL, pour ne citer que les princi-
pales. -
Enfin, Delmora, aux approches
de l’automne 1975, se souvient de
son triomphant automne 1974, et
s'adjuge le prix du Rond-Point
devant l’inusable El Toko et une
Lianga méconn a i ssa b le, pour qui
l’avait vue sur la ligne droite de
Deauvllle. L’explication de Fenna
est que, précisément, elle n’est
efle-même que sur les parcours en
ligne droite
Exceptions anglaises
Chiffres définitifs des ventes de
Deauvflle : cinq cent quarante-
deux poulains et pouliches ont
été adjugés au prix moyen uni-
taire de 44 591 francs, soit un
chiffre d’affaires de 24158500 F.
On peut effectuer des comparai-
sons avec 1972, dernière année
faste, et 1974, celle du creux de
là vague.
En 1972 : 508 sujets vendus à
58 243 F de moyenne, soit
29 687 700 F.
En 1974 : 456 sujets vendus à
45 326 F de moyenne, soit
20 670400 7.
Le prix moyen est, cette année,
presque 25 % moins élevé — et
en franc nominal — qu'aux plus
belles années. Il est même plus
bas d'environ 4 % que celui de
1974. En revanche, le no mb re des
poulains trouvant acheteur est
respectivement 10 % et 20 % plus
élevé qu’en 1972 et 1974 La dyna-
mique de ce phénomène l'emporte,
nous semble-t-il, sur l’impression
défavorable qui pourrait ressortir
dn prix. A part quelques excep-
tions (surtout anglaises et amé-
ricaines), les écuries faisant cou-
rir en France ont acheté français.
Dans un premier temps, c’est ce
qu’il fallait obtenir. Dans le se-
cond. 11 convient d'améliorer la
qualité. Précisément, on assiste à
de louables tentatives,
de Godolphln Darley et Elle de
Brignac, pour constituer des grou-
pements capables d'acquérir de
grands étalons.
Dans le même temps, le syndi-
cat des Seveurs, sous la nouvelle
houlette de Guy de Rothschild,
s’oriente vers un tirage au sort de
quelques cartes des bons reproduc-
teurs qui nous restent, c’est-à-
dire vers des formules corpora-
tives hors desquelles l'élevage
français serait condamné. Oui, la
barre se redresse.
LOUIS DENIEL.
J »
Page 16 — l_E MONDE — 13 septembre 1975 • • •
LE MONDE DES tOIS»
Jeunes
LA FOI
NE
SUFFIT
PLUS
C OMMENT rendre cohé-
rente. fructueux* et
MifîrliltiBlnih» l' actio n
des quoique vingt uSle jeu-
nes de treize & trente ans
qui consacrent en France*
chaque année, une partie de
leurs loisirs à des 'ac tivit és
de travail volontaires et bé-
névoles sur près de quatre
cents chantiers aux buts les
plus divers (sauvegarde du
patrimoine architectu-
ral, fouilles, amélioration
des équipements ruraux,
protection de la nature,
construction d'équipements
sportifs, socio-culturels et
touristiques) et qui ont to-
talisé l'en dernier environ
trois cent mille journées de
travail? Comment canaliser
cet imm e ns e réservoir de
bonne volonté?
raror do colloque tenu au
couvant royal de Ssdot-Maximlm
( Ver •), sur I a thème ; - Los chan-
tions de Jeunes et le patrimoine
architectural », colloque patronné
— dans le cadra do Fermée euro-
péenne dn patrimoine architectu-
ral — par les secrétariats d'Etat
A la culture, A la Jeunesse et
aux sports, le ministère de l’édu-
cation et & la qualité de la vie,
ainsi que par la Caisse nationale
des Monuments historiques. Ces
/Camées ont vu .se confronter les
expériences et les pointa de vue
d’une centaine de fonctionnaires et
de responsables cf associations dé
chantiers représentant une dizaine
de pays tf Europe.
Qu’elles soient * fédérées », au
sein if un organisme de cogestion,
comme Cotravaux (IJ, organisateur
du colloque, qui a été créé en
1950 et regroupe neuf associa-
tions concernant quatorze dépar-
tements ministériels collaborant
aux plana Enancler et technique
pour la mise en -œuvre des chan-
tiers, ou qu'elles soient autonomes
(tel le Club du vieux manoir), ces
associations reçoivent des minis-
tères concernés des subventions
de fonctionnement La Jeunesse
et les sports s'acquitte chaque
année, pour sa part de 1 million
500000 francs, permettant de
régler les salaires des permanents
et les dépenses de fonction-
nement, et de 2 millions de francs
pour les travaux proprement dits.
Quant A fa Caisse nationale des
monuments historiques, elle dote
deux concours (chantiers et ani-
mation) . d’une somme totale de
250 000 francs per an, qui viennent
récompenser les actions de pro-
motion ou les réalisations exem-
plaires. ...
L’AVENIR DES CHANTIERS DE FOUILLES
C ES questions ont aous-tendu,
deux fours durant, les tn-
v mrte fin rrtJJrwrtte tant ■ ntl
Les thèmes généraux du col-
loque ont porté, d'une part, sur
la signification de l’attrait qu'exer-
cent sur /as Jeunes las chantiers
/aspects psychologique et socio-
loglque d’un coté, aspect culturel
et Gnalhê de F autre), et, d’autre
pan: sur les problèmes posée par
la conception et rorganlaation
pratiqua de ces chantier*. Cas
choix ont amené /es participants
Am (Briser an quatre commissions
qui ont publié leurs conclusions,
les premières du genre.
Le but des chantiers — r assis-
tanca a été unanime A le recon-
naîtra — est de donner le priorité
A rintérét de la Jeunesse pour la
sauvegarda du patrimoine archi-
tectural. Cette Jeunesse est mm
par des motivations diverses :
désir d'évasion, goût de la vie
communautaire, attrait pour, me
activité concrète , mais, surtout,
par F opération de sauvegarde d'un
monument an péril. Le temps de
le méfiance de radmlnlstratloa vis-
à-vis de ces « amateurs » est
passé, effacé par le sérieux et le
compétence qu’ils manifestent. H
rien reste pas moins que, dans
ces types de chantiers, un -pla-
fond * technique 'est vite atteint,
qui ne peut être dépassé que
g/éce è u/r encadrement haute-
ment qualifié guidant èt animant
la travail. Il faut un animateur
pour cinq participants ; lea atten-
tifs actuels Indiquent qWH faudrait
donc trois mille animateurs sup-
plémentaires, d’où Furÿence de
multiplier tes stages de formation ,
d’autant que chaque année désor-
mais des miniers de demandée de
participation sont rejetées tante de
place st d’encadrement
Les pièges de la snbventfeo E 3
(1) IL rua as GUchj. 75000 Paris
Qui sont-Ua cas Jeunes accep-
tant de prendre sur leur temps
de loisirs (et leurs finances) pour
participer A tins action de sauve-
garda? La proportion d’étudiants
est écrasante (93%) et, ce, pour
deux raisons : le longueur de leur
temps de vacances et leur atti-
rance pour une activité manuelle
considérée comme 'dérivative. Pour-
tant U existe des obstacles A la
participation, qui sont d’ordre
financier ou . proviennent d’une
Bous-lnfommtion du public. On
constate également on manque très
net d'intégration de la population
locale è la trie du chantier. Les
réticences A F égard de ta Jeu-
nesse y sont pour quoique chose.
Le chantier n'est généralement pas
assez ouvert A la vie qui t’en-
toure, ne louche que peu de
monde et s’intégre difficilement,
d'autant plus qu'en France (con-
trairement à ce qui ae fait A
r étranger), il exista des différences
entre les campa de Jeûnas et lea
campe d’adultes, qui accentuent
la coupure. D’où une première
conclusion : une Information plus
importante doit être entreprise
afin de faire mieux connaître iss
chantiers de Jeunes. Pour cela.
Fécale aura un rOle d’initiation
progressive A Jouer.
En revanche, N faut protéger
les chantiers eux-mêmes . contre'
rexplatlstlon qui peut en être
faite par certains responsables, de
collectivités locales qui y attirent
lea Jeunes la temps de bénéficier
de ta subvention E3. du ministère
de la Jeunesse et des sports,
quitte A faire exécuter fs travail
par une entreprise spécialisée dès
que lea fonds sont débloqués^
Enfin, une étude serait à faire
sur les garanties que devraient
donner lea particuliers aux béné-
voles. Il est Immoral que la
résultat de leur travail de sauve-
garde profite A ceux qui ae
refuseraient A tout bail ou conven-
tion garantissant suffisamment fa
continuité du chauffer et le des-
tination dlntérôt public du monu-
ment, que Fon sauve.
Un chantier ne doit pourtant
pas être une tin en sot, mats II
doit représenter, en permanence,
une association de promotion so-
ciale et cufnireUe. Pour ce Cafta.
la chantier pourrait être un véri-
table support da. ..F Education
nationale, et il doit, sous peine
de faillir A sa mission, créer en
permanence une animation Inté-
rieure et, si possible, extérieure
puisqu’il a la responsabilité capi-
tale d'intervenir dans la vie cultu-
relle de la région où II est Im-
planté.
Comment concevoir un chantier 9
Il est nécessaire de prendre cm»
c/s /7 ce de rampleur et de la
diversité des taches préparatoire*
A son ouverture. Des contacta
doivent être pris avec tes Mua,
les enseignants, las collectivités
locales et les fonctionnaires, con-
tact* qui doivent s'accompagnât
d’un travail de sensibilisation des
papulations locales èn prenant
soin de ne pas porter préjudice
— dans le conjoncture actuelle —
A ta main-d'œuvre locale et en
recourant dès que possible h . le
collaboration d’entreprises et d*ar-
tisorrs.
«Formateur de formateurs»
Sur tous ces sujets des sugges-
tions ont été formulées, qui pré-
voient . de développer Fiatormation
auprès des élus locaux, st le
besoin S'est fait sentir de Féfa-
boratton d’un document utilisable
par tous fee partenaires concer-
nés, faisant Je point sur les
problèmes Juridiques, techniques,
administratifs, financière caracté-
ristiques des chantiers, il a été
également souhaité rétablissement
par région (Tune coordination
suivie entre les associations et les
conservateurs régionaux des bâti-
ments de France et des monu-
ments historiques afin de faciliter
les choix des chantiers par les
associations ainsi qua fa coopé-
ration permanente, avant et pen-
dant les chantiers, avec In
diverses catégories d’architectes
concernés.
Enfin, une large place a été
réservée lors do. colloque A /en-
cadrement et aux compétences du
responsable de chantier, dont te
proIU a été ainsi défini : • Un
technicien - animateur qualifié et
polyvalent ». L'obJecUI pour 1070
est ht formation dé quarr+vlngé
dix directeurs de chantiers, ani-
mateurs de vie sociale, et de quatre
cent dix chefs d'équipe. Cette
formation est assurée par un otage
A le direction de Ferchltecture et
est totalement prise en charge par
le secrétariat tFEtet A le culture.
Elle intéressa -non seulement le
connaissance générale de rsrchl-
tecturo mais ouest la législation,
la technologie des matériaux, l'or-
ganisation matérielle du chantier.
En outre, les associations ont été
unanimes A constater qtfti est
nécessaire d’avoir un personnal
permanent qui soit * formateur de
formateurs » A F Intérieur de cha-
que association. Poste qui devrait
être confié, ci possibia, à un
conseiller technique et pédagogique
mie en place per le secrétariat
d'Etat A la Jeunesse et aux sports
dans les associations demande-
resse*.
Face A rampleur prias par ha
activités cF associations de chan-
tiers de bénévoles, le tempe de la
*BJk. m scoute est révolu, la toi
et r enthousiasma ne suffisent plus.
. ^
JEAN CONTKUCCI.
è
Jeux
Échecs
N* 623
LA PREMIÈRE DÉFAITE DU CHAMPION DU MONDE
(Tournoi International de M Ba u ,
septembre 1575)
3. dé CXdé IL FM ff) Fb7
4- CXdé Ce® 12. Tçl fi) Ttt (b)
. 5. Cb5 de 13. DM ( 1 ) Cd7
6 . çé (a) CTB (b) 14. TX-dl (J)
!» CblrÇ 8 (g) afi T ®8 (fc)
S CaS (d> F*7 15. Td2 (1)
9. FéZ 0-0 Dç7 (m)
10- 0-f bfi (fi) 16. Ddl DM
Blancs : A. KARPOV (tr-R-S-S.)
Noir* : U. ANDBKSSON (Suède).
Défense slcfllenne. Système Panlsen
moderne.
L £4 ç5 Z. CIZ ta
Bridge "■*”
LA COUPE MENAÇANTE
Lorsque le mort délient une
coupe, la défense a en général
interet & battre atout; mais encore
faut-il que cette contre- a ttaque
parte du bon côté comme dans
cette donne envoyée par Antoine
Roux.
pera un carreau pour reprendre la
main et faire le valet de trèfle.
A S3
V 9 8 7 4 2
♦ A a 10 3
* A2
A H 9
yflDl
4 7 4 3
* 10 9 8 5 4
4 8 5
V A V 10 G
4 D V B 5
* B D 7
Remarque :
SI au lieu de faire l'impasse &
pique. Sud Joue l’as de pdqne et
pique, Ouest prendra et contre-
attaqoera trèfle pour faire sauter
cette communl nation. Mais Sud
pourra encore gagner grâce & un
squeeze & trois couleurs sur Est.
En fait, à. I& table. Est ne prit
pas le roi de cœur avec l’as et
Roux gagna son contrat en cou-
pant un trèfle.
é A D v 10 7 ( 2
¥ 5
4 9 2
«7 63 .
Ann. : O. dan. E.-0. vuIzl
Ouest Nord Est Sud
passe passe 1 ¥ 84
passe 4 4 passe passe-.
Ouest entame le roi de cœur.
Comment le dédorant peut-ü
gagner QUATRE PIQUES contre
toute défense ?
le coup en Passant
C’est un coup mai connu ries
bridgeurs moyens .et sa prépara-
tion est parfrifa complexe. En
voici un exemple tiré d'une donne
■Jouée dans un tournoi amical au
club d’Evrenx.
Les annonces pourraient ré dé-
rouler ainsi :
Réponse :
Devant la menace de la coupe a
trèfle, Est doit prendre le rat de
coeur avec l’as afin de jouer pique
de sa Trudri—
Sud doit alors , faire l’Impasse,
car Est. qui a ouvert, peut avoir
le roi. Ouest prend et rejoue atout
(car s’il contre-attaqualt trèfle, le
déclarant, laisserait passer. Est
prendrait et rejouerait atout). Le
déclarant tire alors tous ses atouts
pour sçueezer Est à carreau-trèfle,
puisque Est. qui n’a ni le roi du
pique, ni sans doute roi-dame de
cœur, détient certainement dame-
valet de carreau et roi-dame de
trèfle.
Après ravant-demler stout, Est
n’a plus conservé que roi-dame de
teèllesecs pour garder ses carreaux
(sinon une coupe & carreau aurait
affranchi le 10). Sud va pouvoir
alors libérer son valet de trèfle :
Sud
Ouest
Nord.
Est
1 A
passe
2 *
passe
3 *
passe
3 *
passe
4 A
passe
passe
passe.
4 D 3 2
V A B 4
4 7 6 5 3
4 A 6 4
4 V 10 8 — — 4 7 G
¥ v 9 S * ¥ X0 8 7 2
4 A 10 2 0 E 4 Bi> V94
4 V 10 '9 3 8 ■ JL B D
4 A R 3 5 4
¥ RD 3
♦ «
4 87 52
4 AR 10 94A2
4 D V65 4 RD
¥7 4 8 2 * V 6 3
Sud joue de sa main et ne
concède qu’une levée. H lui suffit,
en effet, de Jouer ras de trèfle et
trèfle pour affranchir le valet de
trèfle. Est prend, mais Sud cou-.
Ouest a entamé l’as de carreau
et a rejoué carreau, comment Sud
peut-il gagner QUATRE PIQUES
contre toute défense ?
Note sur les enchères :
Sur l’ouverture de « 1 pique s
Nord n’a aucune bonne enchère,
car U est trop beau pour répon-
dre « SA » ou « 2 piques 8 .
Quant à l'enthèrç de a 2 trèfles s,
c’est peut-être la- moins mau-
FH1UPPE BRUGNON.
17. a FM
18. Dn (D) CCS (O)
19. Ca-bl (P) 1
ers (a)
». BJUL .. b«
IL Td-dl (r)
FIS I (s)
sa caz Tc-dt (t) !
23 . dk an
14. M (U) ■
as !! (v>
15. «XdS fix«
26- fixdf (V)
rae 1 m
27. en Txfi3 I! (y)
». CXC3 (S)
FXb2
». en (u) fi4
39. TçZ (&b) b5 1
SL r03 CM
32. FM Cç4
33. ai TéS (açj
34. aXb5
47. TXM
- TXC4
48. CCI .
49. Cç3
50. CCS (aj) *
SL 144
sa 0ç6
53. Dde
54. 074
55. M
56. Dé4
57. D«»
58. g*
59. 0fi4
60. DOS
6 L DM
a. Déz
63. de
6 L Té4
65. 0d4
66 . Té7
67. DM
68 . Rfcl
69. RdZ
70. 0d4
7L Rç3
72. TÉ3
73. B42
74. Bél
75- VSZ
IB. Bél
35. Tfi2
36. DOS
37. Cal (Bd)
38. fXé4 Fd6
39. I>ç2 Tfi5 !
48. tes (U) Dés t
4L Xd-él Fb7
42. B«1 (ai) ,
Ch7 !! (ag)
43. Cçl CRS 1
44. CdZ FMI («h)
4L B*2 FXdZ
4& XX 62 CXM+
D Tal
Dd 8
W7
DfiS
0 Ç«
Fh3
Ft5
Dçl
FdT
DM
- DM
Ta* !
T*2
Ta*
FM
Dbl
ma (au
Dg 2 +
TaM-
DdS4-
Ta24-
SS*
Ta2+
Dhl-f-
D* 2 +
DU+I (al)
77. BC .
Tai t M
78. TçS Dg2+
79. Bê3 DI3-+-
89. Abandon (an).
NOTES
a) Une antre Idée constate en
8 . FM, aveo lsa variantes - possibles
6~ é3 : 7. Fé3, CTO ; & FgS et 7— a&
qui ne seront pas partàcrülèroment
dangereuses pour les Noirs.
b) Uemenr que 8— &8 ; 7. CW -ça.
Cia sulta dans laquelle les Slam»
peuvent développer leur O-D sur d2 ;
O-D sur 02 i
ETUDE
0 . KOMAH
(1972)
BLANCS (D) : RgQ, Cafl, Pé4,
f7, h 8 , hS.
NOIRS (3) : Réfl, Pd 6 , TçS.
Les Blancs jouent et J ont nu ZZa
SOLUTION UK L’ETUDE N* 6»
r . Y. SOLOVXBV. •
«dMkmstV T SSSBn. 1975.
(HTaure : B&S, U&s. Cd2, Pfe.
Nom : arr, ixm, pu. pm, os. Nulle.)
L Dç7+, BXJtéi 2- DXçSiT. DXçS: !
8 - Ct4+, BéSI W3-,Fxô4.pftt); 4.
CXçS, a»; 5. Cb3, Ml W3_FéB: 8 .
Cçll, Bd4; 7.BbS, JBc3; ABjw. Rb2;
9. Cd9+J ; & BU, FM; 7. Cal, Bd4;
K-'BM, Bd3 ; 0. BaS. Kc3; U. CMS,
FXbL Pftt f
par exemple, a. P6X M7; 0.
5-0 L 10. 0-0. Fd7 ; IL CÆ3, 1
moment opportun ; 17. cxdS, fixas :
18. 6X05. roa ; 19. Dd3, bS. avec us
beau jeu pour les Nolra, on verra
ooaunenc Andezason s*tUBptrera de
cette rupture thématique. ■
t ) L’attaque du pi on bfi. souvent
expérimentée, est moins dangereuse
qun n» parafe. . .
ÿ) St IL Ca4, Ca5I.
ft) 14-, 0^ est posaôle : si 15.
Ex A bXç5 : 18. SXb7, Ca5 muant
la D. .
1} Calmement, lb ■ champion dn
monde S’efforce méthacUqnirajent ae
renzorcer sa pression sur la cOhOrii-
ratios ennemie quelque peu rsasst-
. nie mais solide.
vt) Sans craindre ia gimpurt—
1t. CdMxdS; 17. çxd^CçS.
n) Les erandss manauvzes poaû-
tlonii elles «t poursuivent : reu for-
cement de la dénoue du pion «4 et
pression Indirecte sur aS.
o) Incitant l’adversaire & a van ver
. te pion L ce qui permettrait de pren-
dre le pion é4 comme objectif, «t
visant le plan ç.
P) Xtemlee en jeu du Cal
(Dessin de CADUEBJ
0-0 L. 10. 0-0. Fd7 ; IL Cd2, DM ;
I2. CMU FUS ; 13. Cb8-
c) 7. CbS-ç3 est jouable, mais ne
crée aux Noir» aucune difficulté :
7— P£7; 8. F42. 0-0 : 0. 0-0, AS;
10. bl DWIX. Fbl FM; EL DUS,
<35 J ou 7 — ,'Fé7 ; 8. P62. 0-0 : 9. 0-0,
b8 ; 10. bl Fb7 ; IL FBI Tç8 ;
Il C02, <15! avec égalité.
d) Demi me, le retour sur 04 faci-
lite le Jeu des Noirs 8_ Fé7 ; ». fé2,
0-0 ; 10: 0-0, Fd7 ; 11. Fé3, Cxd4 ;
12. DXU4. FqS ; 13. 13, DB8I ; 14. Ut,
05 1. et Si 14. rxu. B5I ; 15. CXB5^
axbA; 16- OXB5. <15!.
c) probablement supérieur A 10 —.
FM, et A 10 — , TB8.
f) Un moment Important. L'expé-
rience semble indiquer que. dans
cette position. les Blancs n’ont pas
intérêt & avancer le pion de deux
pas ; ainsi, après IL 14, Pb7 ; 12. F13
SL 12. Fé3, 051 ; 13. cX05, éX05 ; 14-
fiXdSV CM), TçB ; 13. FfiS, Ca5 ; 14.
DOS w 14. ta, 051), D07 ; 15. Te- çL
Od7 ; M: D02. Tf-08 ; 17. Od5 (sinon
les Blancs n’ont aucune perspective),
<Xd5: 13. cxûS, DBS; 19. M. Cçfl ;
20. dxçB. FxçS. et les Noire peuvent
organiser leur contre- J en sur la base
de l’attaque du pion 64. Four ne pas
offrir aux Noire l’occasion «Truie at-
taque sur le -pion é4. bien de* grands
maîtres renoncent & l'avance 13-14
et se contentent, après £2~£3. d'exer-
cer leur pression boaltlonnélle.
tr) On 12. 13 ; U.. Dd2; 13. Db3,
Cd7 ; 13. Tf-dL
ft) 12—, ces, attaquant, te pion u,
fiat souvent Joué : 13. Dd4, Ofi-dT ;
14. Tf-dl (al 14, 13. 051), Tfi8 ;
15. Cc2 (si 15. X3, d51), TpB ; 1& F3,
d5L un tbfima capital dans cette
défense, qui desserre l'étreinte an
Orottpé leurs forma avant da passer i
i la xfiaUsatLon de leur thème ;
d8-d5. *:
u) Avec la pesQde menace 23, Cad,
Cç5 ; 28. CxB8 ; DXbB ; 27. MI.
u) L» première phase de la partie
est terminée ; devant les
S ue recèle la stratégie enveloppante
a ch a mpion, du monda, la onuwt
— chem pi ou. du monde, la grand
maître suédois réagit avec énergie et
précision, conformément au plan de
rupture fixé par cette défense. . .
W) 28. Cxaa. CxdS ; 27. éXd5 ne
ferait que faciliter la tfiohe dea
.Noire. I/utfllté du vingtième coup
■ des Blanc» (20. Bhl) apparaît Id
puisque al le B blanc était sur si. I
38—, TXé3 gagnerait an
TXé3 gagnerait après 37. Dxî
x) Lee Noire prennent llnltlatlva :
^ SSL r JT* I4t TxéS (t
28— « Fxtt. Enfin 27. g3 affaiblirait
gravement te diagonale a8-bL.
V) QurïZa bâle atMaca anime le
Suédois!
*>« 38. Dxfi3. Fffc 29. D12, FXCÏ:
M. TxçL b5 suivi de Cb8 et le pion
d5 est regagné sans problème.
Pxa87. Fg3l men*-
wfîfiSi, ¥ a!i Fx ^ s * LT5cfc
Nouv« objectif : la case «4.
^«IJ^Parant la menace 3T-. Fxç3 et
tSrr „ Th5 + : 4L b«l
DS7+ et 42 — , DXB2. .
air Evitant <réventne£Lea aurorisea
sur te diagon» ; » >■ t — e f v
off) Ainsi tombe te pion «H. I
rtJ^Menace 45- ?Xd2 et 46-,
4 I ’ 1 !5 8ue de cette deuxième
b» N«dra ont, en beauté, re-
BB gP ô T te qualité et un pion-
X^fiehange 30. T42. Txé2 :
NniS X im’» I tî e *j ï **■ Bxea donne aux
«pire une Bn»i» gagnante.
a*) Après de Onea et labadAusu
manœuvres.. les Noir» ont tta.teur
oO A noter Ici la superbe trou-
Philatélie
N* 1398
MALI t « Scoutisme mondial <
Un» série e poste aérienne i
trais valeurs a pour sujet le e
tteme mongl aL d'après les rsaqu
t ré en réaa par- Didier Oufidron.
■k ^ 8 +». Ut3m\ ilvær*
Fatll ou échec perpÉtneL. UB * ++ *
S^mac 001,5 û ° STftca - Si 7®. Og3.
« M. titan, TS2+; 81 . Tel
Dx éZ+ » 62. Bel, Tal mat Ia
prem ière d éteitè de Karoov. aeoroî
son accession i te «rararme. aafnna
CLAUDE LÊMOi NE.
198 francs maliens, tabac, , bien
et pourpre ;
ï) Essayant d'envisager une éven-
tuelle rupture par d6-dS.
rj Cédant au Cbl une cbh 'aux d2.
m) Lorgnant te Fé31
t) Les Notre ont parfaitement re-
159 francs maliens, tabac, vlxU
et garance ;
f
2*0 francs maliens, tabac, ponx]
et bien roL.
imprimés en taille-douce dans :
Atellora du Timbre de France. .
Ateliers du Timbre de France, .
gravures sont également de DUfc
Oufidron.
- BUREAUX TEMPORAIRES
O 870M Limoges (hall de l"Eoc
na t i on a l e de musique, rue Frit
James), le 30 septembre. — Featlv
international de musique
G 59818 Fournies, les 20 it 1
septembre. — Première foire-aspi
sltlon da la Thlfireehe.
Q 75885 Fatxls (faculté d» Pb»
macle, salle Vxuquelln, 5, av. d
ItHaerrntoire), du 22 au 26 Mg
tembre. — Vlsgt-dnqulèmea Jonz
nèea pharmaceutiques françaises.
O 57000 Metz (pare dea sxpMl
Uons), du 25 septembre au 7 oetobn
— Foire üuMroaUonate.
(f.
O 38400 Safnt-Mnrtln-d'Bèrea (té
bUpthèque des sdonces dn Domalç
unlveialtalre), du 25 septembre «
6 octobre. •— HaiaiftTn» asemblii
genérate de runioo gfiodéslque Inter-
nazie noie.
t “J S ï
M. **¥
% •« "l*-l
/ '
• a PLAjsm ortttUnesj, :\è.
MU d« iTtbteX de ville, rae iaj*-
N
tt rr «» vhwi nw
République, ht 20 st tt aeptmribàu
rie u h. à 17 II. à v<Kea3e*mü
da u h. à i? a. d r<
Juwieteçe anse la uffle de
(A/.iJ, tut. bureau
fonctionnera. '
• A SJT.T.VUT.p QÜUiÉ*
tes 2/ st 28 eeptetflATte;
—7— wwiiivn mv i wi tf virer- vtaTOT
et réformais pour tes IsunMï '
• A ROANNE, dans le sa dn 4g?
XXVIII* loin. le* d «t é çctobfrr
FAssodattou. phaotttlqua local» orge»
nfse une «epasttlo». *
ADALBERT VITAL TUS.
^•■■saas
«w xr n zs septembre, - guygreai gf
un* exposition larde polir .liiïâff?*
Bt résumais «mmlp fa» VanmaK^ V -w
'■«••te
élO Ho
RELIGION
r -•
Ci .
LE RAMADAN EST COMMENCÉ
Le jeûne, pilier de l'Islam
A
' r.‘
fl*
l- i r..
t, -s- -
,*r*‘ _ I‘ • ■
« . • ..._
i~ y
• V •*
t;
" Le ramadan, mois binaire de
■ : î je&ae pratiqué partosmwnd-
. % muns, a commencé cette aimée
avant raube du s septembre,
durera jusqu'au 4' on
... 5 octobre. Un lecteur mvszd-
. , ' '’V : mon de Fournîtes (Nord),
; M. Hoceîne Bayod, nous a
■ ^ r -' ÿ; adressé à cette occasion Tar-
■ \ :' L "* t-j. tt&e suivant:
* p >£}* Jeûne est l'un des cinq pi-
' 1 * ! fs de I*is1ara- Du vivant même
Vprophèfce, la pratique du Jeûne
rabi deux transformations snc-
Cij rr sives. Au début de l'islam, les
d> suim&os Jeûnaient le jour de
sboura, c’est-àr-dire le 10 du
° «mie r mois de l’année: le 20
, " -« L’Ashoma est le Jour
tout musulman doit donner
•. ./.'''plus pauvre que lui le dixième
' ses bénéfices annuels.
■■■ :• peu plus tard, les nrasul-
■ , *>ms Jeûnèrent les trois pre-
“, : ers jours de chaque . mois.
' la période de Jeûne fut
" ée durant tout le neuvième
rfs H» ■ cal endri er mJisulman,-le
.. -ois du Ramadan, en l’an 2 de
, : ^iégire (624), en référence à ce
. ...Jjxut coranique r
•• ' « Quiconque aura aperçu Tu
• nouvelle lune marquant, le
' commencement du mais du
‘ • >. ramadan observera te jeûne-,
■■ Jeûnez Jusqu’à la fin de là
• ■■ durée fixée, et magnifiez Dieu
.„?> -pour la bonne direction où ü
■ :\; U vous a mis. pour lui prouver
: ^ votre reconnaissance. » (Son-
rate 11, 185.)
' r ^£n icia-m, le Jeûne est rattaché
• -, j: la tradition àNbé et surtout'
' Abraham. Que signifie pour un
• . . usulman le mot « Jeûne »,
: isst-à-dire « Al Syâm » ? « Al
.-.-âm >* signifie étymologique-
*- int : action de s’abstenir, abs-
■ ■ .. îenœ. Donc, le ramadan est
ne période d'abstinence com-
été que le mnmimiLn s'impose
;v^ir l’interdiction de manger, de
-dre. de fumer, d’avoir des rela-
3 ns sexuelles, de se parfumer,
et cela depuis l’aube Jusqu’au:
Jucher du soleiL
Le premier ramadan marque
s début d’on jeûne qui va durer
Fngt-néuf & trente Jours, suivant
|,i hme, et qui va être suivi rigou-
it par tout le monde mn-
’jlman. Déjà, dès le mois
ent (Chftabane). les
* y piét é
et la ferveur à aborder ce mois
de ramadan, encouragés qnUs
sont en cela par des « hartit.h* »
.du prophète du genre de-cenx-d :
ptuîhs ■ — ••
. < Celui qui -jeûne aura une
double joie : celle qu’Ü éprouve
lorsqu’à rompt le jeûne et ceüe
qu’Ü éprouvera lorsqu’il ren-
contrera le seigneur. J’en jure
par celui qui- tient ma vie
entre ses mains, le relent de la
bouche de celui qui jeûne est
- un parfum plus agréable à
Dieu que Vodeur du musc. »
Le ramadan est aussi un mois
d’ascèse le sens le pi™
large du terme : un mois de piété
et dé recueillement. Sa jeûnant
f frrra-nt un Trwfa psi an, les- musul-
mans s’efforcent de partager et
de vivre la même souffrance que
ceux qui n’ont pas ici-bas la vie
belle: Os ressentent la- même
souffrance physique que le pauvre
qui ne -mange pas à sa faim : ils
ressentent la même faim, la même
soif et le même manque de force.
Le musulman doit' Jeûner, même
s’il ne S’acquitte pas de la prière
canonique (cinq fois' par jour),
mais son jeûne n’a aucune valeur
s’il ne professe pas sa foi en lUnl-
ctté divine et en la minci rm du
prophète Ou Shabada).
Un geste de paix -
Le Jeûne ne se suffit pas k lni-
mêmé. SI Je dois renoncer à man-
ger. k boire, à fumer depuis l’aube
jusqu’au coucher du soleil, je- dois
aussi -renoncer ait mensonge, à
l’hypocrisie, à- la naine, à la
calomnié. Si je ne peux mettre
tout cela dans mon jeûne pour
en faire un .de jwITj
et . si le manque de cigarette me
fait bouder mon camarade d’usine
où de .bureau, je niai plus qu'à
aller fumer et rompre mon jeune.
Avant de commencer le jeûne,
il est indispensable de fane la
paix avec ses voisins ou ses enne-
mis : l’état de piété que 1 musul-
man prend pendant ce mois doit
être un état de p*!» sinon , com-
ment pourrait -ii se présenter
devant son Seigneur- si. nam la
minute précédente, ü s’est laissé
aller à la haine, au mensonge, etc.?
L’état de piété est donc : paix du
corps, pâte de l’âme, paix avec
autant, paix avec Dira. Le jeûne
du ramadan suppose d'abord cette
paix.
D’après Abû Hurayra, le pro-
phète a dit :
s Celui gui ne renonce ni à
dire des mensonges ni à prati-
quer des faussetés. Dieu n’a
nsi besoin quü se prive de
boire ou de manger .»
Pour nuancer ce qui précède; U
faut . ajouter que la validité du
jeûne est conditionné par la nÿ&
(l’intention) : si l’intention est
bonne, l’acte lui-même zeste
Ce choix do neuvième mois s’ex-
plique parce que plusieurs événe-
ments mém o rab les sont survenus
durant ce mois.
Par exemple, c’est le 17 rama-
dan qu’a eu lieu la fameuse
bataille de Badr, qui fut une vic-
toire de l'islam sur le paganisme
de Quraysh (624). d’est le 10
qu’est morte Khadija, prent
épouse du prophète à qui llSlam
doit beaucoup. C’est le 19 que le
prophète conquit pacifiquement
La Mecque. C’est le 21 qu’Ali,
compagnon du prophète, fût
assassiné. Le Coran et la tradition
enseignent que c’est pendant la
nuit de la destinée (du 26 au
27 ramadan) que furent révélés
les premiers versets coraniques.
Le Coran consacre la sourate 97
à cette nuit. Un badlth du pro-
phète nfftnw ;
« Celui qui. pendant la nuit
du destin, reste debout avec la
foi et Vespobr dune récom-
pense, aura le pardon - de
. tontes ses fautes précédentes, s
Fendant cette nuit, les musul-
mans se retrouvent donc à la
mosquée pour prier en psalmo-
diant des versets coraniques, en
récitant des prières spéciales ou
en écoutant des panégyriques du
prophète.
Le Jeûne du. ramadan est une
obligation pour quiconque est -en
état de le faire : capacité légale,
liberté, raison, santé. En sont
dispensés, les femmes indisposées
ou en couches, les maiariac, les
débiles mentaux, les voyageurs.
La dispense de Jeûne est, en fait,
un report de date an cours de
Tannée : on récupéré les jours
non jeûnés. De pins, de nos jours,
la rapidité des moyens de trans-
ports et leur confort excluent,
dans la plupart des cas; la dis-
pense de jeûne.
8
I
4_'île- montagne § Æ "
Une terre da contrastes. Des sommets enneigés de plus g ^
"de 2000 m. Des forêts de pins, de châtaigniers et de chênes ▼
^ Le maquis et des vignes - Des torrents, des lacs, des rivÈres. Et, ■§
^ toute proche, fa mer sur Î00& kro.de côtes rocheuses, de calanques seaètesV g
ff ' pu de longues plages de sable fin. Jg
L'île au soleil Sï
Septembre, octobre- comme vous, les oiseaux migrateurs poursuivent .
Tété en Corse. Un été qui s'attarde dans Jes tiédeurs d'un automne lumineux. ■ M
Une mer chaude et transparente. Et la quiétude retrouvée. ■
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habitants peu nombreux et accueillants, sans surpopulation touristique. ■
„£v, à deux pas de villes animées comme Ajaccio. Bastia, Caivv, le silence, *
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/
LE MONDE — 13 septembre 1975 — Page 17
AUJOURD’HUI
MÉTÉOROLOGIE
Svrtuttoit probable On temps en
Francs entra le vendredi 12 septembre
k 0 heure et le samedi 13 septembre
k M heures :
Un rapide courant perturbé
persistera but la face septentrionale
des hautes pressions de la région des
Açores, de l’Atlantique à l’Europe.
Dans ce courant, la perturbation
située vendredi, k 0 heure, sur le
centre Atlantique abordera l’extrême
ouest de la France a»™ la matinée
de samedi et poursuivra ensuite son
déplacement vers l'est.
Samedi matin, le temps aéra ««g-n
fiais pour la saison sur notre pays,
avec un dri variable comprenant des
éclaircies et des passages nuageux.
Des averses résiduelles se produiront
encore des Ardennes et de l'Alsace
aux Alpes, ainsi «u’en Corse. Dans la
matinée, le ciel ae couvrira sur la
Bretagne avec de nouvelles pluies.
Ces dernières progresseront, ensuite
vers l’est pour gagner dans la nuit
suivante le Nord-Est et les Alpes
du Nord, tandis que la temps devien-
dra plus variable sur la Manche, la
Bretagne et la Vendée. Cette nouvelle
perturbation semble devoir être
moins active dans le Midi, où des
éclaircies persisteront.
Après une accalmie temporaire, les
venta se renforceront de nouveau
après-midi et la nuit suivants
sur le quart nord-ouest de la
Rance : Us pourront devenir forts
Visites et conférences
. SAMEDI 13 SEPTEMBRE
VISITES ■ GUIDEES BT PROME-
BADX8. — Caisse nationale des
monuments historiques. — 15 h,
60, rue des Archives : t Hôtel Qoè-
négaud et Musée de la chasse et
de la nature s (Mme Bouquet des
Chaux) . — 15 L, devant l’église
Saint-Paul - Saint-Louis : « Quartier
Saint-Paul du Marais » (Mme Gar-
rden-Ahlberg. — 15 h- autobus 158 A.
arrêt La J on chère : t Château de
La Jonchèra et souvenir de Tour-
gueniev » (Mme Fenneo). — 15 h,
82, rue Saint-Antoine : « Hôtel de
Sully » (Mme Philippe). — 15 h,
grille esplanade, côté Seine : c Les
SPORTS
UN ACCORD EST DÉSORMAIS
PROBABLE POURLA RfTÜAIÜ-
MISSION TtltVlSË DES JEUX
OLYMPIQUES.
C’est le 15 septembre que le
Comité d’organisation des Jeux
olympiques (COJOf et l’Union
europ éenne de radiodiffusion
(USB.) feront savoir s'ils sont
tombés financièrement d’accord
pour la retransmission télévisée
des Jeux de Montréal en Europe,
en Amérique du Sud, en Asie
et en Océanie. Après l’interven-
tion de M. Mic^iiwi miiftnin [
président du Comité olympique
inte r nationa l (CIO), qui a pré-
cisé au COJO que la plus grande
audience était Indispensable pour
les Jeux olympiques, il apparaît
que rUBR et le COJO sont conve-
nus de fixer à 44 000000 de francs
le montant des droits de télévi-
sion. Précédemment, le COJO
exigeait 79 000 000 de francs.
te Hippisme. — Le prix Kalros,
disputé le II septembre à Vln-
cennes et qui servait de support
au pari tierce, a été remporté par
Emiovo (407) suivi d’KÏbo (402)
et d’Eva Tudor (409). La combi-
naison gagnante est donc 7-2-9.
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dront bien joindre es chèque a
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nitifs ou provisoires (deux
semaines on plna). nos abonnés
sont invités & formuler leur
demandé uno semaine au moins
avant leur départ
Joindre la dernière bande
d’an toi à toute correspondance
Teoinea avoir Poblfseanee de
rédiger tous In noms propres
ea caractères fi 'imprimerie.
Invalides » (Mme Vermeerech). —
15 h. 30, hall gauche du chfttesu :
c Le chfite&u de Malso&s-L&ffitte >
(Mine Hulot). — 21 h^ marches de
r église Salnt-Oervais : « Le Mania
illuminé > (Mme Philippe).
15 h- angle rue Pavée -rue des
Francs-Bourgeois : « Promenade
dans le Marais » (Mme Ferrand). —
ls K, portail de l’église e Jardina
secrets à Satnt-Germaln-des-Frés »
(Paris et son histoire). — 15 h.,
L rue Salnt-Loms-en-lUe : « Les
hôtels de 171e Saint-Louis ». —
20 h. 30. place de l’H&tel-de-VBlB :
« Lee hôtels illuminés du Marais »
(A travers Paris). — 15 11," 18, rue
du Cloître-Notre-Dame : c Notre-
Dame; parties hantes et basses fer-
mées au public * (Connaissance d’ici
et d’ailleurs). — 15 lu sortie du
métro Jaurès, sous le pont aérien :
« Itinéraire Eugène Dabit et Marcel
Camé du côté de l’hôtel du Nard,
rencontre avec le» ècluslera. etc. »
(Mme Bager). — 15 lu 60, rue des
Francs-Bourgeois : c Les hôtels de
Semblée et de » (Vive la ville).
— 13 h., 83, rue de Monceau :
< L’ancienne France au musée Ca-
mondo » (Histoire et archéologie).
sur les côtes. Dana l’ensemble, les
températures maximales varieront
peu.
Vendredi 12 septembre, A 7 heures,
Ja pression atmosphérique réduite
an niveau de la mer était. A Paris -
Le Bourget, de 1004,7 .soit
7535 millimètres de mercure.
Températures (le premier chiffre
ludique le maximum enregistré au
cours de la Journée du 11 septembre;
le nrronfl. le minimum de la nuit du
11 au 12) : Ajaccio. 25 et 14 degrés ;
Biarritz, 20 et 15: Bordeaux, 22 et 14;
Brest, 18 et 0 ; Caen, 19 et 9 ;
Cherbourg. 18 et 8 : Clermont-
Ferrand. n at s : Dijon. 17 et il :
Grenoble. 18 et 10 ; Lille. 21 et il ;
Lyon. 19 et 12 ; Marseille, 24 et 14 :
Nancy. 18 et 11 ; Nantes, 21 et 13 :
Nice. 25 et 15 : Paris - Le Bourget, 22
et 10; Pau, 19 et 10: Perpignan, 23
et 13 ; Bennes. 21 et 10 : Strasbourg,
19 et 12 : Tours, 22 et 13 ; Toulouse,
21 et 11; Painte-A-Pltre. 30 et 23.
Températures relevées A l’étran-
ger Amsterdam. 18 et 11 degrés :
Athènes. 27 et 19; Bonn, 3) et 12:
Bruxelles, 18 et 12 : Le Caire, 37
et 24 ; Iles Canaries, 25 et 21 :
Copenhague. .17 et 13 ; Genève, 20
et 10 : Lisbonne. 24 et 14 : Londres,
19 et 8; Madrid. 28 et 9 : Moscou.
12 et 11: New - York, 23 et 21 :
Palma-de-MaJorque, 27 et 18 ; Borne,
25 et 18; Stockholm. 20 et 15.
Journal officiel
Sont publiés an Journal officiel
du 12 septembre 1975 :
UN ARRÊTÉ
• Portant extension d’avenants
modifian t la convention collective
régionale du bâtiment (région pa-
risienne).
UNE LISTE
• Nationale d’aptitude à l’em-
ploi de directeur de caisse de
crédit municipal.
MOTS CROISÉS
PROBLEME N* 1250
HORIZONTALEMENT
L Est &ev& par des paysans : Est plus bas an sommet qu’au
— IL Incident de parcours; Défendit Paris
HL Plus crime fols prononcé par Bonmediène ;
VIII
xill
XIV
pied du mont Blanc,
contre les Normands.
Ne coule donc plus;
. Certains s’intéres-
sent plus au nombre
de leurs dents qu’à
leur propreté. — IV.
L’effet d’une envie
mal contenue; Cou-
verture; Fin de par-
ticipe. — V. Eten-
dues ; Un point à
l'horizon. — VL
Vraiment sans re-
tenue ; Point ré-
pété; En retard. —
VIL Une des Cycla-
des ; Passent pour
avoir un langage
particulier; Point de
départ d'une g rande
migration. — VUL
Forme de sav oir; A
donc trouvé un
nouveau job; Sigla
— rx. Permet de
mettre la poitrine
en valeur ; Posses-
sif. — X. Relevé;
Mavéfthai de France. — XL Sa
place est au moulin: Très ancien
verger ; Sans changement. ■ —
xrr- D’un auxi liaire ; Besogne de
lavandière. — xm Est souvent
Impuissant à étouffer des pa-
roles imprudentes; Prénom mas-
culin; Symbole chimique; Suit un
titre. — XTV. Prive d’un viscère:
Barre. — XV. Fougueux révolu-
tionnaire (orthographe admise);
En bonne et due place.
VERTICALEMENT
I. Abandonne parfois une ser-
vante pour une coiffeuse ; Point
de repère. — 2. Toujours grand
quand il est vtf; Adverbe: Mor-
ceau de pain; En R»ttbb«»_ — 3. Fi-
gure sur un vieux Testament ;
Souvent entonnés sans mesure ;
En Dordogne. — 4. Etourdie ; Se
modifien t par des croisements :
Deux caractères qui mettent à
rude épreuve la patience d’un pro-
fesseur d’anglais. — 5. Elle s’en
serait mieux tirée avec la jus-
tice des homm es : Conjonctio n ;
Baptisa son ultime objectif; Mili-
taire étranger. — S- Série d’acci-
dents variés ; Symbole chimique ;
Terme musical- — 7. Productions
d’ouvrières hautement quali fi ées:
Est pleine de trous; croît sous
d’autres latitudes. — 8. Vient
d’être ; Oiseau souvent mis en
cage ; Préfixe. — 9. Une belle
pièce ; Donnent des points au
hasard; Accommodés par un em-
baumeur. — 10. Ville ancienne ;
Reconnu bon pour le service. —
n Dont rien ne semble troubler
la totale béatitude. — 12. Décou-
ragés ; Irrités. — 13. Coule en
France; Offre un miroir an ciel
no 1t 12 18 « is
de Carélie. — 14. Préposition. ;
Centre industriel étranger; Even-
tuellement maltraitées par les
ans. — 15. N’agit pas à la légère;
On ne peut s’en servir qu’à la
suite d'un beau gâchis (pluriel).
■ Solurion du problème n“ 1 249
Horizontalement
L Parfait — IL Empaler. —
HL Rom Ah ! — IV. Us: Crasse.
— V. Xérès; Est — VL Cos ;
Plie. — VTL Dru; Oô ; Su. —
VUL Régicides. — IX 1 Item ;
Suse. — SI Leu ; Cor. —
~ST Reines.
Verticalement
1. Peaux ; DrilL — 2. Am ;
Secrète. — 3. KP; Rougeur. —
4. Farces : Im. — 5. Alors ; Oc ;
CL — S. léna; Poison. — 7. TR;
Sel ; Dure. — 8. Assises. —
9. Acheteuses
GUY BROUTY.
Edité pur » teJÆ C » le Monde.
Gérants :
Irewi Fwret, directeur de 1a pobRaUm.
Jacques Ssraxevt.
tnprburie
du • Hm): »
1 5, r. dnl ta riens
MR1S-IX»
Ssprodurtlon. interdite de leur -enr-
ôlas, asc/ accent nce l'atmixittrnUM,
I
f
Page 18 — LE MONDE — 13 septembre 1975 *
RADIOTÉLÉVISION
SPECTACLES
TRIBUNES ET DÉBATS
Enfances
CStalt assez réussi, jeudi sur
FA 2, (a Mystère Frontenac, ren-
fonce da François Mauriac, la
propriété familiale, les Landes,
r adolescent rêveur, la balle vais-
selle, la chasse, les chevaux, la
mère très digne que l’on vou-
voie, ronde géteau et le père
qui n'est plue. Au bout d'une
heure, on en avait assez, mats
le début accrochait bien. Surtout
comparé A la dramatique tirée
des souvenirs de Pierre Qascar
la Meilleur. da la via. la veille,
sur TF 1. Là c'était le Jura, te
petit village, le gamin boudeur,
ta soupe, le véb, le braconnage, .
la méchante tante et papa qui
n'est pas là. Cétalt gris, c’était
ptaL
SI la couleur ne fait .pas le
bonheur du téléspectateur, elle
y contribue beaucoup, d’est cer-
tain. Au même dire que r argent
tf ailleurs. Comment ne pas réver
devant ces ors, ces Verts, cette
châtelaine en deuil égrenant son
chapelet au coucher du soleil
« sous les hautes frondaisons
d'un parc centenaire ». Tandis
qu’une fermière, en tablier noir,
repiquant, le visage blafard, sas
rangs d’oignons, cela parle moins
à r Imagination, forcément. Pour
réussir, aussi, rien ne vaut la
réussite. El le futur prix Nobel
n’est pas étranger à Hntérét
qu’on prend au poète en herbe.
Et puis las bons sentiments,
ou les mauvais, peu Importa.
L’essentiel, c’est qu’lis soient
grands et torts — ceux de
Qascar étalent Incertains, — oui,
r amour ou la haine, exprimés
sans fausse honte et sans res-
triction, emportent le plus sou-
vent Fadhésfon. Il faut y aller
carrément. Ne pas oublier que
récran — petit ou gros bout de
la lorgnette eu choix, — déforme
et s’accommoda mal des demi-
mesures, des deml-telntes. Fran-
çoise Vamy et Maurice Frydland
semblent ravoir en partie
compris. Sans avoir lu le roman
da Mauriac, on le respire, on
rentend, on la devine d’abord,
dans la transparence d’images
et de dialogues fUgtranéa.
Ensuite on le perd, on s'égare,
on s'enlisa. Monté à Paris, la
héros grandi a des peinas de
cœur. Ses silences pèsent des
tonnes et ses regards globuleux,
opaques, sa veulent profonds et
sonnent creux. Serait-ce la faute
du livre ? Cala m'étonneralL
VENDREDI 12 B SP i 'kkrgwtg
— Ü. Roland Leroy, secrétai»
du comité central du parti com-
muniste et directeur de F Huma-
nité, est lTjrvtté de Jeaa-MlCbel
Desieimes sur Europe I à partir
de 17 h. 30.
— . La CJP.TX2. e x p rim e «nn
point da vue sur la rentrée à la
tribune libre de FR 3. à 19 h. 40.
théâtres
Les salles municipale •
Pour tous renseignements concernant
rensembïe des programmes ou des salles
Châtelet, 20 h- 30 ; Valsas da Vienne
Nouveau Carré. 20 b. : Cltqiu k
l'ancienne (square EmUe-CHau-
tamps) ; 21 b. : Histoire du soldat.
LE MONDE INFORMATIONS SPECTACLES:
704.7020 (lignes groupées) et 7Z7.4234
Les outres salles.
de 11 heures & 21 heures,
les dimanches et fours fériés)
DIMANCHE 14 KKMM'MtarmKia
— M. Georges Marchais, secré-
taire général du parti commu-
niste. répond, en direct depuis 2a
fête de VHwmxmitè aux ques-
tions de Jean-Pierre Htabbadi ■
sur France-Inter, è j t a r M f a» i
12 heures.
LUNDI 15 HKUimiARme
— M. René Baba, ministre de
l’éducation* est llnvtté divan
Levai sur Europe L -de 6 h. 40 &
8 h. 40.
— M. Michel Poniatowski parti-
Ipe & l'émission « Le texte et
dpe & l'émission « Le texte et
la mares » sur France-Culture,
à 10 h. 45, à propos de son livre
Conduire le changement.
— MM. René Habg. ministre da
l'édaeatton, et Paul Laurent, \
membre du bureau -politique du
parti communiste, répandent aux
question de Philippe Bouvard sur
R.T.L, k 13 heures.
CLAUDE SARRAUTE.
— M. Jean-Jacques Servan-
Schretber, dépoté (réformateur),
de Meurthe-et-Moselle, est l’in-
vité de Jean-Pierre Blkahhach
sur Erance-mter, à 13 heures.
ântnhte, 20 .h. 30 : la -Tube.
Al Vtncsnnes. 20 lu 30 s
Cttxoolüa.
Comédie Canma i ttn, XL tu 10 s
Comédie da Champ» - Ejtees,
20 iu 43 : Viens ches moU j-hstdto
T^na fpplTVf y,
Coni da Mtndw. 21 lu : Gwnpa
d» mutions rock : 23 h : Jacques
Bloc .
Duboh. 21 tu r Monaleu*. Mesure.
Gaîté - Montparnasse, 20 . lu 43 :
Butley. ■ •
Hochet», 20 tu 43 : U Cantatrice
chauve ; U. l**foa_ ■
Le Lantâiln, îs h. 20 : ftaflO et
us: 20 tu 48 : las Ohaisa;
22 tu 15 : Bade.
Michel. 21 tu 10 : Duos sus canapé.
Nouveautés? 21 b. ; la Libellule.
Salnt-Geoixo, 20 lu 30 : Ctoque-
Monsieur.
Studio da Oiamps^Bjsécs, 30 tL 43 :
la Bolttoda d*tm gardien de bot.
Théâtre Cazapagne-Premiere, U lu :
1 m 60. 8S Mtr» et ça emni
20 h. 30 : le Presse- purée da Des-
taing ; 22 ta. : mdla (dan») :
23 tu Patrick Atari al.
ThelUre Frisent, 20 b. 30 : Zo»
Dxeam. — Bsnc h. 20 ta. 30 : Terreur
et Ben.
Vendredi 12 septembre
Le music-hall
Bobina, 20 tu 30 : BrasU Tropical.
Casino de Paris, 20 r* 43 : Berne
Botaad Petit..
Slysee-Montmartre. 20 lu 43 s His-
toire d'oser.
Folles-Bergère, » tu 30 : J'aime A la
folle.
<n*m0la. U b U ■■ Montoodiu
Taverne de P Olympia, ZI ta. 30 r
ZAve-tol et riens.
visuel). 30 tu : Uobtra o&U
Cln: 2J tu : Artisanat rivant'
Musée Gnimet. 18 tu 90 : Fl
musicaux
Sorbonne (amphl RfehaB.
U lu 30 : Forum D. tTEatma. ri
(Bavai) .
Festival de musique
de chambre de Paris
Les opérettes
Henri-Varna - Mogador, 90 tu 30 :
Fiesta ; taonunags A Luis
Eglise Saint-Médard. 31 h. : Otnbf
de Bernant Thomas : J.-J. I
tarow. violon; JS. Pédant. vto
celle (Chevalier da SalntrQM
BocctaerlnL Vivaldi. Moaazt). ;
Les concerts
Festival de Sceaux
Voir Festivals.
Hâtai de Bondertlle, n h. : Quatuor
VI va Nova (Mozart, Haydn, Havel).]
Odin de Bonrg-la-Eteüie. 20 lu.
Quatuor vocal iCedxoTT (mm
religleuao et folklorique rang)
La danse
Théâtres de banlieue
VXQcJulf, Théâtre Baznaln-Bolland.
21 JL
Voir Théâtre Cmpatne-Prenttw.
Espace Cardlzu a a . Plloboins
Théâtre des Champs -Elysée*.
20 tu 30 t Ballet national da
Colombie.
CHAXntZS I
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PltSllMU
de Unie
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I 31 tireras ,
SAMEDIS
MUSICAUX
LES PROGRAMMES
VENDREDI 12 SEPTEMBRE
< Lé Monde » puHf* Ions Iss
mPlérO «4*44 Ait
lundi, us supplément ndîo-£Uê-
VUoa aroc Isa programmas compte*»
de laf semaine»
CHAINE I : TF 1
20 h. 85 (RJ, Au théâtre ce soir : « Constance ».
de S. Maugham, avec E. Feufllère, G. Tréjean,
D. Grey, mise en scène Michel Vitold.
La vengeance «Tau femme de In grande
bourgeoisie de Londres, au début du siècle.
glissa vers la faite lorsqidèOe est soignée
selon les méthodes de te psgehtatrie tradi-
tionnelle.
0 h. 10, Journal de TAZ
théâtre de la tempête
cartoucherie
328 36 36
quand «Si apprend que sou mari ta trompe
avec sa meilleure amie.
22 h. 25. TT! dernière.
CHAINE III (couleur) : FR 3
20 h. 30. Série: CSviUsaüoiu de lord Kenneth
Clark; réaL M. GUI. Seconde partie: «Le grand
dégel» s
citrouille
ce jt?cn barbeau
CHAINE II (couleur) : A 2
20 h. 30, Série : Benf owsld (n* 4).
L )i enfant truculent et féroce
LE CRISPOUGNE
par Daniel Thibon
JACQUES BOURGET
Gérard Devouassoux
le souffle de la montagne
m se en scene
de dominiaue serrocu
P estival estival
0 U “*"' P J Quatuor PABffl
p*r
VMnalitaJ
HHtareé - Sériai - RM
Jardin d’ttcfflaatatlas. U ta. 30 i
OBBM (P. Mariétani.
Jardina dn Palais - Royal (audlo-
URS SCHMIDT
prâaente ■
DANIEL JVERNEL
PIERRE CONSTANT
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THÉÂTRE—
GATTÉ-MONTPARNASSB .
REPRISE
DU GRAND SUCCÈS MM
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Des têtes pensantes
aux cancres de xénies..
LES SURDOUES
par Rémy Chauvin
professeur a la Sorbonne
21 b. 20, Document; «Le rendez-vous du ciel»#
de P. Tairraz.
22 h. 10, FB3 «ctnaPifa,
FESTIVAL ESTIVAL
FRANCE-CULTURE
20 lu (FestlvM d'orange], r Orchestra national da
France. <Sr. L. Maaxst, au Théâtre antique x a OtaUo •
(Verdi), avec J. VJckara, T. Zylla-Gam, K. Nurmria i 22b. 30
(R.), « Mémoires improvisés » de F. Claudel, par J. Am-
raucbeJ 23 DS fa nuit, par E. La Mac et (L-M. Duprsr;
Editions Stock
21 h. 30, Apostrophes, de B. Pivot : « Les enfants
sont doués, mais pour faire quoi?» ; 22 h. 35,
Ciné-club : -Family Life», de K- Loach. (1971),
avec S. Ratdifi, B. Dean, G. Cave, KL BiddelL
FRANCE-MUSIQUE
Dite jeune UUe instable, incot
mère qui veut parler et décider
tse de sa
sa place.
. 20 lu 5 (S.), La. Dons mouvements, par A. Francia i
10 lu M (S.). Echanges Memsflonaux da Radio-France i
Concert par ['Ensemble studio lu da Strasbourg, dfr. D. (Clef-
fer i «.-Quatorze manières da décrira la phila. oms 70 •
(H. Etaler] j • SI* llcder, opus la » (Weber) t « Trois
poème» • (Ravel) ; « Erotique vallée » (A. BaaqMrt) ; e te
Lune et la Poissons d'argent » (D. Kteffer) j
MAISON DE LA RADIO
mercredi 17 se p temb re# 20 h 30
PHILHARMONIQUE
SAMEDI 13 SEPTEMBRE
YVES PRM
CHAINE I : TF 1
20 h# 35, Variétés : Numéro un i Alexis Waôreen-
berg, de Maiitîe et G. Carpentier, avec : J. Clerc,
J. Jamison, KL Bloch, P. PowoIL A. Cure et les
Petits Chanteurs à la croix de bols ; réaL EL Bena-
mou; 21 h. 50, Série: Poylon Place n* 1; 22 h. 40,
A boni portant : Jacques Martin; 23 h. 30, IT1
dernière.
CHAINE III (couleur) i FR 3
20 h. 30 (RJ, Un classique de la télévision :
BOUCOURECHUEV : Amen
MlftOGUO : Fusions (création)
ZIMMERMANN : Concerto
pour violoncelle
les Perses»# tragédie d'Eschyle; texte français
et réal. J. Prat Musique originale de J. Prodro- ;
mides. Avec F# Chaumette, KL Meriko, M. Garrel,
21 h. 45, FR 3 nctuaJrtré.
JACQUES WIEDERKER
FRANCE-CULTURE
Loc. FEP, 4, r. Frttros-St-Sévarfa
CHAINE il (couleur) : A 2
20 h. 30, Dramatique : Coup doubla {« le
Bouc émissaire •}, d'après le ramas de N. Freellng,
adapt. R. Muller et IL Sdplon, réaL M. Cravenne.
avec F. Finlay. F. Prévost O. Versais.
Bons ^atmosphère dhasie petite atüe da
BoUande. l'enquêta d'un inspecteur de police
qui reehertsho un auteur de lettres anonymes.
22 11, Variétés : Dix de dur, de Ph_ Bouvard:
22 b. 65, Journal de TA 2.
20 lu. Carte Manche, par L. Skw : « SambeHon ». de
A4. Mann arec J -P. Moullnot, S. Flan, P. Fermé, réel. 6. Detau-
ney i 22 lu, « La fuflué du samedi ou ml-fuaua, mUratstn ».
Un dlvarttasarneu da J. CJwoooei, animé par 8. Jértbm
JORGE LftVELLI
Décor da
HAXBI6HBB
Première le 13
NfiAUlitnM
Oa répéta actaellement aux X
AKB8 «taw-Vb compris » _
relie revue satirique de RE
gg VélttMIP et CBBI5
VBSEL qui en seront Ire p.”
Mise en Mène de Jaeaure ABX. _ I * *
âMBégrepMe de aide locaft PhflCŸlH
Première publique le 20 sêptem Vl 1 1 13 Ri II
24-27 septembre 20 h 30
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| ÉGLISE DK BLANCS-MANTEAUX
12, rue des Blancs-Manteaux, Paris-4*
Place 25 F et 15 F (moins da 25 ans)
Location stand dn festival FHAC MONTPARNASSE
-136, n» da Ranne*. ParW», sauf dnnanc|ie ethaxS
PQBUCIS HAR6NM v.o. - STUDIO JEAN COCTEAU vu. - FRANCE ELYSEES
' PAfflUWiniT OPERA v.f. - CAPfiJ v.f. - PARAMOONT MAILLOT v.f.
PARAK08NT MONTPARNASSE vJ. - PARAMOONT ORLEANS i-t
TRftNON Draacy v.f*
inds films
inoks j
B Les i
Unes de I
kgart
FRANCE-MUSIQUE
20 tu 5 (SJ, Sol rte lyrique, per J. da Solfiera ; « la
Légeoda da Sainte EJhabath » (Liszt}, par tes chœur* «t l'or-
chestra . phimarmonlqgw slovaquea, direction J. FerencslK
avec Ere Andor, Eraehoth Konteasy, KOta Korets ; > Sonate
an ai mineur » (Liszt], par France CJtdatf 23 lu. Vieilles
ciras, par C Lehman (Liszt] ; 24 h. (S.), Anonymes et xaotl-
mantalBs, par s. Derme lllaco et J. Maricovftu
THEATRE D ORSAY!
'BAru
CieREHAUD BARRAUnS
DIMANCHE 14 SEPTEMBRE
réouverture,.
15 septembre
' . 6 concerts
chantpopulaire chilien
CHAINE I : TF 1 .
20 h. 35, Film : les Veinards, de Fh. de Broca.
J. Girault et J. Pinoteaa (19S2). Avec F. Péri ex,
F. Blanche, M. Darc, D. Cowl, P. Mbndy, J. Maü-
lan et L. de Funès.
d après EL de Monireid; réaL G. Guillemot et
P. Lary (deuxième épisode:- • rEmbuscade »).
20 b. 30 (Film : « N_ s pris les dés »# d’A. Robbe-
Grillet.
Le- héros - narrateur loue aux dér tordre ,
de succession des événements «Ti ma histoire 1
Cinq sbstches contant les aventures
Ces Inti-lHimani
L Parra- P. Castülo
ks 15-16-17-18-21-22
comique* de cinq personnes qui ont eu la
eh once de gagner i des concoure ou a ta
. Loterie nationale.
22 h, 10, Questionnaire : Roger-Gérard
Sdnrarmmbexg, pr of ess e ur de sociologie poli-
tique ; 23 h. 5, IT 1 dernière.
gui sa déroule aussi hors du film. Aventure <
énorme qu'a faut reconstituer comme un i
p uzzle. Mtaia te pumde est diffieOe. n a
plusieurs dimensions. - -
21 h: 45, FH 3 actualités.
en alternance
Hareld
et Maifde
CHAINE II (couleur) : A 2
14 h. 50, Füm (RJ - « Maxie-Anbüsetta », dé
J. Pelannoy (1955) ; avec M. Morgan, R. Todd,
J. Morel A. Clariona, G. Tréjan.
, La vie publique et privée de Marie-Antoi-
nette, dauphine, puü reine de France 11774-
1793). Le r&e que leva ÏB comte suédois
Axel de Fersen, entre elle et Louis XVI.
20 h. 30, Variétés : Système 2> de G. Lux ;
21 h. 30 <•) GU, Feuilleton.: La parleuse de pain,
réaL M. Camus; avec M. San»y, Ph. Léotard,
G. Anys ; d’après X de Montépin.
22 h. 20, Catch; 23 b. 5, Journal de XA2.
FRANCE-CULTURE
' . H ,t i La-Comédle-Fraticilse p r iis ntii « tes Fourberies
de Scapjo s et c le Jalousie dn tsrbouHIé », de Montre ;
20 tu. Poésie 7 20 ru 40. EriMneu avec te BJ L C^ xx* ■
Festfvai tTAkunursh- ! « The fsfry queert », opéra de dwn-
bre de PurcHI. arec i. Vyvyan, M. Write, A Hodeson ri
•Vrdrestre ne chambre anfltete, fflr. Brelairiit Brflten-;
22 h. 20, DWnns: 23 B, Bteck and Bine, par L. Maison j
MadalôMiGanâld
3 e année
25 représentstrons
excaptxotifiefTèg
FRANCE-MUSIQUE
CHAINE III (couleur) : FR 3
2Q h. Feuilleton: Les secrets de la mer Bouge.
U h. ao (S.), La tribune da critteba da dlaoees,
par A. Panfqri : « Quatuor opte 54 n> 2 » (Heydn) ;
20 h. 30 Concert dan régna SalnSOennalodev
Pris par -rorrinetra phltearmonteve de le Radte-T4M»bioo ;
, bol landaise et tes Chœur» da Lausanne, «flr. J. Fboruri :
« te Martyre de .saint SAwtWfl » (Dsbussy), .arec E Man-
chet, soprano i 22 B. (S4, Après Debussy, par D. Cotfins j ‘
les Emigrés
LaomtTttzîsff- Gérard Danieà
mise eascènB RbgéT^É '
7,q3g ferifePatà -Ttt. 5BÜ EM
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Les films manpiéj f*j sent
Interdits au moins de trefxe ans,
) su moins de fl l r-li nl t
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suldees bien en. de - M. Conmot ;
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Looey ; O 11 30 : Black Bbd, de
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65-13) ; Oaumont - Convention, 1>
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8* (359-53-99), Montpamaaee-Fathé. '
14* (328-85-13), . Oaumoat-CoDven-
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! Quintette. 5* (033-
_VJ- , : Athéna, 12* (343-
«pJÿ-FMay, 16* (527-4i-iC).
VILLA DES DUNES (Fr.) : Olymplc-
PlgOZZL 14* (783-67-42) fl euJlwn.) |
LE VIEUX FUSIL (Fr.) !•) •
George- V, ^ (225-11-46). Mariraux.
2* (742-83-90). Paramount-ElyBâeB,
8* (358-49-34). Fanunaiwt-MQnt-
martre. U* (806-34-35), Paramonnt-
Montparnasse, 14* (326-22-17), Pa-
ramount- Maillot. 17» (758-24-24). 1
Paramoimt-Orïéüu 14* 1530-03-751
Publicla Saint- Germain, fl» 1222-
72-80), Boul'-Mlch’. 5* (033-48*29). i
Paramount-BastlUe, 12*' (343-70-17)
VIOLENCE ET PASSION (IU il ,
angL) : Cinoehe de Saint-Germain
6» (633-30-82). J
YAK USA (A« V-O.) (— ) ; Mercury, a» I
WMjTO-eO). VJ. ; Abc. 8- 1
nié Oiristine 6*
325 85 78
letton Christine 4
p2 grands films noirs
Richiril Brooks
Bas
es masques
Bogart
Dassin
Les forbans
delà nuit
Rkhard Widmark
2 JM 8 ), 14 - James, 11 » ( 7 DO- 51 - 13 ),
□aumône - Convention, ly (a 2 &-
42“27).
r ^«2ppN, LA HONTE DE LA JUN-
ULE (Bel», V. arn.) ; Ermitage. 8*
. ' 359-15-71), Vendôme,- 073-97-62).
Cluny-Ecoles. 5* (033-20-12). V. F. ;
^ 2^-83-93). Rotonde, 8*
(833-08-22). Mur a t , 16* (288-99-75).
Cambronne, 15» (734-42-96), Ml*-
tatl, 14* (734 -30 -70) (à partir du 15).
(AIL,
LA TENDRESSE DBS LOUPS ,
vn. : Olynrplc -Entrepôt. 14* (783-!
Q7-42) (mer., mar.).'
• - • LE MONDE — 13 septembre 1975 — Page 19
POBUGSCfflAH»^
PARAHOUHT OPERA vf PARAJIWÜNT HWIFH«ASSEvf
PARMHW f WtflOTvTPASSYvFHJIZZflvF ■
STIÜBO PABLY 2 w ELYSEES 2 La Ceüe S^Ckxid vf ARTH. Rosny w
ALPHA AiBsnteiflvFCARRBiiBB Panfinw DAIBE BLANCS BaraesvF
Dfbr PABAIBBBIT la Ifarenn ew BWff tfal dTarr esw
Onreste éberlué, abasourdL.
C'est irrésistible.
ROBERT CHAZAL- FRANCE SOIR
Le dialogue est époustou-
flant Avec Woody Allen, le
monde des Marx Brothers
renaît
MICHEL MOHRT - LE FIGARO
Après le phénoménal BANA-
NAS... tm rit très souvent
FRANÇOIS CHALAIS - EUROPE 1
Woody, le héros le plus intel-
ligent de toute l'histoire du
cinéma pariant
REMO FORLANJ - R.TJL
unaEBD
IfURDGBABBlEBE
S iRAVARy
I JEROME SAVAHV - RCXAWDTOPOR
1 — MPCL PU 88AHAT- . IVCKa
Mam&aBcn I
Romantique
et plein d'humour,
décors à la MELIES,
comique à la CHAPLIN,
une. énorme parodie
en ; forme de farce.
ara cinémas ;
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»
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«<K)I>Y DIAYE
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GUERRE et AMOUR
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UNE PRDDUCTIOH JACK RtWJHS- CHARLES H JOFFE
p* OW&fS H. JOffE éqî h rfafiri par WOCOY ALLBi
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•
U. DURAS : D'une Inde k loutre (India Sang).
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Table mode : MUestones et sous.
e
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CINÉMA MILITANT ET ACTION GULTURELLE
Bilan de l'Agraœ d’Actualltés Audiovisuelles.
JAPON : Activités de cinéastes engagés, OGAWA et YüMOTO.
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Le numéro est en vente dans lee Uosaues (15 F).
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ALPRA ABSQiïEM. • PARAMOUNT U YUEHEe DUS 2 DBSAY* BOBIGNY 2
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t
Page 20 — LE MONDE — 13 septembre 1975 . ■ •
ARTS ET SPECTACLES
«■»■*.» »#«.•? i‘ -
£ŸrJ.s-.:
Théâtre
La ligne de vie
du Palace
• Un théâtre qui « rend
compte » des idéologies contem-
poraines, qtrî vit le présent, qui
joue la comédie do monde, on
« théâtre plein de théâtre ».
comme on dit d'on tableau de
Van Gogh qu'il est «plein de
peinture», un théâtre du plai-
sir pour les yeux, pour Fesprit
et le cœur : Pierre lu ville s'ins-
talle an Palace avec une joie
prolixe, avec 170 000 francs de
subvention, une option de qua-
tre-vingt-dix-neuf ans qui lui
donne un «*ntlwwit d’éternité,
et une cataracte de projets
« raisonnables ».
• Etant donné le nombre de
spectateurs potesbeb pour un
théâtre de création, et le prix
des places qu'ils sont disposés
à payer, combien de spectacles
est-il raisonnable de program-
mer ? Réponse : dix, compte
tenu des deux salles. La grande,
avec ses fresqnes rétro ; la
petite, encore plus rétro, grotte
tapissée de glaces pour l'inti-
mité de l'insolite.
O Pierre LaviDe compte sur
le public existant. H ne possède
ni les moyens ni le temps
nécessaires à une animation-
formation culturelle, activité
qu’a a bien connue quand U
était avec Pierre Débauché
directeur du Théâtre des Aman-
diers, à Nanterre. Mais le
Palace est à Paris, le Paris
grouillant du faubourg' Mont-
martre, chargé, de Zola â
Varna, d’histoire et d'histoires.
• C’est un théâtre privé. La
subvention de Pierre L&ville est
destinée au budget production ;
les recettes, au budget fonc-
tionnement. Les bénéfices éven-
tuels seront réinvestis. Les
spectateurs Individuels paient
85 francs, mais U suffit d’adhé-
rer pour payer 18 francs, et
pour adhéra-, fl suffit de payer
20 francs par an, ce qui suppose
d’aller voir au moins deux
sp ec tac l es pour conserver
l’avantage. Les scolaires et les
titulaire de la carte Vermeil
paient 10 francs.
G Dix spectacles, une ligne :
la ligne de vie. Marcel Maréchal
ouvre le feu avec «Une ané-
mone pour Guignol », du
30 octobre au 53 novembre.
Alberto Vidal joue, & 19 heures,
■ le Diable à ressort », du
7 octobre au 23 novembre. Copl
présente « la Pyramide », du
27 novembre au 15 janvier, à
22 h 30. André Benedetto pré-
sente « Alexandra K », dn
2 décembre au 16 janvier. Fablo
Pacchioni mettra en scène «les
Musiciens, les émigrants», de
Liliane Atlazx, qui sera donné
dn 20 Janvier au 29 février, et
« Tiens le coup jusqu'à la
retraite, Léon », de Georges
Michel, qui terminera la saison,
du 21 avril au G juin. Entre-
temps. Armand Gatti viendra
avec la nouvelle version de «la
Passion du général Franco »,
du 4 mars au 1S avriL C'est le
jn ^r annne de la grande salle.
Dans la petite. Thierry Boso
présentera, du 23 janvier au
29 février, « Lazare lui aussi
rêvait d’Eldorado ». de Sarra-
zac ; Jean-Marie Patte mettra
en scène sa première pièce,
«Dites-lnl que j’entends mou-
rir», du 4 mars an 11 avril, et
Daniel Mesgnïch, la première
pièce d’Yves Gonrvfi. « Prési-
dent Schreber», du 15 avril au
23
COLETTE GODARD.
DRAGON - B.YSEES LINCOLN
CHEVAUX
Vf DE - --
FEU
’ un film da -'-.
‘ . SERGE PARADJANOif
Cinéma
« LA KERMESSE DES AIGLES »
de George Roy Hill
Dans Butch Cassidy et le Kid.
George Boy Hill racontait l’histoire
de deux grands gosses qui révalent
de jouer les terreurs du FaiMftfest,
sans se rendre compte que l’époque
des brigands de légende était révo-
lue.
On retrouve dans la Kermesse des
aigles ce thème de l'aventurier
«déplacé - (déplacé dans le temps)
et confronté avec un mande qui
n’est pas le sien. Mais, cette fois,
au lieu d’étro de minables pilleurs
de banque. les personnages de
George Roy Hill sont d’authentiques
héros. Anciens aviateurs de la pre-
mière guerre mondiale, rescapés de
ces duels fantastiques qui opposaient
en plBln ciel des ennemis cheva-
leresques, Il leur a été impossible
de se réintégrer dans la vie civile.
Plutôt que de renoncer à voler. Ils
ont préféré devenir des saltimban-
ques de l’air. De meeting en meeting,
ils risquent maintenant leur peau
en exécutant devant des foules
ébahies des acrobaties Insensées.
Toute la première partie du film
reconstitua avec humour et une
sorte de tendresse nostalgique
l’atmosphère de ces kermesses
provinciales. Loopings, tonneaux,
vrilles : les petits biplans font des
cabrioles qui. parfois, s’achèvent en
chutes mortelles. Aux commandes
de l’un d’eux, Waido Pepper, le
plus jeune, le plus audacieux de
ces demtaoldes de la vieille épopée.
Le plus hâbleur également, allant
jusqu’à prétendre devant les filles
qu’il a tenu tâte Jadis à Emet Kessler,
l’as allemand aux soixante-dix vic-
toires. Kessler, que Waido va ren-
contrer & Hollywood, où, interdit
de vol, il a fini par se faire embau-
cher, et contre lequel il livre, pour
les besoins d’un film, un combat
fHctice qui très vite dégénère en
rixe aérienne.
K y a une balle Idée romanesque
dans cette histoire : celle de la fic-
tion Imaginée par Waido devenant
réalité à l’occasion d’une seconde
fiction (hollywoodienne œlle-là). Et
l’on ne peut réver mythomane plus
sympathique que ce casse-cou
exalté, romantique, presque enfantin,
auquel Robert Red Ford prête son
charme magnétique. Quand son
ancien commandant essaie d’expli-
quer A Waido que les temps ont
changé et que le rôle de l’aviation
est désormais de transporter avec le
maximum de sécurité possible le
courrier et les voyageurs, Waido se
contente de répondre : « Je ne veux
être ni chauffeur ni fâcteur. » Arro-
gance qui dissimule un secret déses-
poir. Le même que ressent Ernst
Kessler, contraint, pour payer ses
dettes, d'occuper un poste de
- conseiller technique » aux studios
ParamounL La scène au cours de
laquelle ces deux hommes, humiliés
et frustrés, l'un vivant dans ses fan-
tasmes, l’autre dans ses souvenirs,
font connaissance et deviennent
complices constitue d’ailleurs l’un
des sommets du film.
Un sujet original, qui rend hom-
mage à ces vertus oubliées que sont
■a loyauté et le sens de l’honneur :
des morceaux de bravoure filmés
avec un réalisme Impressionnant :
beaucoup de fantaisie sur fond de
gravité : voilà bien des atouta. Et
pourtant cette Kermesse des aigles
nous laisse sur un sentiment d'insa-
tisfaction et de vague ennui. George
Roy Hill a-t-il eu tort de prendre
pour héros un personnage dont les
problèmes sont è des années-lumière
des nôtres? Ou bien la lassitude
naît-elle de la répétition forcément
monotone des prouesses techniques ?
Toujours est-il que le réalisateur sem-
bla moins Inspiré Id qu'il ne l'était
dans l'Arnaque et dans Butch Cassidy,
et que l'on finit par trouver le temps
long A voir voltiger dans l'azur cas
coucous archaïques et ces chevaliers
d'un autre fige.
JEAN DE BAKONCELLI.
é Marlgnan. SaJut-Qeraraln- Vil-
lage (v.o.) ; caichy-Rathô. Mantpar-
naase-83, Gaumont-Sud, Gaumont-
Gambetta, Gsmnant-BJÔMJleu (vX),
Lettre/
« Bof ! » au Petit Larousse
(Suite de la première page.)
De cette liste, extrayons encore
('expression un sac de nœuds
■ affaire très embrouillée - ; les
mots flamber et flambeur, écologie
dans l'accepUon de « défense du
milieu naturel », sono, flipper » petit
levier d'un billard électrique qui ren-
voie la baile vers le haut» et qui a
fini par désigner la billard lui-même.
C’est un mot anglo-saxon, bien
entendu, et si le franglais s'accroît
encore de quelques recrues, tech-
niques ou financières, tel cash f/ow
(encore que nof money cède souvent
le pas è capitaux fébriles), on
pourra remarquer que leur nombre
est en régression, répercussion évi-
dente de la situation internationale.
Et puis l'allemand fournit lumpen-
prolotartat, sans équivalent dans
notre vocabulaire, et l'hébreu sabre
(è ce propos H était temps d'inclure
judéo-chrétien). Enfin, le cinéma
canadien, voire la littérature et le
théâtre, nous ont trop familiarisés
avec le ioua! pour que cet idiome
soit tu.
Dana la partie historique, la liste
des nouveaux venus s'efforce tou-
jours rie suivre l'actualité. La pre-
mier ministre français n'svatt pu —
hlmH K*l
LA CHINE
llhlS ISbM B X» IM*«
HANOI
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i4h«s-mt» 'CRpcioéif
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Z0h.22hS
H ASS
UNOHAHOPgrxpufisnvaLMCAwras^
ÉL.YSÉE5-LINCOLN
QUINTETTE
ftj-Vrhd
La vie dure
H y x pins d'au demi-siècle qa'oa
proclame la mon de l'ait, de U pein-
ture en particulier. Si c’était vrai, on
ne verserait pas une banc sur son
cercueil- En tonte justice, U peinture
devrait périr de sa propres excès.
Entendons-nous. On n’incrimine nul-
lement cene fais la outrances et la
outrages, voulus on subis, dans tons
la domaines de b création d’adlcors,
par des gens à la rech erche perpétuelle
dn neuf, mais plutôt une ré p étiti on de
procédés, "H* «n nmn larthfi d'CBlTlQ
se superposant è l'infini, tue bouscu-
lade dîne la . ■ nri d m mhm t du Snccès,
et qne dire de cens qni ont franchi
b porte i La peinture ne crève pas
encore d'indigestion. Seulement, la
p e i n tre s en aèrent parfois. S'ils se
révoltent cox-mcmes, contre leur
passe-temps favori, et en même temps
courre le syst ème social et économique
où l'art est englué a qui le « récupère »,
que penser de ce sursaut, puisque la
plupart fi n iss eu r par jouer le jeu? Ou
lait de l'antî-art (on sait depuis long-
temps qu’on ne fait de b poésie
qu'avec de l'anti-poérique), et c’est
encore de l’art, au sens noble comme
an s eus iffimnd du mot- Quant à
l'entreprise de d £rniTlSfî^ yn t comme le
déplorait à peu près je ne sais plus
qui à l’époque héroïque, on veux faire
la révolu non a on travaille pour la
collecrioaneun.
C'est dans cette optique que le cas
de Gérard Gasiorowski mérite qu'on
s'y arrête; davantage que pour sa
double exposition, plutôt mineure, ù
vrai dire, celle qui a pris fin jeudi
à b galerie Maillar d de Saint-Raul-
dc-Vcncc. et adle qui se tient à Paris
(1) — et qui a l'avantage chronolo-
gique d’ouvrir b saison : ou ne perdra
rien, même si on ne gagne pas grand-
chose, pour attendre. Un cas de déses-
poir chronique qui se traduit fc'est
peut-être ou lieu commun, ce sont sa
propres termes) pat un « constat
d'échec ».
Est -ce l’arrisre ou l’art qui est malade,
le peintre ou b peinture qui est
« blasée à mort »? A y regarda de
plus près, à suivre ks étapes derem-
rastes d'une de vingt ans, ou
plutôt de treize déd ocrions faites de
sept uns d'interruption, il y a confu-
sion des peina. Le dégoût de l’« aspect
(usiné » de la pratique de b pâleur,
allié (de son propre aveu) à « un cer-
tain Hiaifhian» », l'avait, une première
fois, fait lâcha sa pinceaux. Guéri,
à travées Warhoi a Lichtenstein, Q
leaooce à b couleur, et le noir, 1 qui
sied à b mort, le conduit sn-deU de
l’image, à une figuration narrative qu’à
s’acharne vite à ■ pourrir », pu exemple
Jj suite de tableaux intitulée
« période Barbhxm ».
Nouvel accès dautodestruoion, b
bond sourd de U bits féroce se renou-
velle avec persévérance. Notamment sur
l’accueil trop favorable da gravures — —
admirables, nuis quand on l’admire
il entre en fureur — a la acryüqaa
â’Alberthte disparue. peinture distiegnée
dans coqs la sens du mot qn’cm a pu
voir à l'Expo 72, « Douze ans d’art
contemporain en Fiance ». Tj* titra
d'onces séria sont suffisamment clo-
queras : les Importances, les Régras -
wj—
Lc positif dans tout ça, ce n’est pas
qne. présentant aujourd'hui T Artiste à
ï hôpital, Gosiotawsld ait co u vert ks
wnw de pansements barbouillés de
meimrochnuae et d’autres puru-
lents, dont fi n’a nul besoin de frire un
dessin pour dégager le « message »
symbolique. C’est que, pu un autre
tnédfnm non mnîiw signifiant, fi se
soit imaginé sur on lit de douleur, ce
qui nous vaut une suite d’aumpottrarts
autocritiques : Artiste ne trosoant pat
le sommât. Artiste attendent sa noar-
riture. Artiste rêvant son passé. Artiste
attendant sa fin prochaine, etc. Là
encore II bondira si oa lui dit que ces
dasîna sont bons, mais fis le sont. Une
fois encore, ce qu'il vent détruite (b
peinture), fi le détruit pirmra 1 »m»nr
Pourquoi alors associa le public à
l’échec, à la fascination exercée par
l’éche c ? Pourquoi le faire participa à
un humour désespéré, qui ne concerne
pas l’homme mais le problème de b
peinture, qui emprunte pour sauva
la face, tontes ces faces de fore (et vrai)
malade, le ca r a ct ère dérisoire de b déri-
sion ? Pour rédamer da «oins « un
secours, répond-iL
Sans engagement de sa part.
Gnshxowski, on veut le croire, n’a
pu renié sa premières amours : Corot,
Miller. Sûrement pas parce que ces
peintres connaissent perte année un
regain d'actualité. Milia surfont, qui
n'a pas fini de frire (re)pader de loi,
étant mort 3 y a cent ans. Après
Cherbourg, sa gloire emplira le Grand
Palais le mois prochain. Alors, pour-
quoi ne pas ajouta à ce concert d'éloges
on discret salut à b publication da
pins beux dessins de Jj- F. Mîlfo , cent
dessins choisis parmi la cinq rrnp;
conservés au Louvre a commentés par
Rosdine Bacon (2) avec fervent ?
J-M. D.
(1) Théâtre oblique. 78, nu de la
Hoquette.
(2) J. -F. Millet. Les pha beaux
dessins. Bibliothèque des Arts. 138 P.
palais strozii
florence
HITERÎIRTUHIRLE
135 €FTBHBR£
E OCTOBRE 1975
ST. MARIGNY v.f. - PAGODE (mat. vJ., sait vjJ - ST. RASPA1L 216 v.f. - LES 14 JUILLET v.f.
: ■~Y
rr ;
PWa f i Lrrp-
. : plairait ,
à Cha? lié Chaplin:
• UN FOM DE LUIGI COMSN QNI D'APRÈS UN CONTE PE COUODJ •
AVEC MNOMANnQX - ANDREA BAIES» . G*M ICUCBBGCA • VTTTOflXJ K «A
trop tard désigné — figurer dans
la précédente èfdltlon. Le voici entre
les indiens Chiquitos et la .vffie de
Chiraz. A leur place (alphabétique-
ment également), le- président et
le chancelier de la République
fédérale slemande, Walter Scheel
et Hefmut Schmidt, le président
des Plate - Unis Gerald Ford (Water-
gaie fait l'objet d'un article), le
général portugais Antonio de Spl-
nolâ el son successeur Francisco
da Costa Gomss, And rai Gromyto et
Gustav Husak, Constantin Carurnantis
et Moahe Dayan, Maria Estel a Mar-
tinez Peran et la général Augusto
Pinochet
Deux noms accroissent (a galerie
des philosophes français. Etant
donnés leur Influence- et leur rayon-
nement, Louis Althusser et Michel
Foucault méritaient cette promotion.
Peu d'écrivains, mais tout de même :
Michel Butor, itaio Catv! no, Aimé
Césafre, Ivan Illich, Mlkftall Boul-
gaJtov. Encore moine de peintres :
un mort. Mark Rothto, un vivant,
Andy WarhoL En revanche, les musi-
ciens font une entrée en force :
Jean Baraqué. John Cage, Charles
Ives, Gyôrgy Ligetl, Bruno Madame,
Krzysztof Penderecfcl. Maurice
Ohana~. Sans oublier maints archi-
tectes ni Marllyn Morves.
Sans prétendre épuiser le recen-
sement des deux cent vingt-neuf
ajouts majeurs du Petit Larousse,
qui a fêté cet été son sobeante-
dlxlème anniversaire, en même temps
que la librairie du même nom célé-
brait le centenaire de la mort do
Pierre Larousse: Il y a loin du
volume relié en toile rose avec la
populaire a Semeuse » d’Eugène
Grasset, vendu 100 sous, et le Petit
Larousse en couleurs, en passe de
supplanter l’édition ordinaire. On
soulignera parmi les agglomérations
nouvelles la ville de Vaudreull, la
station balnéaire de . Port-Grimaud.
« Le Monde » dépouillé
Le lecteur sera peut-être curieux
de «avoir comment «'opérant ces
refontes périodiques, totales A peu
prés tous les dix ans : comment,
de façon plus générale, ee met h
jour un dictionnaire. Cet énorme
travail est subordonné & des études
de vocabulaire, du vocabulaire
parlé couramment, donc abordé dann
sa souplesse, sa réceptivité, ' son
adaptation à tous les besoins. Entre
autres supporta, dans, un premier
temps, uns équipe de documenta-
listes dépouille méthodiquement les
textes récente, la presse surtout
— la lecture du Monde ee révèle
la plue riche, le plus fructueuse —
et procède i l'analyse des mots
considérés d’après leur sens, des
rapports de termes plutôt que des
termes eux-mômes et, d’autre part,
des mots nouveaux classés selon
leur fréquence. La moisson est mise
en fiches. Dans rie cas du Petit
Larousse, par exemple, le bilan des
recherches est établi chaque mole,
ce qui donne Heu è une première
sélection qui retient tous les termes
considérés comme Importants. 1! va
sans dire que ceux qui ont trait fi
une discipline, particulière seront
ensuite confiés è des spécialistes.
Au cours d'une seconde phase, on
tait un choix temporaire. Tous les
mots dignes d'intérêt ne peuvent pas
■ entrer dans le moule » d’un volume
au nombre de pages limttô et cons-
tant Il y a. en outre, les modifica-
tions, d’ordre historique ou géogra-
phique notamment, qui entraînent dea
développements plus longs. Ce qui
oblige è sacrifier d'anciennes g loires
oubliées. « Il ne suffit pas d’entrer
dans le dictionnaire, -disait le cardi-
nal Danlétou, le tout est d'y rester. »
Et pour en revenir à la » partie
langue ». la tâche n'est pas tadie.
SI la syntaxe n'a guère varié depuis
le siècle de U Bruyère, le vocabu-
laire français bouge terriblement.
JEAN-MARIE DUNOYER.
2 rr- r
P?.;
01
a*
■i.
- -i.-r.v_-
t;
SI
U Le Festival d’automne a décidé
de retirer de la chapelle Saint-Loris '•
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« rt B
Page 24 — LE MONDE — 13 septembre 1975 • • •
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3
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H. BOUVIER-AJAM.
J. IBARR0LA
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Dictionnaire économique et social
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En hommage
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Ethnologie et histoire
120 F
J.VARIN
Jeunes comme J.-C.
Tome 1. 1920/1939 - 20 F.
ÉQUIPEMENT ET RÉGIONS
'V-
■S*C'v-
A L'ASSEMBLÉE NATIONALE .
Le groupe socialiste demande
une commission d enquête sur la situation eu Corse
Le groupe socialiste de l’Assem-
blée nationale a demandé, jeudi
11 septembre, la création d'une
commission d'enquête parlemen-
taire sur l'ensemble de la situa-
tion en Corse. Dans leur proposi-
tion de résolution, signée par
MM. François Mitterrand, pre-
mier secrétaire du PB., Gaston
De /ferre, président du groupe,
Jean Zucc&relll et Nicolas Alfoiïsi,
députés radicaux de gauche de la
Corse, Louis Mermaz, député so-
cialiste de la Vienne, membre du
secrétariat national du PJS^ Louis
Le Fensec. député du Finistère,
délégué national du P. S. aux
réglons, les députés socialistes
expliquent :
«il entrerait dans la compé-
tence de la commission d’enquête
d’établir un dossier complet sur la
situation économique et sociale
de lHe et sur ses besoins. Le
recensement devrait être fait des
promesses non tenues par les
gouvernements • successifs de la
V* République, ce qui en grande
partie explique le drame actuel s
b En effet, la situation n’a
cessé de se dégrader en Corse au
cours des dernières années en
M. LE «NSEC (Pi.) : l'idée
régionale s'enlise. .
U. Louis Le Pensec. député
du Finistère, délégué national
du PjS. aux réglons, afflrm- dans
une déclaration remise à ’a
presse, jeudi 11 septembre, que
« le gouvernement laisse s’enli-
ser l'idée régionale s. H écrit :
« Devant le problème corse, de-
vant cet appel au pvivotr régio-
nal que confirment tour es
sondages . le gouvernement ne
propose que la force, délibéré-
ment provoquée par le ministre
de VtntérieuT, et le pire des dis-
cours centralisateurs txnus ar le
premier ministre (-.1. Le gouver-
nement espèr r t-ü que Fopb rf.'n
publique se laissera abuser par
des préfets — même corses en
Corse, bretons en Bretagne, alsa-
ciens en Alsace — et des admi-
nistrations régionales qui les
unes, en raison de leur mode de
nomination, et les autres, de leur
organisation, sont les meilleurs
instruments de la centralisations
• A l'appel de la fédération des
Bouches-du-Rhône du P C.P.. les
militants et synmpathisants
communistes d'origine corse habi-
tant à Marseille se sont réunis
jeudi soir 11 septembre pour
■ affirmer qitûs sont solidaires et
soutiennent le combat engagé par
le peuple de Corse pour assurer
sa survie ».
UN TRAIN
NOMMÉ « CORAIL»
La SM.CJ*. vient de présenter
à la presse son dernier-né. le
train - Corail », qui ne manquera
pas de surprendre par V élégance
et le confort de sas Installations.
« Fruit d'un dialogue entre les
voyageurs et la S. N. CF.
comme le souligne la compa-
gnie nation a! à, la conception de
ce nouveau train s'appela sur
une modification générale d» la
voiture ù couloir contrai : déclol-
aonnement, ouverture & la
lumière et ù J’espace.
De couleur gris foncé à larges
bandes claires (portes - corail ».
d'où le nom) la nouveau train
offre 88 places par voiture en
deuxième classe et 58 en pre-
mière, ave g des siégea « aWon ».
Los voitures, toutes climatisées,
constitueront des rames homo-
gènes avec une demi-voiture bar-
brasserie et boutiques, et la pos-
sibilité de servir des repas sim-
ples d choqua place.
De 1S7S A T 579, 1 500 voitures
de ce type eront livrées A la
SJ/.CF. qui pourra ainsi assurer
250 A 300 trains chaque leur.
représentent plus de la moitié de
tous les trains rapides. Les pre-
miers trains entreront oltlcfalle-
ment en service le 28 septembre
sur les réseaux Sud-Ouest - Sud-
Est.
Signalons, pour ce qui con-
cerne rhoralre d’hiver, dont les
caractéristique* ont été présen-
tées en même temps que le nou-
veau matériel, qu'il verra la mise
en service de turbotrelns. plus
rapides et plus confortables, sur
les lignes Lyon-Grenoble. Lyon-
Chambéry et Valence - Grenoble -
Genève. De nombreuses amélio-
rations d'horaires sur Paria-
Bordeaux, Puis -La Rochelle
(gain de vingt et une minutes)
pour le train direct et Paris-
Reims (neuf trains par jour). Da
plus, à partir du 25 janvier 1926.
la fréquence des trains sur Parts-
Rouen-Le Havre et sur Lyon-
Chambéry - Annecy sera encore
augmentée.
raison de J ' insuffisante mise en
valeur du pays. Les investisse-
ments ont été réalisés beaucoup
plus au bénéfice des sociétés ca-
pitalistes que des habitants. Les
capitaux, extérieurs ont donné
naissance à des profits dont la
croissance contraste avec l'ap-
pauvrissement des Corses. Il en
est résulté une dégradation des
conditions d'existence de la pay-
sannerie, un sous-emploi de plus
en plus profond et un départ
accru des jeunes vers les autres
région» de France.
» n y a Beu d'enquêter égale-
ment sur les conséquences qui
résultent du refus d’une véritable
décentralisation. Cela a provoqué
une redoutable absence des dé-
bouchés politiques, d’où la vio-
lence des explosions de mécon-
tentements actuels.
» La commission d’enquête
devra aussi taire la lumière sur
les causes des événements d’Alé-
ria et déterminer les responsabi-
lités encourues. »
M. RIOLACCI: l'allégement du
, dispositif des forces de l'ordre
se poursuit.
« L'allègement du dispositif
des forces de r ordre en Corse se
poursuit parallèlement au retour
au calme », indique Le préfet de
la région corse, M. Jean RioIaccL
dans un communiqué publié jeudi
11 septembre.
Ce communiqué répand aux In-
terprétations faites en Corse de
mouvements de forces de l’ordre
observés A travers nie, alniri qu'à
certaines rumeurs. « Les mouve-
ments . d’unités. explique le préfet,
sont liés au redéploiement des
forces de l'ordre en raison de la
rentrée scolaire. Quant aux quatre
véhicules, blindés de la gendar-
merie qui roulaient en direction
de Bastia le mercredi JO au ma-
tin. Os se rendaient tout simple-
ment au camp mlitaire de Borgo.
en vue de leur embarquement, le
12 septembre, pour le continent. »
A propos de la manifestation
prévue pour dimanche, le préfet
a ajouté : « Je n’ai pas de misons
d’interdire la manifestation, mais
si elle devait dégénérer, les lois
de la République seraient appli-
quées avec toute la vigueur né-
cessaire- »
Le préfet de la Corse a néan-
moins qualifié cette marche
d' « initiative spectaculaire prise
dans des conditions confuses, en
rue d’aiguiser les passions » et
demandé aux « représentante des
forces traditionnelles ou des
forces nouvelles de participer à la
recherche de l’apaisement ». .
A PROPOS DE»».-
La préservation des quartiers anciens
Bourg-en-Bresse revient de loin
H y a bientôt un an. M. Michel Guy. secrétaire d’Etat &
la culture, annonçait son intention d'inscrire à l'inventaire
des sites les centras nnrien» . de cent villes de France, afin
de donner & ses services un droit de regard sur leur amena-
gemenî. La ' réalisation de ce programma a mbiti eux est
lente. Mais elle a déjà permis le lanrement de no mbreu ses
études et quelques interventions heureuses, à Bourg-en-
Bresse (Ain) par exemple.
Il n’y aura pas- da » percée »
à Bourg-en-Bresse. On n’ouvrira
pas, au travers du centra ancien
de la ville, un boulevard de
18 métrea de large qui aurai!
gommé sur son passage toute
une série de vieilles maisons
dont deux, au moins, datent du
quinzième siècle. MM. Michel
Guy et Paul ■ Barberol, député
f réformateur; ef maire de la ville,
sa sont mis d’accord, mercredi
10 septembre. A Paris, sur un
projet d’aménagement plus » rai-
sonnable ».
■ Deux voles nouvelles (mains
larges que la • percée »■■ envi-
sagée) donneront accès A deux
parcs de stationnement situés
aux confins du centre (place des
Bons-Enfants et A prmümlté de
la rue Gustave-Doré). Entre les
deux, un cheminement piétonnier
et la réhabilitation des ma/sons
seront étudiés en détail par un
architecte. Enlin, le conseil muni-
cipal a donné son accord A
r inscription du site formé par
le centre de ta ville.
La secrétaire d’Etat à ta culture
exprime, dans un communiqué,
sa satisfaction dette parvenu A
cet accord. Bourg -en - Bresse
revient de loin, eri effet. La ville
est un gros bourg dont le mar-
ché commanda une vaste région
agricole. Le centre, qui couvre
uns dizaine d’hectares, s été, au
. cours.. des _ années, .entouré de.
gronda ensembles et de rocades
concentriques destinées A dé-
tourner fa circulation, IniensB
entre la. vallée du Rhône et la
Savoie. La prestigieuse église de
Brou, autrefois » A la cam-
pagne », est auluorxThuI en-
fermée.
La projet de « percée » qui
ligure au plan d’urbanisme avait
déli été imaginé vers 7875. Ache-
tant les terrains au tur. et 'à
mesure de ses possibilités „ la ■
municipalité voyait dans cp pro-
ie I le moyen, de rassurer . les
commerçants, Inquiets de l'ou-
verture de grandes surfaces hors
les mura. La cliché — pas de
voitures, pas de clients — était
solidement ancré dans les
TRANSPORTS
A partir do 29 septembre-
« MÉTR0VOSGES » RELIERA NANCY A ÉPJNAL
De notre correspondant
Nancy. — Après Métrolor
(Nancy-Mete-Thionvflle) en 1970
et, trois mois plus tard. Métro-
Orne (Conflans - Hagondange),
Métro vosges reliera Nancy à Epl-
nal (74 kilomètres) à partir du
lundi 29 septembre. Métrovosges
assurera vingt-deux mouvements
quotidiens entre la métropole lor-
raine et la vallée de la Moselle,
où se trouve près de la moitié de
la population vosglenne.
Métrovosges offrira six nou-
veaux trains (trois aller et retour)
entre Eptaal et Nancy, une de ses
navettes étant prolongée Jusqu’à
Remiremont. Les six autorails Die-
sel — la ligne n’étant électrifiée
qu’entre Nancy et Blalnville —
programmés aux heures critiques
de la journée, seront des trains
rapides (57 minutes entre Epinal
et Nancy et peu plus d’une heure
dans l'autre sens) avec deux
arrêts Intermédiaires. Les corres-
pondances seront assurées avec
les lignes de Paris-Strasbourg et
de Metz-Thionvüle.
Mis en place à partir d’une
étude de l'OREAM-Lorraine, le
projet Métrovosges, qui permettra
d’amorcer le désenclavement des
Vosges, représente un financeme nt
annuel d’environ 940 000 F. La
participation de l’Etat sera de
50 % la première année, de 30 %
la seconde et de 20 % la troisième,
le solde étant financé par le dé-
partement des Vosges (70 %) et
celui de Meurthe-et-Moselle
(30 %i.
Cette première section de Mé-
trovosges aura une valeur de test
Elle permettra d’étudier une
extension plus complète Epinal-
Remlremont (26 kilom èt res) et
la création, dtin Métrovosges bis
pour améliorer les relations entre
Nanqy et Saint-Dlé (via Luné-
ville. Baccarat, Raon-rEtape)
desservant la vallée de la haute
Meurt he, qui comprend 23 % de la.
population des Vosges.
plaisir de vivre
au calme en plein PARIS
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esprits. A Bourg-en-Bresse, fa
leçon expériences da rapràs-
guorre — l’accès d’un trop grand
. nqmbre de voitures dans un
quartier . dense est fa meilleure
façon de le tuer, — c'avait pas
été entendue. On continuait de
vouloir transtonner fa centre A
r image des grands ensembles de
fa périphérie. Et certains ache-
taient ludlcfausament les terrains
en bordure de fa future voie.
Mais, députa quelques mois,
roplnlon s'est émue de ces pro-
jets, alertée notamment par
rAssociatkm des amis du vieux
Bourg. Les spécialistes du secré-
tariat d'Etat A fa culture ont étu-
dié le dossier, notamment A fa
faveur du projet d’inscription du
site. Et fa conseil municipal a
finalement accepté — . les élec-
tions ne sont plus très loin — le
compromis dont se -félicite
M. Guy. La • percée > sera un
mauvais souvenir.
Bourg-en-Bresse est en tout
cas rheureux exempte de la
coopération ' possible entre les
services du secrétariat d'Etat A
la culture, cas empêcheur» de
démolir en rond, et les muni-
cipalités de bonne volonté.
Lancé II y a un peu moins
cf*un an, fa programme de pro- * î_ y : ;’
tection des cent villes com-,
mence & entrer — lentement —
dans les faits. Las _ centras
<T Epinal et de Lunéville ont été j
Inscrits parmi les sites. Celui de ' rf-
Valence fa sera blentOL Les pro- '
cédures- — plus ou moins .
avancées. — sont engagées pour
quatre-vingt des cent villes. Mais
surtout trente-six études dé-
taillées du alfa ont été confiéaa
à des architectes. Plutôt que de
s’en tenir à fa simple procédure
juridique (délimitation du site , et
Inscription }. la direction de far-
. ch I te dure ao penche ainsi avec
attention sur fa sort de cas.
villas. Afin tH.obtanir fa meilleur* 1 - ‘
aménagement -possible et, ps.®? - -. f"
exemple, dans les villes où fl .'V
prépare, un « bon » plan tToccu-^ ^ -.
patlon des sols (POS). soudeux^ .^ ’
d'architecture et tfbramonfa. fcr • ' -
fat-; • .
MICHÈLE CHAMPENOIS, fc -, ;r - -
î? r •
v
3
>1 ’r
te*
FAITS
r.
MT PRÙJMT^
Environnement
1
• SAUVER LE « VILLAGE
DE CHARONNE. — Dans E
lettre adressée à M. Berna- ir...;.
■ Lafay, président du Consi-'v
de Paris, r Association de sa?. '
regarde du village de, Ch;
zonne (11*) demande « l’e /
tension du pérônèfre de sq \ r- 1-
t regarde à toute la surfe, -
bâtie au nord, et au sud l - ^ :
la place des Grès » et « pK - , •
tège ainsi ressemble de l'a.’ •-
cien vülage » situé dans ; fe i. - .--.
vingtième arrondissement * • ■
Monde du 3 juin 1975). * ■
(I) 31, rus Salntr-BIalae, 75- &•' .v"
Fart* è:V-
• CASINOS HISTORIQUES. .‘î'...*’. -
A l'issue d’un séjour suri-
côte normande, M. Michel G- :
secrétaire d’Etat à la oulhr.
a déclaré de proposer l’ir ;•
cri p Ü on à l’Inventaire supp; ■
m eat alre dos mon sm en; J.’.
historiques certains édlfU
' caractéristiques de la fin
dix -neuvième et du début ....
siècle : rhôtel cNarmandy-
Deauvüle, le « Grand H0 te
de Gabourg où séjourna M
cèl Proust, et les. casinos!
DéauvUle et de TrouvUle, ,
fyywnplj» , niincT que pl mdrf
- villes. ’ '
Transports
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. L’AEROPORT DE CLÉ S
MONT-FERRAND. — t
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accueillir à pleine charge ( 33
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à l'exception toutefois * 5
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vient d'être mise en servie^ 3}
l’aéroport de Clerznont-q f-
rand-Anlnat. | g.
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Froneb i partir de 20 bouteil -
é
i
il. 7 -
LE MONDE — 13. septembre 1975 — Page 25
o, .
SL ^&:
tcsso rovi
LA VIE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE
AGRICULTURE
— !««,*
imu»t
LA «GUERRE DU VIN»
LE BUDGET DE LA COMMISION EUROPÉENNE
« “»«*W,j“ t ^5V»oine chercherait à éviter
k; :. ;:: •^^nmtement direct avec la France
DÉMOGRAPHIE
A T.F.l.
De .notre corresoondant
11 ™ * *» ■»
De notre correspondant ET mois EH
— Une première réponse
- aux mesures françaises
■ donnée, vendredi 12 eep-
' début d'aprèe-aikfl, par ie
■ ‘q..^ interministériel chargé dé la
ij -» économique Internationale.
.-.T. ^stissalt clairement avant cette
... que le gouvernement de
• '.' ^ie resterait pas les bras crol-
- ’* S .--ànl des décisions unilatérales
.„ l -"‘fcr été accueUiles dons la pénlo-
: ’;/ec nervosité. Toutefois, la
, c . b la riposta est apparat moins
que ne la laissait penser la
V 'jrj.llon du mlntebe de l'agrteul-
j. Giovanni Marconi, qui réclfr-
* ; ' ••n : V anfl . soir, une. réunion Immé-
j gouvernement pour adopter,
rot des mesures de rétorsion.
. . " r 'fcftf.ris a violé les régies commu-
ont fait. remarquer les par-
: ->>.de -la modération, nous les
aussi en bloquant les
•’ e.i s tiens françaises de viande, de
’ *î • ;iJ» ou de produits laitière. L’ite-
'.-.ir..." désireuse, en tout cas, de
jpel & la Cour de Justice de
•-v.i Jtourg — ne ee verrait-elle pas
•'* :-j'. vie h son tour pour les
. raisons ?
■-hése modérés qui semblait
• fr dans la soirée de Jeudi
■ - lit un moyen tonne : une
. sorte de grève du zèle aux frontières,
officielle en quelque sorte, qui se
traduirait- par une miiltlpEbation des
contrôles santtalrae, gênant ainsi
fortement les exportateurs français.
Le procédé. Inélégant sans doute,
aurait r avantage d’empêcher une
véritable guerre aux conséquences
politiques Imprévisibles ttL permettrait
au gouvernement Italien de gagner
un peu dé. temps.
M. Marcora tul-mème a ' cherché à
calmer tes esprits. Aux Journalistes
qui nmerrogealent eur une dôda-
ration — malheoTBUse — de son col-
lègue français, M: Bonnet; (i'Jta/le,
aurait-M dit, est «un pays mervatf-
teux, mais aman Etat-). le mbiletre i
de l’agrieutture a répondu : « U (toile \
a démontré être un Etat- Le gouver-
nement est Intervenu contre «es
propres agriculteurs qui empêchaient
la libre circulation du lalt 'tn pro va-
nanoe de la France, effort Jusqu'à
dénoncer & la magistrature eaux qui
avaient cherché à bloquer les pro-
duite. O ne semble pas que, dans
le mémo temps, les Français aient
fait la même 1 chose’ face à Jours
viticulteurs. - Toutefois, le gouverne-
ment Italien doit tenir compte de
l’énervement qrt se manifeste dans
toutes les réglons viticoles du
pays. — FL S.
Commission européenne va statuer
m la taxation des importations
Bruxelles c Communautés euro-
péennes). — Le cote de la poù-
Gtqae agricole . commune croit A
grande vitesse. Les dépenses Ins-
crites an budget communautaire
de l'année 1075 pour le soutien
des m archés — La section «ga-
ranties » du Ponds européen
d'orientations et de garanties
a g ricoles, le POEGA — s’éle-
vaient & près de 4 milliards
d’unités de compte (2215 milliards
de francs). La Commission vient,
de soumettre aux Etats membres
un projet de budget supplémen-
taire de 200 minions d’unités de
compte (1420 milliard de francs)
. En tait, cotte rallonge — axtffl-
deUement limitée pour . des rai-
sons politiques — sera loin de
combler la progression réelle des .
dépenses agricoles en 1875. Celle-
ci est notamment Im putable an
soutien des marchés de viande
bovine et de vin. Aussi le FEOGA,
même en épuisant à force d’arti-
fices les moindres deniers dispo-
nibles, se trouvera probablement
pendant quinze Jours à trois se-
maines en état de Rj««Mnn de
paiement A la fin de l’année.
La vérité ne pouvant être plus
longtemps dissimulée- par des acro
bâties comptables, la commission
est obligée de présenter pour 1976
un avant-projet de budget, où les
dépensés de soutien de marehén
atteignent 5434 milliards d imités
de compte (294 milliards de
francs), soit une progression de
30 % par rapport au budget Ini-
tial de 1975. Encore s’agb-U là
d’une prévision wriwhrtmri qui ne
prend pas en compte quH fau-
dra consentir aux agriculteurs
tara de la prochaîne caiopagne.'
Le soutien du marché laitier
progresse de façon vertigineuse,
de 1480 milliard d'unités de
compte (64 milliards de francs) j
en 1975 à 1,912 milliard d’unités ,
de compte (10.7 milliards de P) |
eu' 1973. Les dépenses prévîtes en
1976 pour résorber les stocks de
poudre de lait, lesquels ont
dépassé désonnais le million de
tonnes dans la C-ELE- atteignent
à elles seules 14 milliard d’unités
de compte (6.7 milliards de
francs).
Ces données comptables, reflet
d’un Marché commun agricole en
fièvre, vont assurément alimenter
une très vive controverse entre
les gouvernements membres d'ici
à la fin de Tannée. Elles incite-
ront r Allemagne à réclamer avec
davantage d’insistance une révi-
sion en profondeur des régies du
Marché commun agricole et, en
particulier, une limitation de la
solidarité financière des Neuf.
Dans cette optique, la Commission
a déjà proposé d'associer les pro-
ducteurs aux dépenses engagées
pour soutenir le marché du lait.
La France, qui s’y était Jusqu’ici
opposée avec succès, éprouvera
sans doute de plus en plus de dif-
ficultés pour éviter . qu’une telle
co-responsabilité financière soit
Imposée aux éleveurs.
Le débat sur l’opportunité de
réformer la politique agricole
commune afin de réduire son
cote débutera dés la semaine pro-
chaine lors dîme réunion Infor-
melle des ministres de l’agricul-
ture à Venise. 23 y a tout lieu
de penser qn*JJ suscitera des ten-
sions suffisamment vives entre les
Neuf pour que les chefs de gou-
vernement soient conduits à se
saisir eux-mêmes dn dossier, lors
du prochain conseil européen &
ffinrnft. en novembre.
M: Michel Debré n’a pu, en
uns heure, convaincre. Jeudi
soir, but Isa antennes de TF1.
les Français et les Françaises
d’avoir trois enfants au lieu de
deux. U avait pourtant appelé é
son aids son père, le professeur
Robert Debré, un accoucheur,
le docteur Vellay, M. Alfred
Sauvy- et une mère de dix
enfants. L* « échantillon repré-
sentatif -, réuni dans te studio,
ne lui a fourni que 34 Va d'ap-
probation, alors qu'un sondage
précédent lui en donnait 37 Vo.
Sous les pas de l’ancien pre-
mier ministre. M. Jean Gorlnl
avait Jeté une mère de deux
enfants, te professeur Pierre
Samuel, des Amis de Is terra et.
perfidie suprême, Mme Fran-
çoise Glroud.
Le Jeu était dlfflcile 0 Jouer.
L’ « échantillon • avait changé
d’avis dta avant que le cham-
pion se fût exprimé: II ne lui
offrait que 32 Vo d’approbation
alors que is joute n’avait pas
commencé. Après que M. Debré
eut énuméré ses arguments
« collectifs * — pas de retraites
financées sans population ac-
tive, pas de production sans
consommation — la cote est
dégringolée à 30 %. Elle remon-
tera lorsqu'il évoquera ses argu-
ments « Individuels - et, surtout,
lorsqu’il présentera son pro-
gramme en quatre points : allo-
cations familiales capables d’aug-
menter te pouvoir d'achat des
patenta, eide, a la mère avec le
concours des jeunes d'un « ser-
vice civil », meilleure orientation
scolaire et professionnelle des
enfants, « privilèges « accordés
aux familles de trois enfanta et
plus.
Curieusement, l’argument le
plus sensible aux générations
nouvelles ne fut que brièvement
évoqué, et à la fin du plaidoyer :
la force que donne la jeunesse
à une société an marche vers
le progrès.
La formule même de rémis-
sion, dont M. Debré essuyait les
piètres, était peu favorable à
son style passionné. M. Gorlnl
— c'est la règle — Installa ses
«obstacles» avec la sérénité
d’un garçon de piste. Les coups
ne sont pas pour hil. L’ancien
directeur du Courrier de la
colère se voulait calme et péda-
gogique. Il n'a pu cependant
s’empêcher de charger. la lance
en avant, le professeur Samuel,
qui évoquait une planète sur-
peuplée, et Mme Giraud, trop
résignée é ses yeux & « l’ attitude
suicidaire- de la société fran-
çaise. Ils n'étalent là qu’en
Image. Tant pis. — J. P.
PHILIPPE LEMAITRE.
- - .'Commission de Bruxelles
_V Jeudi U septembre natl-
. n de l'application par la
‘ ' de la danse de sauve-
sur les Importations de
-Ùülens. M. Ijmtinnh, com-
- j» . européen . chargé des
■ .jus agricoles, à Indiqué que
Sgê se réunira lundi lSaep-
. . _ï pour statuer sur ces me-
'qui ont été annoncées jeudi
tembre par lé- premier ml-
- • ■ .français, aux représentants
bfessfonnels. La note fran~
.. récuserait que le produit de-
i pourrait être r eversé au
\ (Ponds européen d'arien,
et de garantie agricole).
oumol officiel du vendredi
r..atetae publie le décret «re-
1 t institution d’une taxe
tains vins importés s, qui
tra de majorer de 143 P
erê-hecto le prix des vins
r 4/fale Italiens entrant en
r«i'. En fait, cela « remon-
te 14 à 15 % le prix le plus
£T Pffâx portés/ degré " liectoî des
■sue de l’entretien avec les
uts viticoles, le premier ml-
1 fi* in» , iw* ra déclaré que cette taxe
— «Tonne au traité de Borne
slle ne corrigeait qu’une
c -.de la distorsion monétaire
e franc et la lire (30%).
- Hffiamès des viUculteura
-■elles, leurs revendications
en mande partie légitime », a
noté M. Chirac. '
. . Le gouvernement n’a pas fi**
de date limite d'application à la
taxe, alors que le communiqué de
Bruxelles misait état du 31 dé-
cembre prochain.
Au reste, le go u vernement ne
s’est pas arrêté à cette. mesure
d ou anière. qui., n’aurait pas
apporté dé solution an fond du
problème .viticole.
e.Potcr. marquer lq confiance
que . note avons -dans Vaoevtr de
la vUtcuXtun nationale », le pre-
mier ministre a indiqué qu’ « une
nouvelle organisation du marché
(office ou lntexprofesslan) sera
mise sar pied dans les prochains
mois. D'autre part/ nous voulons
apporter aux viticulteurs, qui vfm
bénéficient pas comme le» autres
catégories d’agricütteurs, une cer-
taine garantie pour leurs revenus.
Bnftn. nous souhaitons une amé-
lioration importante de ta struc-
ture du vignobles.
Bans ce ont, un groupe de tra-
vail, qui doit se réunir dès mer-
credi prochain an ministère de
l’agriculture, devra - remettre ses
conclusions d’ici à deux mois. De
son côté, M. Bentegeac, délégué à
la viticulture méridionale, doit
faire dans un délai de quinze
Jours un rapport sur les taisons
qui freinent le plan de moderni-
sation de la viticulture dn Midi
lancé en 1973. .
A l/ÉTRANGER
L’Allemagne abaisse One nouvelle fols
son taux de l’escompte
Ee conseil de li’BntiinlwiIE'» inetUi'JiitaiTI s^ptembfrar poux
la BÜdèma , foi*' cette année, de réduire son faux -d’escompte d’un
demi-point, ramenant* celui-ci & JL5 %. La Banque centrale a égale-’
menl abaissé le taux des avances sur titre d'an demi point. En
outre» à dater du 1*' octobre prochain» .le plafond de r é es co mpte
des banques sera .remonté de 3 milliards de dentschemark» (54 mil-
liards de fr ancs ). C’est dans la volonté de favoriser an mndmnm la
reprise qu*B faut voir la raison de cette nouvelle baisse. D'autre
part le gouvernement al le m a n d a rendu public le projet de budget
poux 1978. qui prévoit de sérieuses rédactions de dépenses.
Sévères économies ... j
De notre correspondant
ÉNERGIE
La hausse du prix du fuel domestique (+6,1%)
entrerait en vigueur le 15 septembre
>DOUt
20810-30
Bonn. — ML h»ps A ppI , minis-
tre fédéral des finances, a pré-
senté jeudi U septembre le projet
de budget pour 1976 et les éco-
nomies budgétaires adoptées - la
veüle par le conseil des ministres.
Comme prévu, les grandes lignes
du budget n’ont pas changé par
rapport A août (le Monde daté
31 août-lo- septembre) ; les dé-
penses s’élèvent à 168.1 milliards
de deotchemarks (286 milliards
de francs) et 1 Impasse A 38,9 mil-
liards (66 milliards de francs).
Ouater Idées-forces ont guidé le
gouvernement : les économies ne
doivent pas freiner la reprise de
l’activité; le déficit ne doit pas
provoquer de tension sur le mar-
ché financier ; les économies doi-
vent être équitablement répar-
ties ; II faut maintenir le fy H>A f r| *f
'( PUBLICITE)'
■NTRE CULTUREL ISLAMIQUE A ROME
CONCOURS IRCOlIEClORIt WIERIIIIOUL
POUR U MOSUUËE ET LE CEIIRE ISLAMIQUE
Le Centre Islamique Culturel Italien a été chargé de la cons-..
tructior» d'une mosquée et d'un centre culturel qui sera consacré
. à des activités religieuses et culturelles et sera sihjé à proximité
d'un quartier résidentiel au nord de Rome.
• • ; Les architectes- et/ou ingénieurs-conseils sont invités à parti-
ciper à la conception de ce projet.
Toutes les personnes intéressées sont priées d'écrire au Direc-
. teur du «Centre Islam ico Culturale d'ItaJia » — Via Alfredq'
CaseHa 51, 00199 Roma, Italie — pour demander le formulaÎTe;
' d'inscription au concours à compter du 15 septembre 1975, la ’
* clôture de l'inscription étant fixée au 15 octobre 1975.
Les projets définitifs des candidats seront soumis avant le
1É janvier 1975 au Président du Centre à l'adresse susmentionnée.
des prestations sociales, « fonde-
ment de la stabûtié politique de
ta République fédérale*.
Tons les départements minis-
tériels sont touchés par les com-
pressions budgétaires. Les me-
sures d 1 Économies s’élèvent à
7,8 m illi a r ds de deutschexoarfcs
(134 milliards de francs) si l'on
tient compte de la dimin ution de
39 milliards de DM (64 mflliax ds
de francs de la anbvenfefon accox--
dée à, r Office fédéral du travatL
Cette réduction sera compensée,
& partir de Tannée prochaine, par
une hausse d’un point de la coti-
sation de chaînage. Ce sont les
services publics qui sont le plus
frappés : leurs crédits sont dimi-
nués de 14 milliard de deutxhe**
marfcs (1,9 milliard de francs).
L’indemnité de résidence sera ré-
duite de moitié pour les courtes
de fonctionnaires, et l’âge mlnl-
| mal de la retraite sera repoussé
de soixante-deux & soixante- trois
ans.
Des économies devront égale-
ment être réalisées sur les salaires.
Le ministre de L’Intérieur a dé-
menti qu’un blocage, des rémuné-
rations soit envisagé, mais le
gouvernement souhaiterait que
tes, augmentations restent Infé-
rieures à la hausse des prix.
Hausse de la T.V.A.
Les antres réductions de cré-
dits partent sur la formation
professionnelle des adultes (les
Indemnités compensatoires sont
ramenées de 80 a 53 % dn dernier
salaire), les bou rses pour les
étudiants, les allocations de Chft-
mage (dont l’octroi Sera plus
sévèrement réglementée), les allo-
cations de logement (gelées pour
plusieurs années & leur niveau
de 1975), les dédits pour la
construction des hôpitaux et des
antres équipements collectifs, les
«Kxwragéments à l’épargne
(baisse des - bonifications d’inté-
rêt) et l’agriculture (avec la
suppression en quatre ans des
montants compensatoires versés
aux paysans allemands pour neu-
traliser la hausse du DU).
D’autre part, le gouvernement
fédéral allemand a décidé de pro-
poser au Parlement une hausse
□e deux points du taux de la
T.V4^ qui passerait de 11 à
13 % en .1977; et nue hausse des
impôts sur les tabacs et les
alcools.
. La hausse des prix du fuel
domestique et industriel devrait
entrer an vigueur lundi 15 sep-
tembre. Soumis, jeudi matin, au
comité national des prix, le gou-
vernement devait p rendre, ven-
dredi, l’arrêté définitif qui serait
publié au Bulletin officiel du
service des prix, samedi 13 sep-
tembre.
Le prix du titre de gas-oil
passerait de 1/lZ à 1JS franc,
soit 'une hausse de 3 centimes
(+ ZJS %) et celui du fuel domes-
tique, de 5650 francs V hectolitre
à 60 francs (+ 6/t %). Pour le
fuel industriel, ta majoration
serait tris faible, ta tanne attei-
gnant 31655 francs (T.T.CJ,
contre 31 1 francs précédemment
(+ 15 %).
Ces augmentations représentent
poux les compagnies ■ pétrolières
une hausse moyenne à la sortie
de ta raffinerie de 15 francs par
tonne. Elles réclamaient 40 francs
afin de compenser ta remontée
du dollar enregistrée ces derniè-
res semaines. En avril et en juin,
époque où la devise américaine
avait connu un vif repli, les pou-
voirs publics avaient abaissé les
prix des fuels et du gas-oü. Ces
deux petites baisses vont se
trouver pratiquement annulées.
On retrouvera pour le gas-oü
(155 franc le litre, contre
156 franc le 2" Janvier 2975) et
pour le fuel domestique f 60 francs
rhedoltire, contre 60,70 francs}
les prix qui étaient pratiqués au
début de Vannée, les tarifs des
fuels industriels restant seuls
inférieurs de 8 %.
Un débat s'était instauré ces
derniers jours vu sein du gou-
vernement pour décider de inop-
portunité de ces hausses, ainsi
que de leur modulation. Rappe-
lons que M. Michel d'Ornano,
ministre de Vtndnxtria et de ta
recherche, avait affirmé, le 2 sep-
tembre, que «le prix du fuel
domestique ne serait pas aug-
menté dans l'immédiat». De p lus.
un certain nombre d’experts
étaient partisans de majorer les
prix des carburants dont la
consommation a sensiblement
augmenté (+ 45 % pour les fruit
■premiers mais de Vannée, alors
que celles du fuel domestique a
diminué de 135 % et celle des
fuéü lourds de 143 %). Toutefois,
l’impact des carburants dans Vin-
ctice des prix, ta volonté de ne
pas gêner Vtndustrfe automobile
et tajatt que les tarifs du super-
carburant et dePessen ce sont
plus ou moins alignés dans tous
les pays européens, ont finale-
ment conduit les pouvoirs publia
à ne pas toucher aux prix en
vigueur pour ces produits.
LES RÉSERVES PÉTROLIÈRES
DU VENEZUELA SERAIENT
LES HUS IMPORTANTES
DU MONDE
Le Venezuela accordera 930 mil-
lions de dollars d’indemnités
vingt-deux compagnies pétrolières *
étrangères dont les actifs ont été
nationalisés le 29 août dentier, a
a n noncé le 10 septembre le minis-
tre des mines et des hydrocarbures,
M. Valentin Bernandez.
, LT ndemnisati np sera vraisem-
blablement réalisée sous La forme
de bons d'Etat. Elle est inférieure
& ce qui était attendu. Des res-
ponsables pétroliers avalent an-
noncé récemment que les compa-
gnies se partageraient 14 milliard
de dollars en compensation de la
perte des bénéfices qu'elles au-
raient perçus si leurs concessions
avaient duré jusqu’à leur échéance
en im
D’autre part, la campagne de
recherche pétrolière dans le-bassin
de l’Orénoque aurait, selon certai-
nes sources diplomatiques, abouti
à la mise en évidence de réserves
en hydrocarbures très Importan-
tes. On parie de 425 milliards de
tonnes, ce qui ferait de l’Oréno-
que le champ pétrolifère le plus
important du monde. Le dixiéme
de ces réserves serait exploitable
selon les technologies actuelles.
DANIEL VERNET.
SYNDICATS AFFAIRES
Congrès extraordinaire de ia C.F.T. les 13 et 14 septembre K “ SSoum
« Un syndicat pets comme tes autres»
« La CJF.T., us syndicat pas cornais les
» Ce fit», qui fignxs dans la xevue de
organisation. « l'Indépendance syndicale »
(décembre 1973), résume les sentiments contradic-
toires et souvent passionnés qui animen t les par-
tisans et les ennemis de la Confédération fran-
çaise du travail* & la veilla du congrès, qui, les
13 et 14 septembre, doit élira une nouvelle équipe
et fixer de nouveaux statuts. L'objet de
ce congrès extraordinaire sera de trancher le dif-
férend qui oppose H. Simalris» secrétaire général
« démissionné ». aux syndicats de TauftoiubbQA
et qui a abouti, le 22 ™»t dernier, à la désignation
d'un administrateur pr ov is oire.
Le 11 septembre, le président du tribunal de
Paris, M. Jean Vassogne, a décidé, «ru référé, que
ce congrès, déjà prévu le 8 juin, devait se tenir
eux dates fixées, niais a refusé d'interpréter las
dispositions ambiguës des statuts de la Confédé-
ration sur le* calculs des
Pour les animateurs de la CJF.T.
qui. se livrent depuis plusieurs
znols à une bataille interne pour
la conquête du pouvoir à. la tête
de l’organisation, leur confédéra-
tion est d’abord un syndicat Indé-
pendant et, s’il * n’est pas comme
les autres s, cela veut dire qu’il
« sert les salariés et ne se sert pas
d’eux » ou encore qu’il ne fait pas
de politique et refuse la lutte des
flagam.
Ces o rientat ion*, marquées par
Un «ntlrnimmim Ism « viraient,
datent de la création de la CJF.T.
Peu de-temps après le retour au
•pouvoir du général de Gaulle.
M. Jacques sttnairia affirme •■avoir
été reçu par le président de la
République lui-même. Au mnifamt
qui dirigeait alors une petite orga-
nisation, la Confédération fran-
çaise des Syndicats irtriépa'nda.TU-.e
(CJF-S-L), Je général de Gaulle
promettait, selon, les dires de
M. simahte. que le nouveau gou-
vernement reconnaîtrait la repré-
sentativité d’un syndicat indépen-
dant qui saurait regrouper tous les
mouvements — multiples à l’épo-
que — se réclamant de cet esprit
d’indépendance.
L’histoire de la CJF.T. est
marquée dés sa création, le 13 dé-
cembre 1959; (Tune série de rallie-
ments à moitié réussis. La
bien sûr. mais seulement une par-
tie de la Confédération génér ai»
des syndicats Indépendants
(C.G.S.L) constituent les pre-
mières troupes de la C.F.T. Quel-
ques dizaines de milliers d’adhé-
rents. qui deviendront cent mille
en 1967, selon les déclarations de
M. Simalris, avec l’entrée de la
Confédération générale des syndi-
cats unifiés et de l’Union des sala-
riés de France. Nouveau progrès
en 1968 de la CJ5ÏT., «qui double
— qui défrayent la chronique Syndicat natio
sociale quand ce n’est pas la Chrysler ». Et d’i
rubrique des faits divers chez que je serai à la
Citroën et Simca. celle-ci restera
Syndicat national automobile
Chrysler ». Et d’ajouter : « Tant
que je serai à Ta tête de la CL FJT..
VL Jean Saint-Geo nr», qui a remis
Jeudi, è la demande dn ministre
de l'économie et des ftmneM, sa
démission de directeur général du
Crédit lyonnais, ne sera pas remis
A la disposition de l’Inspection' des
finances, comme sons Varions Indi-
qué par erreur dans notre édition
datée do 12 septembre, mais sera
chargé d'étudier la constitution
d'une basque 1 d'investissement
f ian co- l m nlimne .
Ajoutons qu’au . nombre des dif-
ficultés ayant affecté gravement le
Crédit lyonnais en 1974, et provoqué
plus on moins d ir e ctem ent les dé-
parts nccessOs de MM. François
Bloch -Laine, son président; et de
Quelle a été et que demeure au-
jourd’hui l’ Im p o rt a nce numérique
de cette organisaticai qui comporte ■
59 unions départementales et
16 unions régionales ? « En 1967,
nous plafonnions à 100 000, 150 000
adhérentes, déclare sans plus de
précision ML Simafcls. * Ensuite,
noue aoone constamment pro-
gressé jusqu’en 1974 pour atteindre
400000. Cette année, les effectifs
se sont tassés: 320000 .» Mais
libre à r égard de quelque parti
politique que ce soit » De son
côté, M. Blanc rétorque : « Avec
nous, la Cf JT. sera forte et démo-
cratique. s Ce dernier sa rtira -
t-Q vainqueur du congrès? Pour
le sortant, M. fiimwJrfs, se serait
« la scission ». Ce serait peut-
être aussi le développement i
visage découvert d’un syndicat
plus < musclé ».
Le congrès pour rait en tout cas
mnnar ]g gin» d’une certaine
quelle valeur donner à ces ccrwine
chiffres? Les dirigeants de la p£ T< * celle qtü en I959 se voa-
CV.T. rmsVrT nem» ^ partiel pation-
CJF.T. n'étaient pas en mesure
avant la désignation d'un admi-
nistrateur provisoire de fournir
des Indications précises et de les
p r o uver puisque certaines organi-
sations régionales ou fédérales
vivent en vase clos, laissant dans
l’ignorance l’état-major national.
M. Simafcls évalue, sans docu-
ment, l'importance des fédéra-
tions : automobile, 17 % ; trans-
ports, 7ÇJ; métaux. 10%;. ali-
mentation et chimie, chac un
6%. etc. Four certains observa-
teurs extérieurs. la CF.T. — qui,
selon les statistiques officielles,
ne recueille que 3 % des voix aux
élections des comités d’entreprise
— ne regrouperait que 50 000 (1)
à 100 000 adhérents. Le journal
dusyndicat ne tire qu’à 120000
exemplaires et M. Simafcls nous
a déclaré que le dernier chiffre
, de 320 000 ne portait que sur
« renvoi des cartes d'adhésion »_
« Envoi » ne signifie pas adhé-
sion. et c’est 10 %. au moins,
30 % sans doute, de ces cartes
qui restent entassées rfan« les
locaux des syndicats. Quant à
d’importance avec l’adhésion de .ceux qui adhèrent effectivement.
tous ceux qui cherchent un refuge
et veulent préserver la Itterté du
travail » et . bond en avant, que
M. Simalris regrette aujourd’hui,
lorsque, en 1969, des syndicats
autonomes, notamment ceux de
ils ne règlent en général que 4 à
5 timbres mensuels par an. à des
taux souvent très faibles. Quelles
que soient -les statistiques, la
C-F.T. demeure un «petit» syn-
dicat qui ne souffre pas unique-
l’automoblle. viennent grossir les ment de la non-reconnaissance
rangs de la CJF.T., mai<^ aussi
* ternir son image .de marques.
d’une- représentativité nationale et
de L'impossibilité de présenter des
en raison de multiples Incidents — candidats au premier tour des
des « exces », re co n naî t ML Sa n a kl s élections professionnelles.
Une indépendance contestée
En dépit de son attachement à institution financé» par jg patro-
la participation, de ses réticences nat, sans que les tribunaux aient
a recourir a la grève, la CJF.T. est eu l’occasion de confirmer ou d'in-
victime de ses choix. Id elle fircner ces faits'*: dan* un récent
proche 1 autonomie, et la confédé- document. Une vaste machination
ration ,se coupe de tout moyen contre la dusse ouvrière (Juin
d’action nationale puisque ses 1975), les cégétistes affirment —
g pfora régionaJes d’Alsace, de photocopiesde lettres à l'appui —
I^i )VC . I î ce * < l5 te f rAzur et de que Berllet versait, en 1973, 10 000
Rhône-Alpes vivent en autarcie francs par et en 1973, 13 600
et refusent d’alimenter la tréso- francs a la CJF.T. ; q
rerie du siège national, où les a payé & la- même ai
quelques^ per mane nts, y compris « un matériel vltrtfcmod
1 épouse du secrétaire géné r al, tra- d’un montant de 6 mü
vaillent de façon artisanale dan* riens francs ».
de misérables loca ux . Là, die re- ' Mise en cause aussi
commande la fermeté à l’égard de pendanc© politique; M
la C.G.T. et de la CJFJ3.T. et, qui admet ~
francs par mois, et en 1973, 13 600
francs a la CJF.T. ; que Citroen
a payé & la- même organisation
« un matériel vltra^modeme offset
d’un montant de 6 millions d’an-
ciens francs ».
Mise en cause aussi dé l'Indé-
pendance politique, M. Glm«lrt-E
qui admet que « 95 % des lundi
le feu vert aux sy nd i c ats maison,
aux activités de commando et aux
pires Incidents, ce que M. Simafcls
appelle des « excès ».
Dès iras, r « Indépendance »
tant affirmée est contestée. Mise
en cause de l’indépendance de la
CJF.T. dans les entreprises par les
autres sy n dicats, notamment
C.G.TL, qui l’accusent d'être une
dément avoir des liens avec
1TTDJR. pour, quelque temps
après, nous déclarer que, dans le
conflit qui l’oppose aux syndicats
CJF.T. de l’automobüe, « des dé-
ments du SAC (2) ont crié des
noyaux d' opposition interne » et
5 7 ^ vour des hommes politiques,
la Cf. T. est un vivier où WJ J) JL
peut puiser ».
La coîlaborcrtion parfois ...
Aucongrès des .13 et 14 sep- syndicat, a-t-il écrit récem-
tembre, ces querelles para-poli- ment (3), doit être * dur si par-
titives devraient apparaître une fais a faut Vitre ». « Adoersaire
nomreile fols, même si, selon les farouche de la lutte des clas ses »
tendances qui s'opposent, il ne l’homme de Citroën le wmon£
s agit que d’un, conflit de pure aussi pour la concertai! onxlou-
organisation syndicale. Deux jours*, Tna.ia aussi pour « la
conceptions différentes, deux collaboration. varfotxJsi nous ne
£2"™**. a *ol l ? mp ^8wî e ? t op 5£Ü?’ 00 “ &m » vas sombrer dans le
vont en fait s affronter. Four désordre ».
ML Simafcls qui souhaite rester à- En fait la anerelle - nourrâfh
redorer limage d’un syndicat fa- firme la C.GT en « auerre de
voraUeà ta participation et 4 la ~ SS? if tfh^es^ uti?
obtenir Ja liberté de. lisent tous les moyens pour slm-
tour 2 e * poser, comme certaln^syndi-
élections et de songer a une fu- calistes «mWi»Biiw Et- les deux
* «n ra pprocheme n t avec adversaires ne mâchent pas
ritînvr? syndicats comme la leurs mots. Pour. m. SI-
• makis, « fi y a irn rtt-
Four M. Blanc , né au syndi- vorce 'fond amenta l entre les
Y 1 mShodJTd^ti^rdes^SSdi^
i C P r ? 6 ^; c and idat à la de r automobile et T esp r it de la
* dœ méthodes, ar tis a na l es trop tous les mandats de ses sections
prochy de «ÿes d u e peti t épicier çt empêche toute expression ».
«ÿ* *’ ™ e Accusation plus grave : celle
érection collégiale. 1 élection, de « marchandage ». Dans une
d'une « équipe de techniciens et lettré du 23 avril m. sfanafcto
non pas de politiques ». Le rêve déclare qu'on lui a proposé, en
de ce leader qui monte est de. échange de son départ, *5000 F
earéer un appareil puissant en par mois en quàlüéde salarié du
utilisant les techniques si effi-
cotes du parti, comnaauste ». Un ~
— — p «> Les SsndicaU en Frênes. J.-»,
■ ReynAQd. Bd. du Seuil, tome XL
m LE VENEZUELA va vetser (3) 8ervlee diction drique ni «ffl-
930 millions de dollars d’in-
GauHa «t ayant Joué tantôt la rôle
pagni® Pétroliiï» intouilM- teoupe de choc du. mollta m a
nales dont les actifs ont été tantôt celui «te police parallèle,
nationalisés le 29 août dernier. (3) L’Indépendant che v ro n né. Juin
— t Reuter J 1975. --
wiicfti» mate n*a jamais pu « dé-
coller » en dépit de l'appcd de
députés UD-R.
JEAN-PIERRE DUMONT.
la foire de marseille
doublé son audience
internationale
r -
En 1974, la Foire de Marseille a doublé son audience
internationale : 31-081 visiteurs professionnels offi-
ciellement recensés, 2.661 exposants et 869 fifxnes
étrangères en provenance du monde entier. Cette
année, avec 27 représentations officielles étrangères
et plus d'on millier de firmes étrangères représen-
tées, la Foire de Marseille sera pendant-dix jours le
haut lieu de rencontre de l'économie mondiale.
Qu'Il s’agisse de biens d’équipement ou de consom-
mation, il est essentiel de venir à Marseille profiter
de la vitalité économique de la 31e Foire, découvrir
les techniques les plus performantes, les matériels les
plus sophistiqués — et nouer des liens profonds avec
cette nouvelle génération de décideurs représentant
les pays qui amorcent leur décollage industriel
Pour vous, cela veut dire de nouveaux marchés. Et-à
Marseille, de nouveaux marchés à portée de votre
le monde entier a ^Marseille
pour rencontrer la France
51° FOIRE
INTERNATIONALE
DE MARSEILLE
19/29 septembre. Parc Chanot .
13266 Marseille Cédex 2. TéL (91) 54.15.60. Téiex : 4102Î h
OEUSOMOIK
«* Srint-Oewn», tJfcnr. «tarrile-
ment le es ô» de» bsnqn's. Centrée
sur le Crédit lyonnais, où le cn»àt
social Malt le moins boa. die tal
coûta TM mmions ôe francs en tré-
sorerie supplémentaire.
• ELECTROLUX 7A PRENDRE
LE CONTROLE D’ARTHUR
MARTIN. — La Société géné-
rale de Belgique, qui détient
70 % du capital de la société
Arthur Martin, va céder cette
participation au groupe suédois
Electrolux (le Monde du 12 sep-
tembre). Cette . opération per-
mettra, not amm e nt & Etoctxo-
lux d'utiliser le réseau com-
mercial d’Arthur Martin pour
diffuser ses produits.
m
If
1 ^
ACTÎVTTÉ DU I^SEMEST)
Chiffre d'affabéa :
Pour l'ensemble Ce la ai
des filial wa. la rid ti ra i
ronsoUdè hors taxes du m
mettra 1975 ait de 390»»*
crânes. • v
Le chiffra d’affaires ecnm
taxes do rensamWa do ng
avait été de 7716 münoosV
Pour la codéM senhauon
tre iPafxairee hon taxes M
samostre de 1975 est do T
lions de franco en ausmaS
2 û «6 aur cehd du premM*
1974 (1868 mOllana da » '
oMffira dTafOritre taxas cm# >
premier semestre de INT -
2 SM mimons de fraxtea .
3161 millions en 1VM (+ t
t.» mentant des reporta
rentes et lndlrootea, est dé -
lions da francs, sots M 1 ■
du chiffre d’affaires hon t
Résultats
Les résultats consolidés • ■
au 50 Juin 1975 n* sont J
établis.
Pour la société seul om en
filiale*, la résultat nat pus
premier samsatra 1975 ait *
uona da francs, après Cl
n milli on» da francs aux
monts at de 30 millions t
rions pour hausse dre prix
A moyen tenue ' export
marcs brute d'autoflnanc
aU premiers mole s'élèv , .
130 mlUloms de francs. . . .
Pour r ensemble da raur'
marge bruts d ‘autofinança^- r- .
été de 319,6 millions de
amortissements de 133JS tu
fmaos, les pcoristom de
llona da francs at le résul— —
48 millions de francs.
BE LIMON EUR0P-;
La Centrale aoviétiqua
mesroe extérieur. Muai
taOBDOU, a p a s sé, la 31 et - *
OWUseM«be BntnpriMSu..
Importante co cun a rm e de
de matériel dVEbaetbm «r
ment de sas naturel at
pour nn« cepMttA.de 1.
do métras cubes de gaz p .
«né an : complexe «5 .
(Qorel).
La Banque de l'Union. . •
an assuma le flo a n o em »
cadra du protocole candi ,
1975 par un ensemble <
françaises, dont la Z f
l'Union Soropéenne, . .
Vncdrborgbanfc. (Banque
marco Krtérlour da 117#
tique). -
fTABUSSEMEHTS G.
La Chiffre d'effalrre bnf - ■
premier semestre de l’ec •
s’élève à 255951961 «
294435938 F pour lu st
mois da l'exercise pcéaéé
9L7 %• -
Ce montant se déoonq
façon suivante (en m ->
francs). *■
1975 18-^,
Fannaaux .
oontreplaquéa 94,6 133 '. :
•■"3^ i
Panneaux r -
da parti onles 101,7 96
Emballages.. 64,7 62^,
Oroxnre .... 34 ...
ZUvera Id .
fPOBLiaiT»)'
RffUBUQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE
ET POPULAIRE ;
Miimtère d’Etat Gharfé des Transports |
Ctapagnie National* d* Trassports A irions AIR ALÉ
T de détail dTsppd d'affres Intemaflog
^Igdé^ jour l a ran tae dre Offreadorappel d’affrre U**» 9
«n rafl de 1 étude d’un- hangar aéronantiqus pour aiW 4
portes»» prévu pour la 30 septembre ISffs ut prorogé de 13
M S'* ** ïècoption dre offres ert donc pOttf
LE MONDE — 13 septembre 1975 — Page 27
ÏIERS
***■■* ** u
tt ::i 7 a
Ijt'.M ,
LES MARCHÉS FINANCIERS
PARIS
Il SEPTEMBRE
4 :•»
" Amélioration
i courî de séance
«CK
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r.-s 3 ..1 .
ai. t -.-.
•fai; t- • .
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c.*r> .il
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"Ili'ÎP'! r
f.xt t,.'
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imnçatsn continuait.
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malgré tout, négatif.
v î' t <r,ivaü difficilement en être
i après te nouvel accès
■ ■** Wfl0 Street, et
. vi " : :iirrTr'f la. .mauvaise
i * $?• manifestée par les rrti-
' ^ ’^JonomUfluss et financiers à
d* P*®» ** relance. ■
" c.V^-.'pôrotears redoutent r- à
T , ;" : -~^'‘£re — que les résultats
■ .""j-T^teZa et annuels des sociétés
v . "«/► Jr 4 * motetnto,- bien» (pt'en
' f l î' i,, 4 s:!v cas# ïe phénomène ait
■vl-tti-*) 7 ««f (dan* la métaOnr -
‘ exemple). ..
"T^aleur» étrangères, les amè-
*« «m* bien tenues; en dépit
.i r! Street, grâce à la now-
‘ ‘ * «sse du daUar -MA 2 F;, et
s , y, tondes sont bien disposées.
^ marché de Tôt, léger recul
- 4 éon (fut perd 1 J 0 A Z 44 J 90 ,
■[ ^.tngot en baisse de 150 F
; 12 1973 Testent 4 527 . Pans
. ... " ché très calme.
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. . dusm
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DE SOUSCRIPTION
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LONDRES
ExpsctaÜTa
lie marché est calme ce vendredi.
Léser effritement des pétroles et de
mrâlqnft* IndnstHeUas. Siogrée de.
Platniera Company. « reprise modé-
rée des aunes d'on - -
BR t u sran nuu rsanarei [ 4 FW crami (47 66
NOUVELLES DES SOCIÉTÉS
LA PATERNELLE 5 JL — H Wt
offert aux a c U âm aeirra do 1 * -£*-
temellB fl a , jusqu ‘jm 1 0 . ootonze,
d'échanger. leur» aaà ona A Toison
d'une, action AÆP. - pour deux, ac-
tions La Paternelle SA.
■ union ' corporation lm. —
BénêOco net dn premier semestre
1073 ; £0 380000 rende contre. U znn-
Udos 348 000 , BiAt 33 ^. Dente pu *o-
tton contre 31 J cents. • '
ZMMSIDO SA — logent encateefa
durant le premier sunest» 1975 :
8,78 mllllone de 1 trams oozrtn SM
?.DA — Pacblney- Uglne - Knhl-
m«Tm a algné avec deux sociétés
Japonaises, Mitsubishi et Sornttomo.
on accord d'aaaoclatton 'pour recher-
cher de l'uranium' eux. Etats- Uhla.
COMPAGNIE AUS 3 UAXBJ 8 DE
NAVIGATION. — La situation pro-
visoire au 30 Juin 1075 fait ressortir
un résultat brut, avant amortme-
jnenta et *rn pa«af_ de 38 mniinne de
francs contre 13 wini««à.
COMPAGNIE DE SIGNAUX ST
D'ENTREPRISES ELECTRIQUES. —
Chiffre d'affaires (H.T.) du premier
WB » 1873 : 303 mllUanp de francs
mwi. » MT mllllnw» il»
CBOCZBT. — Chiffre d'affaires
(H.TJ de cnruaet-Franee du premier
semeatre 1873 : 282 mUllons de francs
contre 170 mminw de francs.
DELALANDE S. A — Chiffra d'af-
faires consolidé du groupa du pre-
mier semestre 2875 : 173 mniim» de
francs (+n %).
NEW YORK
La Laissa sa ralentit
M*’ l'ouverture. Jeudi, le marché
alunit un nouveau r^ilL se
trt s légèrement ensuite.
, ça clôtura, l’Indice Dow Jones des
l^UsfaleUes rétsbUasalt i 822 . 88 , en
perte de S patata.
L’activité - a dlTTjipaé m n mil-
lions de titras avant été échangés
contre 14,78 Biii]<nrm _ in mm»
Les opérateurs restent s»m l’cxi
tativa, continuant à redouter le
relèvement des taux d’intérêt, les
eonaéqaonoos des difficultés fuum-
e»TCB de la vlDe de New-york et la
possibilité d’un relèvement des prix
du pétrole par l’OpEP.
La plupart des compartiments
enregistrent de nouvelles pertes, no-
tamment les produits BhhzUques. la
sidérurgie et Ira papeteries. Tendance
Alourdie bdx .pétroles (Exxon). Quei-
quas gains, néanmoins, aux aato-
mobiles pour General Motors et Ford,
dont Ira présidents sont optimistes
pour 2878 .
Indices Dow Jones : transDcnrts.
15 LSS { — 0 . 1 *) : services puMlS
77 J 20 (— OéTJ.
VALEURS
COURS
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Page 28 — 13 septembre 1975 ■ • •
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UN JOUR
DANS LE MONDE
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— VI ETM AN DU SUD:
la relouée de l'économie.
Z EUROPE
— PORTUGAL: le nouveau
Conseil de la révolution sera
dominé par les « modérés ».
3. AFRIQUE
— ANGOLA : le M.P.LÀ. déve-
loppe sa contrc-offeasive.
— TCHAD : le sort des otages
du Tïbesti.
3. AMÉRIQUES
— CHILI : le général Pinochet!
proposa à M. Frai de foire
partie d'an conseil «l'État.
4. DIPLOMATIE
— La réunion, à Venise, des
mimstres des affaires étran-
gères des Neuf.
4. PROCHE-ORIENT
— Le gouvernement égyptien a
suspenda les émissions de • la
Voix de la Palestine ».
5 à 7. POLITIQUE
— L'enjeu de JTJ.D.R.
8. DÉFENSE
9. POUCE
— « La manifestation dn 18 sep-
tembre traduit an méconten-
tement général », estime
M. Georges Séguy.
9. JUSTICE
10. ÉDUCATIOM
LE MONDE DU TOURISME
ET DES LOISIRS
Pages 13 à 16
— Les rivages de l’Intérieur :
Vans! vlère en Limousin.
— Du delta du NU aux colosses
d’Abou-SlmbeL
— JEUNES : L’avenir des chan-
tiers de fouilles.
— Plaisirs de la table, maison,
mode, animaux, hippisme,
échecs, bridge, philatélie.
18 à 20. ARTS ET SPECTACLES
— CINÉMA : la Kermesse des
aigles, de George Roy Hill.
24. ÉQUIPEMENT ET RÉGIONS
— Le groupe socialiste demande
une commission d'enquête sur
la situation en Corse.
25-26. LA VIE ÉCONOMIQUE
' ET SOCIALE
— AGRICULTURE : la - guerre
dn vin ».
— SYNDICATS : avant le
congrès de la CF.T.
LIRE EGALEMENT
RADIO-TELEVISION (U)
Annonces classées (21 à 23) ;
Aujourd’hui (17) ; Carnet (12l ;
c Journal officiel > (17) ; Météo-
rologie (17) ; Mou croisés il7) ;
Finances IÏ7).
AU CONSEIL DE GUERRE
Le proenrenr requiert la peine de mort
contre cinq militants gauchistes
accusés d’avoir tué nn policier à Madrid
Le conseil de guerre réuni près de Madrid et qui juge cinq mili-
tants dn Front révolutionnaire antifasciste et patriotique (FRAP)
accusés du meurtre d’un policier s’est retiré vendredi matin
12 septembre pour délibérer. Les jugea devaient rendre leur verdict,
dans la journée.
De notre correspondant
POUR IMPORTATION D'ARMES V .
Trois autonomistes catalans sont condamnés
à des peines d’emprisonnement dans le Nord
De notre correspondant
En visite officielle
en Afrique du Sud
Madrid. — Jeudi soir, le pro-
cureur du conseil de guerre de
Madrid avait requis la peine
de mort contre les cinq militants
du FRAP accusés d'avoir préparé
et exécuté, le 14 Juillet dernier,
dans la capitale, l’assassinat de
Lucio Rodrigue?, membre de la
poLlce armée. Les avocats, eux,
avaient demandé l’acquittement
de leurs clients.
Au cours des audiences, les dé-
fenseurs ont dénoncé les Irrégu-
larités de l'instruction : a Le pro-
cureur, remarquèrent-ils, a eu
toutes facilités pour étudier le
dossier, ce gui ne fut pas le cas
des avocats. »
Quant aux cinq Jeunes accusés.
la confession des accusés eux-
mêmes. Les témoins oculaires ne
sont jamais sûrs et se trompent
toujours. Les a ccusés ont comtois
un assassinat perfide et primé- "
dite, avec la circonstance aggm- -
vante du nombre de ses auteurs,
ainsi qiPi Z ressort de leurs propres ■
déclarations. Quelle autre preuve
veut-on?—*
Four leur part, les accusés
ont dit : \
« On a commencé à nous trop- '
per aussitôt après notre arresta-
tion. Cela, a duré pendant sept
jours sans interruption, sans qu’on
nous laissât dormir. Le juge
militaire d’instruction est venu
recueillir notre déclaration à la
Lilla — Le tribunal de grande
Instance d'Avesses - sur - Belpe
(Nord) , a condamné, jeudi U sep-
tembre, un autonomiste catalan,
M. Alfonso Serrera Urtado, vingt-
deux ans, de nationalité espa-
gnole, à un an d'emprisonnement
dont quatre mots avec sursis : son
épouse, née BUsende Romeu Oller.
vingt ans, elle aussi de nationalité
es pa gnole. & • «ïnq mois de prison,
et er rfin un ressortissant français,
pour importation (en contre- 1
bande) d’armes et de munitions, |
Au mois de mars dernier. & la
frontière franco- beige, la douane
avait intercepté une voiture dans
|£ MINISTRE IVOIRIBf fïï
DE L'INFORMATION
A Élt REÇU PAR M. VORSTElf ..
A LU. IU.MI r«n ■ ■*
M. Jean-Pierre Gensanne, vingt- __
deux ans, domicilié à Elne (Pyré- M. Laurent DoM-Fcuoso^mtalstp^ , J:
nées -Orientales), à trois mois -ffe nniormatitm ce cote-d’iroir^ç- ....
d’emprisonnement avec sursis. arrivé . mercredi 10 «pteumre »4 Vr, •
Les prévenus comparalssaiœt ™
)UT Importation (en contre- «tretenu Jeudi & Pretoria ; ;* -
iode) d’armes et de zomütiaas. ministre. M- vorater. ; ^
u mois de mars derxue^ à la * laquelle eut assista'-.,
entière franco-belge, la doaane .^"SSTMulder. ministre sndy
Fait intercepté une voiture dans et Esche. L..v
laquelle se trouvaient notamment RTwinf .,_ — -a-j-a dittat a l’Info i
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Prix Nobel de physique
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n é if direction générale de la sûreté:
fmanSS %”* P” «■ ». » (Horg. pumm
léniniste, de tendance maoïste) £“*“ avai ^ nt . signer, fOs de Joseph John TJu
SSSüî ont 3é taSeTJS: V* ? ro M“ *■
pat Ion aux faits qui leur sont Va i ** «* d
reprochés. Selon le procureur, T 71 , 189 ]^ réj£C ^° n > f*
deux des accusés, MM. Antonio ww a . mamtenus au secret pen- lui aussi un prix Nob
Blanco Chivité, journaliste, et 1
Pablo MayoraL faisaient partie du “® “ métrés carrés, en nous pn- dire, les travaux de st
comité de Madrid du FRAP A vant , d ® Tu promenade habituelle, apporta, en 1926, la pn
des fins 3e propagande, iis au- SOB * tomiire. sans Cigare ttes, sans rimentale de ce que Loi
raient donné l'ordre de tuer un gMs aoait découv ert par
membre de la police armée ou *Nousnavums pas le droit de a savoir que l’électron
SrS V!> rtS?à m com- 2ffC£2K5S5ïtS2£ - c ^ OT î er i foi * “
mando fSrmé par MM, José- ****** * comme i
SIR GEORGE THOMSON EST MORT
Sir George Thomson, physi-
1 ci» de renom, qui obtint le
prix Nobel de physique en 1937
pour ses travaux sur la nature
de l'électron, est mort à Cam-
bridge, le 10 septembre, à fige
de quatre-vingt-trois ans.
et quelques centaines de car-
touches.
Les qpatre avocats des inculpés
ont fait valoir qu’il s’agissait d’un
procès politique et ont dénoncé
;le régime franquiste : ■ c . (T'était
pour le Front de Ubétation. de la
Catalogne que nous avions agi s,
avait déclaré M. Servera.
D'autre paü, cinq Basques es-
pagnols, emprisonnés à Valen-
ciennes, ont décidé de faire la
grève de la faim à partir du
il septembre. Dans un commu-
niqué adressé & la presse réglo-
La ' presse sud-aMeatiie
une' importance particulière A cety ^
visite ; l’opposition reconnaît
renforce la politique Ce détente «..>•£- -j
d'ouverture poursuivie par M. vo" . ■ .
ter depuis près d’un an A I egard
l’Afrique noire. \ ^ • •'
Lors de son arrivée A Johann^;>
bour;, M. Doaa-Fologu a déda] K -,
dans une conlérence de presse ^ 1. •/.
« Que la réalité soit attristante R-.-
plaisante. Je dois ramener le tèmo< , .] :
pnage le plus précis de la via ;
Afriq ue du Sud. » Interrogé sur l'efca ? H -
plissement éventuel de reJatlou,.-^.*."
dlplomatiaues entre son pays et Pr* ■>_.
naJe, iis alllnnent qu’ils enten- 1. tort*, le ministre devait
Sir George Thomson était le
fûs de Joseph John Thomson, qui
fut à V origine du développement
de la physique, en découvrant,
en 1897, l'électron, et qui obtint
lut aussi un prix Nobel George
Thomson poursuivit, pour ainsi
dire, Zes travaux de son père et
apporta, en 1926, la preuve expé-
rimentale de ce que Louis de Bro-
dent ainsi dénoncer les condam-
nations & mort prononcées à
u n est encore trop tfit pour le J
T«nia tout est possible si nous :l
Burgos et manifester leur soUda- ] TOns parvenir A la paix. »
rlté avec leurs camarades jugés à
.Bayonne ce vendredi pour leurs
activités en faveur du peuple
basque.
• L’attentat commis à Saint -
Jean-de-Lue, Jeudi. 11 septembre.
qtie aoait découvert par la théorie, | dans une imprimerie de Monde
HUmberto BaènaTviadimir Fer-
europcar
645.21.25
nandez et Fernando Sierra, ce
qui fut fait.
Les avocats se sont refusés à
entrer dans le fond du débat.
Puisque nous n’avons pas obtenu
le supplément d'enquête que nous
réclamions, dirent-ils. nous ne
pouvons défendre normalement
nos clients. Le Juge d'instruction
a refusé de prendre en considéra-
tion les cent vingt témoignages
ou preuves que nous offrions, et
11 a refusé de nous communiquer
les rapports médicaux relatifs à
l’incarcération de nos clients.
L'instruction elle-même est rem-
plie de contradictions : Il est dit
à un moment que l'arme du
crime était un pistolet de 9 mm
et à un autre moment qu’il s'agis-
sait d’un revolver de 22 mm.
Donc, conclurent les avocats, les
juges devraient acquitter nas
clients pour manque de preuve,
sinon nous espérons que le Tri-
bunal suprême de justice mili-
taire, devant lequel nous présen-
terons éventuellement un recours,
nous donnera raison.
Les avocats ajoutèrent : « Etant
donné le climat créé par une cer-
taine presse et par la télévision
espagnole, qui affirment chaque
four, avant qu’ils aient été jugés,
que nos clients sont Zes assassins
du policier, dont la mort doit être
vengée, nous croyons qu’a serait
opportun de suspendre le procès
jusqu'à ce que les esprits se
calment. Ce procès, d’autre part,
étant donnée la façon dont l’ins-
truction a été menée, rappelle
ceux de l'époque de l’Inquisition. »
Le procureur militaire répondit
aux avocats :
« La seule preuve valable, c'est
intérêts
au taux actuariel annuel brut de
A B C D
Lo numéro du » Monde •
daté 12 scpiembro 1375 a été
fixé à 537 SS3 exemplaires.
Le soir, on nous donnait une batte
de paille et une couverture qui
nous étaient retirées le matin.. A
la prison, nous n'avons reçu d’au-
tres visites que celles du juge
d’instruction mSLüatre et de poli-
ciers qui nous disaient que, si
nous revenions sur les déclarations
que nous avions signées, les pre-
miers jours, Ü s nous transfére-
raient de nouveau à la direction
générale de la sûreté, afin de
nous rafraîchir la mémoire. Ils
nous ont aussi menacés de tor-
turer nos femmes ou nos fiancées
— quelques-unes d'entre elles sont
arretées — ou de mettre en pri-
son (Poutres membres de nos
famüles. »
a savoir que l’électron pouvait se
comporter à la fois comme une
particule et comme une onde.
Thomson montra, en effet, qu'un
faisceau d’électrons qui passait à
travers une fine feuiUe de métal
était diffracté à la manière des
rayons X.
Toute sa vie. George Thomson
du 12 septembre), a été revendiqué
par un comité anti-ETA qui, dnn«
des tracts rédigés en français et
intitulés . « Avertissement à la
population basques, dénonce, la
protection qui serait assurée, se-
lon ce comité, eaux terroristes
de l’ETA. s. « Si Z6s autorités
françaises ne prennent pas de
s'intéressa aux applications de I mesure pour neutraliser les ferrer
hysique fondamentale
nucléaire. 7Z comprit vite que son
expérience permettait d'utiliser la
diffraction des Settrons comme
un moyen d’étude de la structure
cristalline de füms ou de sur-
faces minces. En 1939, ü entra
au ministère de la guerre et
souligna la possibilité de réaliser
une bombe atomique à ruranùtm.
Nommé, en 1940, président du
premier comité de l'énergie ato-
mique, ü s’intéressa aussi, à par-
L’un des accusés. M. Sierra, un WS* Vwrî.Z
u filant fttré de dix-neuf ans » * » 1945, à fa fuSiOn_ thermo-
êtudiant âgé de dix-neuf ans, a
ajouté : « Je suis très myope. Dès
la première gifle, mes lunettes se
sont cassées. Ne pouvant lire sans
lunettes, je ne sais absolument
pas ce que fai signé. »
JOSÉ ANTONIO NOYAIS.
nucléaire contrôlée et . réalisa une
première installation expérimen-
tale dans son laboratoire. Sir
Thomson était, en effet, persuadé
que l’atome était une source iné-
puisable d'énergie pour le monde
entier.
ristes de PETA, ajoute le comité,
Ze Pays basque risque iTéfre le
théâtre df affrontements graves . »
L’HEURE D’ÉTÉ
ENTRERA EN VIGUEUR
LE 28 MARS 1976
L’heure légale française sera
avancée d’une heure à compter
du dimanche 28 mars 1976 et jus-
qu'au 26 septembre de la même
année pour favoriser « un meil-
leur centrage des activités dans la
journée par rapport au lever et
au coucher du soleü ».
Four recevoir le dirigeant lroL j I \
les autorités flud-africainea ont:!
faire ««g entorse k rapartheULi •
anenn moment en effet SL Dot i, .X
Fologo n* sera séparé de sa temn. ~;Jf..
qui est d'origine française. Or.
loi sur l’ e immoralité a interdit 5
mariages on les rapports «ncr
entre Noln et Blancs. -X
Le vojbge de WL Dona-Fologo y-
vivement critiqué par r agence sc
tique Tëss. c Le prétendu dial',-; 4-'
avec Pretoria, écrit-elle, ne peut if 'jr ’
compliquer la situation en Afr'£. ;•
australe.- » - L’agence approuve
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